La meilleure façon d'apprendre la responsabilisation individuelle aux enfants commence par être soi même responsable de ses actions. Quand votre enfant vous entend présenter des excuses, il apprend que c'est normal de s'excuser. Quand il vous voit réparer vos erreurs, il apprend que réparer ses erreurs est «normal».
Habituez votre enfant à ranger ses effets toujours au même endroit. Pour l'aider à s'organiser, vous pouvez lui donner un petit classeur pour ranger ses travaux d'école. Réservez aussi des étagères ou des tiroirs de bureau pour ses matières scolaires et ses livres.
Offrez à votre enfant une routine stable et des règles claires. Cela favorise le développement d'un sentiment de sécurité qui l'aide à construire son estime de soi. Félicitez-le pour ses efforts quand il fait, par exemple, une tâche plus difficile.
Judo, karaté, boxe française, etc : il y a en a pour tous les goûts. Le fait de s'engager physiquement et de remporter - parfois - des combats, s'avère extrêmement satisfaisant et permet de prendre conscience de ses capacités physiques et mentales.
Vers 10 ans, il devient capable d'aller seul à pied à l'école ou de faire une petite course de proximité… Mais attention ! Cela dépend de la maturité de chaque enfant, de la distance qui vous sépare de l'école ou du commerçant et de la dangerosité du parcours.
Mettre des mots sur les émotions aide l'enfant à les traverser. Dire : “Tu es en colère, tu n'es pas content parce que…” contribue souvent à l'apaiser et à accepter que son désir ne soit pas exaucé.
Vers 3 ½ ans, l'enfant commence à dessiner des bonshommes « têtards » : un cercle représente la tête, à laquelle il ajoute des yeux. Les bras, représentés par des traits horizontaux, sortent de chaque côté de cette tête. Les jambes, représentées par des lignes verticales, sont accrochées au bas de la tête.
en révisant. Chaque soir, installez-vous à côté de lui et lisez son emploi du temps. Pour chaque matière prévue le lendemain, demandez-lui de quoi le dernier cours a traité et posez-lui quelques questions pour vérifier qu'il a compris. S'il ne l'a pas déjà fait, faites-lui revoir la leçon pour qu'il se la remémore.
Commencez par avoir une vision très claire de ce que vous avez à accomplir. Puis faites une liste de tâches en notant chaque tâche et sous-tâche avec les dates auxquelles elles doivent être terminées. Cela permet d'organiser sa journée correctement mais surtout organiser ses semaines de travail.
Cela peut impliquer beaucoup de choses, y compris être crédible aux yeux des gens de ton milieu, être fidèle ses paroles et à ses engagements, être capable de respecter ses engagements vis-à-vis de soi-même et des autres, aider les autres dans ce qu'ils font, être responsable de son comportement et de ses actes, être ...
Les enfants ont la responsabilité : d'exprimer leurs sentiments sans blesser personne ou casser des objets; de dire ce qu'ils pensent lorsque leurs parents leur demandent des choses qui les mettent mal à l'aise; de demander de l'aide s'ils en ont besoin.
Tout d'abord, les père et mère ne sont responsables que des dommages causés par leurs enfants mineurs. Ils n'engagent donc pas leur responsabilité si leur enfant auteur du dommage est majeur, et cela même s'il continue à résider chez eux ou s'ils continuent à l'entretenir financièrement.
Ne le dévalorisez jamais devant les autres. Montrez-lui que vous l'acceptez tel qu'il est. Cela ne veut pas dire qu'il ne faut jamais le critiquer. Mais au lieu de dire « Tu es un fainéant, tu vas redoubler « , il est plus efficace de lui faire comprendre qu'il n'a pas assez travaillé sur son exercice de math.
Pour cela, il faut commencer par réfléchir aux tâches domestiques qui vont être concernées. Puis à qui va participer, et sur quelles actions, en fonction de son âge ou des ses préférences par exemple. Enfin, à l'organisation de ces responsabilités sur un temps donné, une journée ou plus généralement une semaine.
Il aime l'école, car il y développe des relations sociales, y vit des défis et y approfondit des connaissances. Il est maintenant capable de comprendre des phénomènes plus complexes et abstraits, nécessitant des connaissances de base, un raisonnement et une logique.
Comment utiliser le tableau de comportement ? Commencez par choisir des objectifs réalistes pour la semaine avec l'enfant. Vous pouvez utiliser ceux que vous avez imprimés ou en réaliser de nouveaux grâce aux vierges. N'hésitez pas à adapter les objectifs et leur nombre en fonction de l'âge de l'enfant.
Un enfant qui n'a pas confiance en lui peut être un enfant qui se dévalorise "je suis nul", "je suis bête" qui ne sent pas capable de faire seul. Cela peut être en classe, l'enfant a peur de participer, de se tromper, il doute de ses capacités ou bien avec ses camarades, il a peur d'aller vers eux.
La meilleure façon de la rassurer est de lui parler. Lui dire qu'elle n'est pas seule dans ce cas, que d'autres enfants ont les mêmes peurs, et même les grands, la rassure.” “On s'encourage mutuellement, et elle sait que sa peur ne disparaîtra pas en un jour.”
Les sports à privilégier pour développer la confiance en soi
Si vous avez du mal avec les contacts physiques, ou besoin de prendre en assurance, les sports de combat sont la solution idéale. Boxe, judo, karaté… peu importe celui que vous choisissez, tous ont en commun la concentration et le contact physique.
Entrent dans cette classification, toutes les activités de sprint que l'on peut pratiquer aussi bien dans l'athlétisme, la natation, le cyclisme, également au rugby, au handball ou au basket mais aussi dans des sports de combats comme la boxe. Ces pratiques leur permettront de décharger l'énergie négative.