Privilégier des aliments froids ou tièdes qui sont moins odorants que les aliments chauds. Prendre plusieurs petits repas répartis tout au long de la journée, ce qui facilite la digestion. Eviter de boire pendant les repas pour ne pas remplir l'estomac de liquide. Manger lentement et mastiquer bien les aliments.
Prenez rendez-vous avec lui afin d'envisager toutes les options thérapeutiques et de prendre une décision partagée. Attention : arrêter son traitement du jour au lendemain peut présenter un danger pour votre santé. Il est parfois nécessaire de réduire la dose par paliers avant de l'interrompre totalement.
il faut éviter les épices, la vinaigrette, les aliments trop salés ou fumés, les fruits acides et verts, la tomate, les jus d'agrumes, les noix, le gruyère, l'ananas. Si vous ne pouvez pas avaler : Laisser la bouche au repos. une nutrition parentérale totale ou nutrition entérale peut être prescrite par votre médecin.
La chimiothérapie va espacer ou arrêter vos règles. Cela n'exclut pas un risque de grosses- se et une contraception efficace est donc nécessaire pendant toute la durée du traitement et dans les mois qui suivent. Une grossesse peut être envisagée après un délai d'un à deux ans à compter de la fin du traitement.
Gargarisez-vous à l'eau salée au moins 4 fois par jour. Mélangez chaque jour une cuillérée à café de sel avec 1 litre d'eau du robinet pour vos besoins quotidiens.
Il n'y a pas de chimiothérapie plus ou moins forte, cela dépend des cas. Le choix est fait par l'équipe soignante en tenant compte de votre situation. Tous les produits de chimio ne sont pas actifs dans tous les cancers et les effets secondaires qu'ils peuvent induire ne sont pas proportionnels à l'efficacité attendue.
Prenez du temps pour ne rien faire (du tout !), dormir, méditer, lire, faire du yoga … Pratiquer des activités calmes qui vous apportent de la sérénité. Le plus souvent seul. e, mais pourquoi pas aussi avec vos proches si c'est ce dont vous avez envie.
Le thym a la capacité de faire sortir les globules blancs de la rate et de mettre en circulation un taux suffisant pour affronter la chimio. Petite astuce pour ne pas repousser la séance : préparez un litre d'une infusion de thym (infusée pendant 15 minutes), à boire dans la journée la veille des chimios.
La chimiothérapie peut endommager les cellules des muqueuses qui finissent par devenir enflammées, une affection qu'on appelle mucosite. Cela peut provoquer la formation d'ulcères douloureux, des saignements et des infections. La mucosite est habituellement temporaire et disparaît quelques semaines après le traitement.
Des jolis coussins : pour mettre un peu de douceur dans un intérieur et être bien confortable à la maison. Un plaid tout doux : pour se blottir dessous devant un bon film ou en lisant un bon livre. Des bougies pas trop parfumées : pour leur lumière douce et leur effet réconfortant.
Vous devez, au contraire, privilégier certains aliments faciles à avaler : la viande hachée ou cuite dans du bouillon, les pâtes et les purées de légumes ou de fruits, les plats peu épicés, les flans et les crèmes dessert, les salades de fruits au sirop, les laitages, les jus de fruits non acides, les boissons tièdes, ...
Elle survient en général entre le 8ème et le 12ème jour qui suit la chimiothérapie. Il est parfois nécessaire de prescrire des facteurs de croissance si la leucopénie est trop importante. L'anémie, une baisse du nombre des globules rouges.
«Avec la chimio, les défenses immunitaires sont affaiblies»
Elle redoute alors que la relance de son traitement la mette à terre si elle est effectivement positive. « Avec la chimio, les défenses immunitaires sont affaiblies.
La chimiothérapie peut augmenter votre sensibilité aux infections partout dans le corps. Ceci est le résultat de l'action de la chimiothérapie sur la moelle osseuse. La moelle osseuse produit alors moins de globules blancs et ce sont justement ces globules qui combattent l'infection dans le corps.
Choisissez une portion par jour de fromage de chèvre ou de brebis et le moins possible de yaourts - que vous ne mastiquez pas - .
Afin de corriger ou de limiter les baisses importantes de globules blancs, le médecin peut prescrire des facteurs de croissance de neutrophiles (une sorte d'hormones de la moelle osseuse). Ils sont à administrer par injection sous-cutanée. Ils favorisent la multiplication des globules blancs dans le sang.
Le mieux que vous puissiez faire, c'est simplement d'être à l'écoute et de laisser la personne parler de ce qu'elle veut – même si cela vous déstabilise. Si vous vous sentez trop bouleversé, vous pouvez le lui dire et proposer d'en reparler plus tard.
Il est très fréquent de passer par des phases de baisse de moral ; souvent les patients culpabilisent et n'en parlent pas, or la plupart du temps, la détresse psychologique a une fonction, elle est le signe que le patient intègre la maladie et s'adapte.
Peut-on en guérir ? "Dans des cas très exceptionnels, il est possible de guérir d'un cancer métastatique, mais cela reste très rare, précise l'experte. La maladie n'est pas curable mais traitable. On arrive à faire régresser les métastases et à contrôler la maladie pour éviter ses complications.
Cela permet de réduire la taille tumorale, d'éliminer les cellules cancéreuses restantes dans l'organisme après une chirurgie ou une radiothérapie et de réduire le risque de rechute du cancer. La chimio peut agir sur une tumeur primaire ou sur des métastases plus éloignées du site tumoral initial.
Ils comprennent habituellement 4 à 6 cures, le plus souvent espacées de 21 jours. Le traitement s'échelonne donc souvent sur une période de 3 à 6 mois. L'équipe soignante évalue régulièrement la capacité de votre organisme à suivre un nouveau cycle et à quelles doses.