Parlez lentement et calmement, avec des mots simples, des phrases courtes, une consigne à la fois, en accompagnant vos paroles de gestes pour faciliter leur compréhension; Soyez patient et ne lui coupez pas la parole brusquement.
"Inscrire le patient au centre de sa prise en charge est essentiel, y compris lorsque des troubles cognitifs l'affectent. Si le recueil du consentement est une pierre angulaire de cette prise en charge, l'évaluation de la capacité décisionnelle l'est donc tout autant."
S'il semble surpris ou confus, essayez de parler lentement et calmement. Faites des phrases courtes et simples et posez-lui des questions fermées au lieu de lui faire essayer d'exprimer ses pensées. Assurez-vous de toujours poser une question à la fois et laissez-lui le temps de répondre. «?
Le trouble cognitif peut avoir une origine médicamenteuse, psychiatrique, neurologique, etc. En effet, il est causé par le vieillissement, une maladie ou un traumatisme cérébral. Il en existe plus de 200 tous répertoriés dans le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM).
L'adoption d'une bonne hygiène de vie –alimentation saine, qualité du sommeil, modérer l'alcool, éviter le tabac…– ainsi qu'un suivi de santé rigoureux –contrôler et traiter hypertension, cholestérol, diabète…– se révèlent essentiels.
Un trouble cognitif peut avoir diverses causes : vieillissement, traumatisme cérébral, maladie, etc. Lorsqu'elle est liée à l'âge, cette dégradation des capacités reste le plus souvent modérée et n'évolue pas fatalement vers la démence.
Les troubles cognitifs chez la personne âgée sont plus fréquents que dans le reste de la population, pour la simple raison que le renouvellement des cellules cérébrales – et des autres cellules – ralentit avec l'âge. Résultat : les fonctions cognitives basiques deviennent plus laborieuses.
« Lorsque la personne est hors d'état d'exprimer sa volonté, aucune intervention ou investigation ne peut être réalisée, sauf urgence ou impossibilité, sans que la personne de confiance prévue à l'article L. 1111-6, ou la famille, ou à défaut, un de ses proches ait été consulté. » (article L.
Un trouble ou déclin cognitif correspond à une altération d'une ou plusieurs fonctions cognitives, quel que soit le mécanisme en cause, son origine ou sa réversibilité. Un trouble cognitif peut avoir une origine neurologique, psychiatrique, médicamenteuse, etc.
Comment réagir face à un proche agressif ? La première chose est de faire preuve de patience. Ne lui renvoyez pas cette agressivité, tentez plutôt d'en comprendre les causes. N'hésitez pas également à tenter de réagir par l'humour ou à prendre du recul si cela vous semble nécessaire.
L'attitude de l'entourage est importante ; l'aidé est une personne capable de faire des choix ; Elle a besoin d'une stabilité de son environnement familier. L'environnement familier de la personne malade (lieu de vie, rythme, habitudes, activités) doit être respecté.
Il faut se concentrer sur le positif et les réussites de la personne et ne pas souligner ses échecs, au risque de la braquer. Des jeux comme le sudoku, les mots croisés ou les jeux de société peuvent aider les personnes âgées et leur faire travailler leur mémoire et leur capacité de réflexion.
Demandez à la personne d'écrire les chiffres aux bons endroits. Demandez-lui ensuite de tracer les aiguilles de l'horloge pour qu'elles indiquent 21 h 15. (Si la personne n'est pas familière avec le système 24 h, dites-lui plutôt « 9 heures et quart ».)
Si possible, éloignez-vous ou éloignez la personne quand elle commence à s'agiter. En changeant de contexte et d'environnement, la personne pourrait oublier ce qui l'a stressée et elle pourrait se calmer. Restez calme.
La plupart des cas de démence ne sont ni héréditaires ni liés à la génétique. Le risque de développer une démence augmente généralement avec l'âge.
Santé Canada a approuvé 4 médicaments qui améliorent les capacités cognitives des patients atteints de démence : le donépézil, la rivastigmine, la galantamine et la mémantine. Les 3 premiers, connus sous le nom d'inhibiteurs de la cholinestérase, sont prescrits pour la démence légère à modérée.
Les principaux facteurs de risque de chutes observés chez les sujets ayant des troubles cognitifs sont les troubles de l'équilibre et de la marche, les anomalies de la vision, la malnutrition, les effets iatrogènes médicamenteux, la peur de tomber, l'instabilité neurocardiovasculaire (en particulier l'hypotension ...
Les principales maladies neurodégénératives se manifestant par des troubles neurocognitifs sont représentées par : • la maladie d'Alzheimer ; les maladies dites apparentées, notamment la maladie cérébrovasculaire, la maladie à corps de Lewy, les dégénérescences fronto-temporales.