L'essentiel est de rester soi-même. Vous pouvez lui en parler devant une boutique pour bébé, ou vous précipiter vers lui avec un coussin sous votre robe, telle Charlotte Gainsbourg dans "ma femme est une actrice". A chacune son style. "Faites-vous plaisir, c'est censé être un moment joyeux !".
Vous pouvez par exemple lui dire qu'avec la trentaine qui approche et la stabilité de votre situation, rien ne vous empêche d'avoir un enfant ; L'approche du changement : faites-lui un rappel de tout ce que vous avez vécu ensemble.
Essayez d'avoir une discussion explicite, calme et ouverte sur votre désir de faire un bébé. Soyez à l'écoute de ses potentielles inquiétudes et n'hésitez pas à rassurer votre partenaire.
Organisez des sorties avec des amis ayant déjà des enfants et montrez-lui que la présence d'enfants vous réjouit. Vous pouvez aussi évoquer de temps en temps les prénoms que vous aimez ou ce que vous aimeriez faire découvrir à votre enfant. L'objectif est qu'elle sente votre désir profond.
Prendre son temps et se faire aider pour y voir clair
Important aussi de ne pas rester seule et de pouvoir se confier et être écoutée. Ce que vivent les femmes confrontées à une grossesse imprévue peut être très violent. Le soutien et le réconfort de l'écoute est alors précieux. N'hésitez pas !
Faire l'amour tôt le matin peut donc améliorer la fertilité naturelle, tout comme prélever le sperme avant 7h30 peut augmenter les chances de réussite de la procréation assistée.
En France, l'âge moyen pour un premier enfant chez les hommes est de 31 ans, contre 28/29 ans pour les femmes. Mais selon les derniers chiffres de l'INED, 5% des hommes font un enfant après 45 ans, soit presque trois fois plus qu'en 1980.
Quand l'enfant se fait trop attendre, les femmes se sentent coupables, invalides. L'obsession devient une spirale infernale : plus elles ont envie d'un bébé qui ne vient pas, plus elles se sentent mal. Elles ont un besoin urgent de se prouver qu'elles peuvent être enceintes.
Cette envie peut être un moyen de se prouver quelque chose à soi-même, par exemple : vérifier sa fertilité, exprimer une volonté de changement, maîtriser sa vie lorsque l'on a l'impression que tout nous échappe, d'autant plus à cette période adolescente où les bouleversements sont très présents.
Mieux se connaître et apprendre à s'accepter
Ce qui m'amène à autre chose : devenir mère m'a permis de mieux me connaître et m'accepter. Comme de nombreux parents, je m'efforce de faire de mon mieux pour éduquer et surtout pour vivre avec mes filles.
Essayez sincèrement de le comprendre sans le juger et sans croire que l'autre refuse simplement pour vous ennuyer. Ensuite cherchez à comprendre ce qui motive votre conjoint. Savoir ce que l'on veut est une très bonne chose, par contre savoir ce que veut l'autre est encore mieux !
Se faire plaisir. Le stress peut occuper tellement l'esprit lorsqu'on essaye de tomber enceinte que nous oublions nos plaisirs habituels. Prenez du papier et un stylo, et notez une cinquantaine d'activités que vous aimez. Il peut s'agir d'un simple bain moussant, ou de danser comme une folle dans votre salon.
Parlez-lui de vos envies de façon positive, à petites doses de temps en temps. Complimentez-le, mettez-le en valeur pour lui montrer qu'il vous rend heureuse, qu'il serait un bon père etc. Vous pouvez par exemple l'inviter au mariage de votre ami Jonathan pour lui montrer que le mariage c'est beau, c'est cool.
La grossesse nerveuse s'explique la plupart du temps par un trouble psychique : le désir impérieux d'avoir un enfant ou au contraire, la peur d'être enceinte. Ce phénomène souvent en lien avec des facteurs externes (stress, problèmes familiaux, troubles du comportement, perte d'un enfant, fausse-couche, etc.)
"Le non désir d'enfant prend ses racines au fin fond de l'inconscient et ne peut faire l'objet de généralités", répond la psychanalyste Catherine Vanier. "Il peut trouver sa source dans la façon dont les relations avec le père ou la mère ont été vécues, dans une histoire familiale.
Communiquer avec son conjoint, exprimer sa tristesse et ce que l'on souhaite : adopter un enfant, essayer d'avoir un enfant avec des techniques de fécondation in vitro... Rencontrer des femmes ou des hommes confrontés à ce renoncement au désir d'enfant peut aussi aider à faire son deuil.
Partagez vos désirs avec votre compagnon. S'il prétexte que vous avez le temps, dites-lui par exemple combien c'est important pour vous que l'écart d'âge entre vos deux enfants ne soit pas trop grand. Vous pouvez aussi demander l'avis du petit premier, il peut se révéler être un bon allier pour convaincre son papa.
The Sun rappelle que le plus jeune père connu est Sean Stewart, devenu en 1998 papa à l'âge de 12 ans avec Emma Webster, une adolescente de 15 ans.
Lina Medina reste à ce jour la plus jeune mère de l'humanité. Jamais elle ne dénoncera celui qui a abusé d'elle. À cinq ans, sept mois et vingt jours, Lina Medina est dans son neuvième mois de grossesse.
L'âge idéal, pour les mères et pour la médecine ? D'après le sondage de l'Institut des Mamans, pour 65% des mères, l'âge idéal au premier enfant se situe entre 25 et 29 ans. Ce qui surprend d'emblée le Pr Tournaire, obstétricien. « Cette tranche d'âge, c'est en fait celle de la grossesse rêvée.
Hormis les menstruations et la douleur parfois ressentie à l'ovulation, il y a plusieurs signes que la femme peut observer au cours d'un cycle. L'humeur, l'ouverture et la taille du col, la consistance de la glaire cervicale et la sensation des seins en sont quelques exemples.
Consommer un à deux produits laitiers entiers par jour pourrait aider à rétablir l'ovulation. Favorisez le lait demi-écrémé (si vous y tenez vraiment), le lait entier, le fromage blanc, les petits suisses et les yaourts non allégés.