Pour adapter les impédances, on utilise aussi le circuit convertisseur courant-tension de la Figure 2. Ce circuit comporte une contre-réaction, on peut donc écrire que v+ = v–. Ici, de plus, la borne + est connectée à la masse.
Le Q du circuit chargé par la résistance série r est Q = Z/r, et le Q du circuit chargé par la résistance parallèle R est Q = R/Z . Comme il y a les deux résistances (source et charge), le coefficient Q est la moitié de celui calculé.
En d'autres termes, lorsque la ligne n'est pas adaptée au conducteur, une partie du signal d'origine y est renvoyée. Cela empêche effectivement une partie de l'énergie d'être transmise dans la ligne de transmission. De même, il y aura une réflexion du côté du récepteur et le signal sera renvoyé au conducteur.
L'impédance électrique est mesurée en Ohms, et représente la résistance totale que présente le câble au courant électrique qui le traverse. Elle mesure l'opposition d'un circuit au passage d'un courant alternatif (CA) sinusoïdal.
I U s'appelle impédance et se note Z et s'exprime en Ω. une bobine idéale d'inductance L : ZL = Lω.
impédance
Grandeur scalaire égale, en régime sinusoïdal établi, au quotient de l'amplitude de la tension aux bornes d'un bipôle passif par l'amplitude du courant qui le parcourt. (L'impédance s'exprime en ohms, de symbole Ω.)
L'analyseur d'impédance mesure également la réponse en fréquence du circuit ou du composant, ce qui permet de comprendre comment il fonctionne à différentes fréquences. La caractérisation des composants électriques est importante car elle permet de comprendre leur comportement et leur performance dans un circuit.
admittance
(C'est l'inverse de l'impédance, son unité est le siemens.)
L'impédance est la forme complexe de la résistance qui permet de prendre en compte les effets de "charge" et de "décharge" en fonction de la fréquence et/ou du temps. Enfin, l'impédance d'un circuit constitué de C et de L se forme selon les mêmes règles qu'avec uniquement des résistances.
Elle se mesure en Ohms et est indiquée, comme la sensibilité, sur la plaque signalétique de vos enceintes, au dos. Elle est communément de 4,6 ou 8 Ohms sur nos enceintes modernes. Idéalement l'impédance de vos enceintes doit coïncider avec celle de sortie de votre amplificateur, souvent 8 Ohms.
b) Impédance d'entrée
Déf. : On appelle impédance d'entrée, l'impédance que verrait un montage branché en entrée du quadripôle.
La ligne est donc supposée sans pertes : les conducteurs sont idéaux de conductivité infinie, et le diélectrique entre les conducteurs est un isolant parfait, de conductivité nulle. On a alors : R = 0 et G = 0. et de ce fait : Ainsi, l'impédance caractéristique est purement résistive.
Sur l'abaque de Smith, le cercle g = 1 est le symétrique du cercle r = 1 (voir par exemple sur la figure 8). C'est le cercle des points représentatifs d'impédances z dont l'admittance y = 1/z a une partie réelle égale `a 1. Autrement dit, le cercle symétrique de r = 1 n'est pas le lieu des admittances y = 1.
L'impédance d'un dipôle linéaire passif de bornes A et B en régime sinusoïdal est le quotient de la tension entre ses bornes et de l'intensité du courant qui le traverse : Z = U I . Z est un nombre complexe qui a donc une forme algébrique : Z = R + i X, avec R et X des nombres réels.
Pour mesurer l'impédance d'une ligne de transmission, il faut placer un élément avec une impédance connue à l'extrémité de la ligne. Une mesure similaire est la transmission dans le domaine temporel (TDT) qui consiste à mesurer le signal transmis.
Ils sont arrivés à la conclusion que 30 ohms étaient optimum pour la puissance mais que pour la tension c'était 60 ohms. Il fallait donc trouver un compris et ont choisi 50 ohms. De plus, à cette impédance on s'approche d'une atténuation minimale.
Généralement, cette impédance est de 100 ohms (Ω) et doit être constante sur toute la longueur du câble.
La résistance est mesurée en ohms, une unité symbolisée par la lettre grecque oméga (Ω). Tous les matériaux résistent au passage du courant dans une certaine mesure et se répartissent en deux grandes catégories : conducteurs et isolants.
Les différentes formes de résistance. Les moyens de cette guerre souterraine sont multiples. Néanmoins, on peut esquisser trois modes d'action principaux : la résistance civile, improprement qualifiée parfois de passive ; la lutte armée ou résistance militaire ; la résistance humanitaire ou caritative.
L'impédance d'un circuit RLC en série peut être calculée par la formule : Où : R = 1 000 Ohms, XL = 400 Ohms et XC = 150 Ohms. Donc : L'impédance du circuit est égale à 1 030,77 Ohms.
L'impédance d'un condensateur, que l'on appelle aussi sa réactance de capacité, notée XC est inversement proportionnelle à sa capacité et à la pulsation ω du courant. Un condensateur oppose d'autant moins de « résistance » au passage du courant alternatif que sa capacité est grande et la fréquence élevée.
Prenons un ampli qui délivre 20 V dans une enceinte de 4 Ohms. Le courant sera : 20 / 4 = 5.0 A. La puissance sera : 20 * 5 = 100 W. Vous avez tous lu, sur la documentation de votre ampli, qu'il donnait une puissance plus importante sur une impédance de 4 Ohms que sur une impédance de 8 Ohms.
L'impédance représente la résistance du micro au courant électrique. Elle est exprimée en ohms (Ω). Il existe une longueur maximale de câble entre le micro à haute impédance et son entrée. Si le câble est trop long, on risque de perdre les aigus et le niveau de sortie.
Dans un circuit en parallèle, c'est la tension qui est commune à toutes les impédances. L'intensité étant identique pour toutes les branches du circuit ; nous utiliserons la formule suivante : Ii= U/Zi. La puissance se calcule comme suit : P(Zi)= U²/Zi.
L'impédance du circuit est influencée par la fréquence de la tension alternative. L'augmentation de la fréquence de la tension alternative augmente la réactance inductive et diminue la réactance capacitive (mais dans des proportions inégales).