Les facteurs d'attractivité d'un territoire concernent, d'une part, l'ensemble des ménages ou des groupes spécifiques de ménages et, d'autre part, les investisseurs lorsqu'ils veulent implanter, ou développer, leurs activités sur un territoire.
En effet, les actions susceptibles de valoriser un territoire peuvent relever du développement économique, de la promotion du tourisme, de l'aménagement du territoire, voire même, s'agissant des populations résidentielles, de la politique du logement et du cadre de vie ou encore de l'action sociale.
De nombreux facteurs (qualité de vie, emploi, mobilité en ville, environnement, sentiment de sécurité en ville, etc.) entrent donc en considération pour prétendre qu'une ville est attractive ou non.
Quels sont les facteurs d'attractivité des littoraux ? Les facteurs d'attractivités sont : Economiques : leur situation permet de s'ouvrir sur le monde via des échanges par la mer. Climatiques : ces territoires côtiers attirent aussi bien des nouveaux habitants que des flux touristiques majeurs.
La diversité des territoires français constitue, avec la qualité des infrastructures et celle de la main-d'œuvre, un puissant facteur d'attractivité. Les décisions d'investissement prises en 2021 se répartissent sur l'ensemble du territoire et vont générer de l'emploi dans la quasi-totalité des régions françaises.
Les cinq conventions identifiées (civique, industrielle, de développement durable, inspirée et domestique) constituent des modèles d'évaluation permettant d'interpréter les règles et les usages du territoire du GEA.
L'appropriation d'un territoire passe par la production d'une pensée spécifique affirmant la souveraineté d'une communauté sur un espace. Les discours peuvent servir tout autant à perpétuer le territoire qu'à le remettre en cause.
Qu'est-ce qu'un territoire attractif ? De prime abord, l'attractivité territoriale renvoie à la capacité d'un territoire [1] à capter des capitaux, des entreprises, des résidents, des touristes ou encore de la main-d'œuvre. La notion s'impose en France au cours des années 1990.
La classification des activités économiques en trois secteurs (primaire : agriculture, forêt, pêche et mines ; secondaire : industrie ; et tertiaire : transport, commerce, activités financières et immobilières et services divers, administration, action sociale, éducation, santé, etc.)
Capacité que possède un objet ou une personne à séduire, à attirer. Exemple : Le club ne peut continuer sur cette voie ! Il faut faire preuve d'attractivité pour relancer l'association !
Pour les facteurs d'attractivité comme pour les leviers à activer, le groupe s'accorde à dire qu'ils relèvent de l'environnement purement économique (dynamisme, spécialisation, offre foncière et immobilière, accompagnement des entreprises, infrastructures, offre de formation…) et des aménités, infrastructures, ...
La décentralisation : transfert de certaines compétences de l'État aux collectivités locales ou territoriales. Régions, départements et communes peuvent alors prendre des décisions au niveau local. Un pôle de compétitivité : regroupement d'entreprises, de centres de recherche et d'universités, encouragés par l'État.
D'après Pierre George et Fernand Verger, le territoire est défini comme un espace géographique qualifié par une appartenance juridique (territoire national), une particularité naturelle (territoire montagneux) ou culturelle (territoire linguistique).
Le Schéma de développement de l'espace communautaire (SDEC) mis en place dans les années 1990 fixe trois objectifs principaux à l'aménagement de l'Europe : Le développement urbain équilibré et polycentrique. L'équité d'accès aux infrastructures et aux savoirs. Le développement durable.
L'Hexagone se hisse parmi les pays les plus attractifs notamment en matière de financements publics de la recherche, prix de l'électricité, infrastructures numériques et de transports, selon une étude de l'Agence française pour les investissements internationaux (AFII) publiée lundi 17 novembre.
L'aménagement du territoire est une exception française. Son objectif est d'assurer une répartition équilibrée des ressources, des activités et des hommes dans l'espace, afin de préserver durablement l'ensemble du territoire national comme lieu de vie et d'activité.
Le premier type de protection d'un milieu peut être sa sanctuarisation sous la forme d'un espace constituant un parc. Deux types de parcs naturels existent : nationaux ou régionaux. Des programmes européens contribuent à inscrire les territoires français dans un cadre plus large de protection.
Une influence géopolitique forte : la France dispose d'outils lui permettant d'avoir une influence à l'échelle internationale : Le réseau d'ambassades (162) et de représentations diplomatiques (2e au monde) qui lui permet d'avoir un dialogue avec l'ensemble des pays.
Le français est la 5e langue la plus parlée au monde, elle compte environ 300 millions de locuteurs. Le développement de la francophonie, qui est un des vecteurs du rayonnement culturel français, est renforcé par l'Organisation internationale de la francophonie (OIF) et le réseau d'Alliances françaises.
La région parisienne et la région lyonnaise, l'Alsace, les vallées fluviales, les régions littorales de Méditerranée et de l'Atlantique (autour des ports), les espaces industriels au sein des métropoles sont les espaces industriels les plus dynamiques en France.
La littoralisation ou attractivité littorale est un processus alliant anthropisation littorale et mutations des activités, et qui a pris une dimension importante et mondiale depuis la seconde partie du XX e siècle.