Les endorphines à la fête
Le blues de l'hiver n'est pas une fatalité ! Au contraire, le froid stimule la production d'endorphines, ces fameuses hormones du bonheur. Donc, n'hésitez pas à mettre le nez dehors, surtout si le soleil est au rendez-vous.
Pour certains, l'arrivée de l'hiver est l'occasion de se faire plaisir et de se recentrer sur l'essentiel. Enquête sur une hibernation plus féconde qu'on ne l'imagine. L'hiver est la saison du repos, du calme et l'occasion de faire le point sur soi.
Le renard. Ce magnifique petit rouquin reste très présent dans nos montagnes enneigées grâce à son joli manteau d'hiver. En effet, dès l'arrivée de l'automne, sa fourrure devient de plus en plus épaisse et cela lui permet d'être bien isolé du froid.
En hiver, les jours sont plus courts et la nuit arrive plus vite, par exemple vers 17 heures au mois de décembre. L'hormone du sommeil a donc plus de temps pour se développer et on peut se sentir moins joyeux pendant la journée. Le ciel est aussi plus souvent couvert.
Le froid provoque localement, dans la zone où il est appliqué, une constriction des vaisseaux sanguins. Cette action physiologique atténue la formation d'œdèmes et d'hématomes. Le froid atténue les phénomènes responsables de l'inflammation et de la douleur.
La brutale sensation de froid et la douleur sont dues à une réduction puis, à l'arrêt de la circulation sanguine dans les extrémités des doigts. Et cet arrêt est lui-même la conséquence de la constriction des artérioles qui assurent l'arrivée sanguine dans ces territoires excessivement sensibles.
Si les yeux ne sont pas protégés par des lunettes quand le facteur de refroidissement éolien est très élevé, les cornées peuvent geler.
Le froid améliore votre circulation sanguine
En d'autres termes, elle permet aux vaisseaux sanguins de s'élargir, permettant ainsi de mieux laisser circuler le sang. Outre une meilleure oxygénation des organes, ce phénomène permet également de limiter l'apparition de varices disgracieuses.
La saison est aussi (et surtout) rythmée par un manque d'énergie qui ne vous lâche pas et une fatigue constante. Cette dernière peut soit découler du manque de lumière naturelle inerrant à la saison, soit d'un problème de santé, ou encore de vos nerfs qui arrivent en bout de course.
3 : La maladie ! L'hiver est synonyme de grippe, de virus, de tous ces microbes bizarres que vous transportez partout avec vous. 4 : Le froid, c'est aussi le signe de l'approche de Noël. Et qui dit Noël dit “courses de Noël”.
La grêle : il ne lui faut pas longtemps pour ravager un jardin. Plantations et serres n'y résistent pas. On la déplore en hiver, mais aussi durant les autres saisons, quelle que soit la région. Le vent : il assèche la terre en excès, mais aussi les parties aériennes des végétaux.
L'attrait de la neige
Mais pourquoi aime-t-on autant la neige ? Olivier Proust, prévisionniste chez Météo France, explique au Parisien : "Parce que, dans les plaines, la neige est assez rare pour qu'on trouve exotiques ces paysages couverts de blanc.
Un nouveau record de température froide vient d'être établi. La température a été relevée dans l'Inlandsis Est-Antarctique. La surface du glacier de Langhovde, situé dans l'est de l'Antarctique, est parsemé de petits lacs.
Les tardigrades
S'il y a un animal qui peut gagner la médaille d'or de la résistance aux conditions extrêmes, c'est bien le tardigrade ! Ces micro-organismes ont survécu en laboratoire à des températures allant de -273 °C (le zéro absolu) à 150 °C.
De tous les animaux sauvages, ce sont les reptiles qui souffrent le plus du froid. "Les varans de Komodo, comme tous les animaux à sang froid, sont très fragiles. Dans leur enclos, la température ne doit pas descendre en dessous de 22 degrés, sous peine de mort".
Les races à poils longs et denses ou certaines races originaires de contrées froides comme le Chow-Chow, le Husky, le Léonberg ou le Terre-Neuve supportent généralement bien le froid. Certaines races à poils très ras et de morphologie très fine résistent plus difficilement au froid comme par exemple les Lévriers.
"Pour s'habituer au froid, il faut exposer son corps au froid. Mais bien sûr, cela n'est possible qu'en sortant couvert et bien couvert, notamment sur la tête, le cou et la nuque." En particulier pour les enfants chez qui le froid peut provoquer une réaction fébrile si ces zones ne sont pas suffisamment protégées.
La part génétique. S'il n'explique pas tout, le patrimoine génétique n'est pas négligeable dans la résistance de chacun à la chaleur. C'est le principe de l'évolution: les espèces se sont adaptées à leur milieu de vie. Pour les descendants des peuples du Nord, il sera plus difficile de supporter les fortes températures ...
Prenez des douches froides.
Cette méthode permet d'aider le corps à s'adapter physiologiquement au froid X Source de recherche . Réduisez peu à peu la température de vos douches. Si vous essayez de prendre trop vite une douche trop froide, vous pourriez ne pas parvenir à rester bien longtemps sous l'eau.