Le meilleur moyen d'améliorer son DPE, c'est de réaliser des travaux sur les postes de consommation les plus énergivores. Bien heureusement, le DPE met en évidence ces postes consommateurs ainsi que les coûts qu'ils engendrent sur l'année.
Pour réaliser une bonne isolation afin de sortir de la classe énergie E, il convient d'isoler les combles perdus d'un logement par exemple ou repenser l'isolation des vitrages (passer à du double-vitrage par exemple). Le plafond, le plancher et les murs sont en contact avec l'extérieur.
Ce qui est conseillé dans le cadre du DPE, c'est une pompe à chaleur qui ne ferait que le chauffage pendant l'hiver. C'est en effet le système ayant le meilleur rendement, c'est-à-dire permettant de créer le plus de chaleur avec une quantité d'électricité donnée.
Remplacer vos fenêtres par du double ou du triple vitrage ; Isoler vos combles pour une meilleure isolation et moins de ponts thermiques en bénéficiant d'aides de l'État ; Changer vos radiateurs : optez par exemple pour des radiateurs à inertie.
Généralement, des travaux d'isolation thermique, le remplacement du système de chauffage et le changement des fenêtres permettent d'améliorer la performance énergétique du logement de façon considérable, et notamment de passer de la classe G à la classe F ou E.
La meilleure façon de savoir si sa maison est bien isolée est de pratiquer un bilan thermique qui sera réalisé par un professionnel d'un bureau d'études. Son rôle est d'analyser chaque partie de la maison et de déceler les endroits où la chaleur produite par le chauffage est perdue du fait d'une mauvaise isolation.
À compter de 2023, il ne sera plus possible de louer des logements dont la consommation énergétique excède 450kWh par m² et par an. Plus précisément, il s'agit de tous les logements énergivores classés G sur le diagnostic de performance énergétique (DPE).
En conclusion, le DPE et l'AER vous permettent de savoir si votre logement est classé F ou G, mais ils n'ont pas le même objectif. Le DPE permet de connaître l'étiquette du logement et comporte quelques suggestions succinctes d'amélioration.
Généralement, des travaux d'isolation thermique, le remplacement du système de chauffage et le changement des menuiseries permettent d'améliorer la performance énergétique du logement de façon considérable, et notamment de passer de la classe F à la classe E.
La note du DPE est dégradée d'office en cas d'informations manquantes. D'où l'intérêt de vérifier que le diagnostiqueur a bien toutes les informations nécessaires à sa disposition. N'oubliez pas de fournir toutes les factures des travaux réalisés dans votre logement.
Face à cet afflux d'offres, les prix commencent à bouger. C'est pour les logements classés F au titre du diagnostic de performance énergétique (DPE) que l'impact sur les tarifs est le plus fort. Au niveau national, un bien classé A coûte 11% de plus qu'un F. Et localement, les différences sont parfois spectaculaires.
Et pour obtenir un A, il faudra envisager une rénovation lourde puisque les logements avec cette étiquette sont souvent des logements récents respectant les dernières normes thermiques en vigueur dans le secteur de la construction. Ce qui n'est pas une mince affaire pour un particulier.
Concernant les logements de classe E, la consommation d'énergie varie entre 231 et 330 kWh par mètre carré et par an, soit une dépense énergétique oscillant entre 1 151 et 1 650 €. La classe E concerne surtout les bâtiments construits avant 1970, ainsi que les anciens logements disposant d'un chauffage électrique.
1️⃣ L'isolation et le double-vitrage
Un logement mal isolé perd jusqu'à 30% de chaleur, il est donc primordial d'optimiser l'isolation du bâtiment. Il faut avant tout améliorer l'étanchéité : des ouvertures : portes et fenêtres, en installant du double vitrage, et des cloisons : sols, plafonds, combles, murs.
Pour vous aider à comprendre ce tableau : La moyenne nationale du DPE est de 250 kWh/m² par an, soit un classement de catégorie E. Une classe énergie de maison A, B, C et D est donc meilleure que la moyenne, tandis que les classes énergies F ou G correspondent aux catégories les plus énergivores.
Le frigo de classe « F/G » consomme environ 154 KWh d'électricité par an pour un prix annuel de 23,1 euros/an en multipliant 1kWh par 0,15 euros.
Pour réduire les émissions de GES de son logement, l'idéal est d'opter pour un système de chauffage reposant sur les énergies renouvelables. On peut notamment penser aux pompes à chaleur aérothermiques et aux dispositifs fonctionnant à l'aide du bois-énergie comme les poêles à bois ou les chaudières à granulés.
La classe énergétique d'une TV est définie par des lettres, allant de "A" à "G". "A" représentant la classe la plus économe et "G" la plus énergivore. Pour différencier les produits offrant les meilleurs résultats, trois classes supplémentaires ont fait leur apparition : A+++
Dans les textes, les anciens DPE pourront être utilisés jusque fin 2022, voire jusque fin 2024 pour les plus récents. En théorie… Car en pratique, dès le 1er juillet 2021, bon nombre de DPE deviendront obsolètes et devront être refaits. Le DPE conserve ses dix ans de validité, sauf ceux réalisés avant le 30 juin 2021.
Parmi les appareils électriques de la maison les plus énergivores, c'est le combiné réfrigérateur/congélateur qui se place en tête avec une consommation moyenne d'énergie de 346 Kilowatt-heure (kWh) par an, d'après l'Agence de la transition écologique (Ademe).