Aller chercher le pain à la boulangerie du quartier, les trajets vers l'école, rester une heure tout seul ou toute seule en attendant que les parents rentrent du travail, partir en colo ou camp de vacances l'été… L'autonomie s'acquiert au fur et à mesure et par étapes.
La quête d'indépendance est innée et survient très tôt. Même à partir de deux ans, les enfants peuvent commencer à développer leur autonomie. À l'âge de trois ans, la plupart des enfants peuvent choisir les vêtements qu'ils aimeraient porter, s'habiller tout seul, choisir ce qu'ils aimeraient manger et ainsi de suite.
Il a le droit de travailler, et donc aussi de disposer de ses revenus, en ce qui a trait à ses besoins dits «usuels»: loisirs, repas, vêtements, cellulaire, etc. Même avant 14 ans, un adolescent peut contracter un prêt étudiant.
Avant toute chose, créez une pause "défouloir" entre la fin des cours et le retour à la maison. Laissez-lui le temps de s'aérer la tête et de se dégourdir les jambes afin qu'il entame ses devoirs sans frustration.
Se récompenser continuellement tout au long de sa période d'étude est un excellent moyen de rester motivé. Si vous savez que lorsque vous aurez terminé ce devoir, une barre de chocolat ou un jeu vidéo vous attendra, cela vous encouragera à faire votre travail le plus rapidement possible.
Mettre des mots sur les émotions aide l'enfant à les traverser. Dire : “Tu es en colère, tu n'es pas content parce que…” contribue souvent à l'apaiser et à accepter que son désir ne soit pas exaucé.
Vers 10 ans, il devient capable d'aller seul à pied à l'école ou de faire une petite course de proximité… Mais attention ! Cela dépend de la maturité de chaque enfant, de la distance qui vous sépare de l'école ou du commerçant et de la dangerosité du parcours.
Il aime l'école, car il y développe des relations sociales, y vit des défis et y approfondit des connaissances. Il est maintenant capable de comprendre des phénomènes plus complexes et abstraits, nécessitant des connaissances de base, un raisonnement et une logique.
Les experts s'accordent toutefois pour déconseiller aux parents de laisser les enfants de 7 ans ou moins sans surveillance. Pour les autres, c'est une question de jugement. En général, un enfant de 12 ans peut rester seul plus de 3 heures en journée et, à partir de 16 ans, il peut rester seul pendant la nuit.
Peut-être qu'il préfère commencer par le goûter pour se reposer un peu ou faire ses devoirs d'abord pour en être débarrassé. Il est important de trouver le bon rythme de l'enfant, de créer une habitude. Cela permet de fixer des points de repère dans la journée.
Quel est le meilleur moment de la journée pour faire ses devoirs ?
« Le matin est le moment où on est le plus disponible sur le plan cognitif », souligne la spécialiste. Pour les exercices du quotidien, « l'idéal est de s'y mettre entre 17 heures et 19 heures, après un vrai goûter, qui est une respiration importante, et avant le dîner, poursuit-elle.
La première chose à faire avec lui, c'est de revoir son organisation ; plutôt que d'imposer vos propres règles, essayez de voir avec lui comment il voit les choses. Peut-être que les devoirs, c'est trop ! Peut-être a-t-il trop d'activités.
Il a le droit de choisir, seul, un médecin traitant, de s'immatriculer à la sécurité sociale, d'avoir une carte vitale et d'ouvrir un dossier médical personnel. Il peut aller de lui-même à la mairie pour se recenser. S'il est étranger, il peut demander la nationalité française ou une carte de séjour pour travailler.
(Familier) (Péjoratif) Première partie de l'adolescence, comprise entre 12 et 16 ans environ, où les adolescents se montrent souvent imbus d'eux-mêmes et complètement immatures.
Les mineurs d'au moins 15 ans, peuvent, sous l'accord des parents ou du tuteur, intégrer un dispositif d'initiation aux métiers en alternance (DIMA), conclure un contrat d'apprentissage, obtenir un permis de chasser, voyager en avion sur des vols internationaux.