donner des échéances, des objectifs précis et réalisables avec dans un temps défini . limiter le matériel nécessaire sur la table, ranger régulièrement sur et sous la table . identifier clairement les différents « coins » : lecture, écoute, fichiers, travaux personnels…
Travailler sur des points précis : nouvelle méthode de travail, technique de mémorisation, renforcement de la lecture active. Suivre quelques cours de soutien scolaire va aider l'élève à repérer ce qui ne va pas, ses éventuelles lacunes mais aussi pouvoir le conforter sur ses compétences.
Augmenter graduellement le temps requis d'attention pour les activités. > Demander systématiquement aux élèves leur bon coup à la fin d'une tâche. > Favoriser le travail d'équipe en attribuant des rôles à chacun. > Fixer des périodes de travail fréquentes, mais de courte durée. >
Des associations proposent un soutien gratuit aux élèves en difficulté, principalement ceux issus de familles de condition modeste. Elles sont la plupart du temps locales, mais il existe des réseaux nationaux comme l'Entraide scolaire amicale ou ESA, ou l'Association de la fondation étudiante pour la ville ou Afev.
1- Commencez par éveiller la curiosité de l'enfant et l'intérêt que peuvent susciter les connaissances qu'il a à mémoriser ou les exercices qu'il a à faire. 2- Si l'ordre n'a pas d'importance , laissez-le choisir par quoi il veut commencer (comme devoir) : l'envie est importante pour débuter.
Rappelez-lui aussi l'objectif final et aidez-le à diviser ses tâches en étapes lorsque c'est possible. Voir qu'il progresse vers son objectif le motivera. Une fois l'objectif atteint, prenez le temps de souligner sa persévérance. Incitez votre enfant à reconnaître et à exprimer ses pensées et ses émotions.
Favoriser le sentiment d'autonomie en classe
Respecter le rythme de chaque élève. Afin de respecter le rythme de tous les élèves, il faut s'assurer que chacun a le temps d'accomplir les tâches demandées, mais également qu'aucun élève ne se retrouve avec rien à faire.
Le traitement repose principalement sur une prise en charge éducative et, parfois, sur une thérapie médicale, comportementale et psychologique. Les troubles de l'apprentissage sont considérés comme un type de trouble du développement neurologique.
Selon l'Inserm, en France, un à deux élèves par classe a des difficultés d'apprentissage qui ont été définies : Les troubles DYS : dyslexie, dysorthographie, dyscalculie, associés à la dysphasie. Les troubles de l'attention avec ou sans hyperactivité (TDA/TDAH).
Que sont les difficultés d'apprentissage ? Au cours de son parcours scolaire, un élève peut se retrouver en difficulté d'apprentissage. Il maîtrise alors difficilement les connaissances qui lui sont transmises. Les évaluations, en cours d'année, montrent des résultats qui risquent de le mettre en échec scolaire.
Notez les règles de la classe en gros sur des poster et rappelez-les régulièrement. Donnez plus de responsabilités aux élèves perturbateurs. Occupez-les ! Il peut arriver que ces élèves souhaitent se faire remarquer, donnez leur l'occasion de se faire remarquer pour leurs qualités et non pour leurs défauts.
Les quatre principaux indicateurs de la motivation scolaire sont : le choix, la persévérance, l'engagement et la performance. Ces indicateurs, contrairement aux sources de la motivation qui déterminent le niveau de motivation de l'élève, sont des conséquences de la motivation (2).
La motivation extrinsèque provient d'une pression extérieure ou interne qui pousse à la réalisation de la tâche : celle de l'enseignant, des parents, avoir une bonne note, une récompense, le besoin de reconnaissance, la peur de la punition, le sentiment de culpabilité...
Faire un lien direct entre les actions et les échecs ou les réussites permet à l'élève de garder confiance en ses capacités et de se motiver à tenter de nouvelles méthodes pour réussir. Actions possibles pour l'enseignant : Associer l'échec à une mauvaise stratégie et non aux capacités.
L'une des clés pour motiver vos enfants à travailler dur est d'essayer d'éviter d'entretenir des relations de pouvoir avec eux (par exemple en évitant de dire répétitivement “tu aurais pu faire mieux”, “quand j'avais ton âge…”, ou en évitant de comparer avec les frères et sœurs, etc.).
Phase de préparation – Dans la journée, instaurer une promenade 2 fois par jour pour fatiguer l'enfant et surtout l'exposer à la lumière du jour. On y associe des horaires de siestes et de repas très réguliers, en évitant toute sieste après 17 heures – Le soir, on propose un renforcement des rituels de coucher.
Développer sa confiance en soi à tout âge
Aider son enfant à grandir passe aussi par lui montrer que vous avez confiance en lui et qu'il peut avoir confiance en vous. Ainsi, il développera son estime de soi, outil indispensable à son développement physique et mental. L'éducation positive se joue chaque jour.