La problématique se présente généralement sous la forme d'une question qui peut commencer par « dans quelle mesure », « en quoi », « comment ». Souvent, on n'arrive à la formuler qu'après avoir fait le plan : c'est normal, pas de panique ! Le nom n'est pas un hasard : une bonne problématique doit poser un problème.
Voici quelques exemples : « Pour répondre à cette question, nous étudierons d'abord ….. , puis ……………….. . » « Ce problème sera analysé sous deux angles, d'abord………. , puis, ………………… » « Répondre à cette question, c'est d'abord s'interroger sur …… , puis sur ………., (enfin sur …………..) »
Comment formuler la problématique ? Par quoi commencer sa phrase ? Deux tournures sont très utiles pour lancer le débat : "En quoi ?" et "Dans quelle mesure ?" Les tournures "Par quels moyens... ?", "Pourquoi... ?" ou "Doit-on considérer que... ?" lancent également le débat.
- Enoncer le thème, le sujet éventuellement les deux disciplines concernées. - Enoncer la problématique même si vous présentez un diaporama où elle figure. - Aborder la problématique dès le début. - Enoncer le plan ou sommaire, et surtout le suivre à l'oral.
Comment formuler une problématique de mémoire pertinente ? Pour qu'une problématique soit pertinente, il faut d'abord partir du sujet choisi, élaborer une série de questions sur le cadre conceptuel du thème. Cela permettra de structurer les données et éventuellement les résultats attendus.
Le Larousse en donne la définition suivante : Une problématique est l' « ensemble des questions, des problèmes concernant un domaine de connaissances ou qui sont posés par une situation. » Une problématique est donc un ensemble de questions qui s'applique à un domaine particulier.
Pour commencer
Pour éveiller la curiosité des participants: Je voudrais vous demander de m'écouter / de regarder ici. Je vous demande quelques instants d'attention. Je vais vous parler de quelque chose qui va vous intéresser. Bon, je crois que je vais commencer.
La problématique se présente généralement sous la forme d'une question qui peut commencer par « dans quelle mesure », « en quoi », « comment ». Souvent, on n'arrive à la formuler qu'après avoir fait le plan : c'est normal, pas de panique ! Le nom n'est pas un hasard : une bonne problématique doit poser un problème.
Par exemple : « Depuis quelques années les fumeurs ne sont plus autorisés à fumer dans les établissements publics et doivent donc sortir pour fumer leur cigarette. Cela nous semble intéressant à traiter dans le cadre d'un travail en géographie parce que... » (TPR Conflits d'usage autour des espaces fumeurs).
L'annonce de plan se situe à la toute fin de l'introduction, juste après l'exposé de la problématique. Son objectif est de présenter au lecteur la structure de la copie : on va rapidement expliquer quelles sont les grandes parties et comment elles s'articulent.
Les premières lignes de l'introduction doivent présenter, dans un contexte général, la nature du sujet qui sera traité, un exemple tiré du sujet d'actualité, ou un fait historique. Le lecteur est ainsi fixé, dès le départ, sur le thème. Ces quelques lignes doivent éveiller son intérêt, attirer son envie de lire.
La problématique de recherche présente l'ensemble des concepts, des théories, des questions, des hypothèses, des méthodes et des références qui contribuent à clarifier et à développer un problème de recherche. Ces informations sont groupées en deux grandes catégories.
La contextualisation du sujet : présentez le cadre spatial et temporel du sujet ainsi que le public ciblé par votre recherche. Un rappel historique de l'évolution d'un concept, un positionnement géographique permettent de situer votre sujet. L'actualité du sujet : précisez dans quelles mesures le sujet est actuel.
Bonjour Messieurs-dames. Bonjour Mesdames/Madame, bonjour Messieurs/Monsieur : pensez-y en arrivant face au jury.
Une phrase d'accroche est une phrase ou un paragraphe qui introduit votre sujet dans l'introduction et doit attirer l'attention de votre lecteur. Cette phrase est le fruit d'un choix personnel et vous être libre de choisir son style.
Nous estimons que / Nous sommes d'avis que... / Il nous semble que... Les résultats de notre étude sur... montrent que... De façon générale, l'analyse a permis de constater que...
L'introduction se divise en trois parties : sujet AMENÉ, sujet POSÉ, sujet DIVISÉ. Les premières lignes de l'introduction doivent présenter, dans un contexte général, la nature du sujet qui sera traité. Le lecteur est ainsi fixé, dès le départ, en voyant que tu as choisi d'aborder tel thème.
Trouve un élément déclencheur (l'ouverture) qui pourrait ressembler à une réflexion, une anecdote, une question, une déclaration. Annonce ton sujet (tu as trouvé un titre captivant). Rappelle ce que tes camarades savent déjà sur le sujet. Présente ton objectif (en général ce que l'auditoire ne sait pas sur le sujet).
Commencer par un phrase d'introduction
Il est possible de débuter cette phrase par des formules telles que « pour conclure » ou « en conclusion ». Cela permet d'indiquer au lecteur que vous vous apprêtez à annoncer l'épilogue du développement de vos arguments.
Hypothèses. 1. Après avoir choisi son sujet, il s'agit de définir et préciser la manière dont on veut l'aborder. Il faut déterminer la question principale autour de laquelle s'articulera le travail de recherche et émettre de façon hypothétique une réponse à cette question.
L'entrée en matière : recadrez le sujet dans son contexte, l'importance de la problématique en évitant les grandes généralités (« de tout temps, les hommes se sont demandé », « depuis toujours »…) b. Réintroduire le sujet, posez votre problématique et déroulez votre plan. « D'abord », « ensuite », « pour finir »…
On pose le sens des mots du sujet, pour expliquer ensuite le paradoxe qui émerge des définitions posées. Au passage, on montre au correcteur qu'on connaît ses définitions. On lui prouve qu'on ne va pas utiliser les mots dans un sens incorrect, déformé, partiel ou connu seulement de nous-mêmes.