Le lexique maritime, adapté à une tâche précise, distingue chaque cordage en fonction de son utilisation : grelin, amarre, filin, garcette, hauban, écoute, aussière, drisse, élingue… Le mot générique actuellement plus fréquemment utilisé, est celui de bout, avec prononciation du « t » final.
➙ câble, cordage, ficelle, filin.
Bâbord, tribord, proue, poupe, et tout un tas d'autres mots ont une origine ancienne et ont évolué afin que les personnes à bord puissent mieux se comprendre. Chaque partie ou pièce d'un bateau a sa propre dénomination, claire et difficile à confondre.
Il n'existe pas de superstition attestée de l'usage du mot corde sur les navires, même si celle-ci servait autrefois à pendre les mutins (Voir l'article détaillé Cordage). De ce fait, la tradition veut que le mot "corde" ne soit pas utilisé pour désigner un cordage.
On amarre un bateau quand on utilise un cordage pour le relier au quai. Ce cordage s'appelle une amarre. Elle est fixée sur un taquet, une bitte d'amarrage ou un bollard. Se dit aussi de fixer quelque chose.
Définition du mouillage
Le mouillage consiste en l'immobilisation du bateau en mer, grâce à une ancre. C'est une manœuvre qu'il est indispensable de maîtriser quand on pilote un bateau, lorsque l'on doit mouiller au port ou si l'on veut profiter en toute sécurité d'une crique pour se baigner.
Sur un bateau, on ne dit jamais, les mots "corde" et "lapin". Pour "corde", dites plutôt “bout” (en prononçant le "t"). Vous pouvez aussi dire “écoute”, "filin", manœuvres… C'est plus précis que “cordes” car, de fait, des cordes, on en trouve vite beaucoup sur un voilier.
Les bananes portent malheur sur un bateau de pêche
C'est d'ailleurs le cas de cette croyance qui soutient qu'avoir une banane à bord de votre embarcation pourrait nuire à vos succès de pêche. Ce qui est encore plus frappant avec ce mythe, c'est qu'il fait presque l'unanimité auprès des pêcheurs.
Drisses : Cordages permettant de hisser les voiles. Elles sont prises sur le point de drisse de la voile, en son point le plus haut. Il y a une drisse par voile. Ecoutes : Cordages permettant d'effectuer les manœuvres de voiles, les réglages.
La quille est la partie la plus basse d'un bateau, elle permet de contrebalancer la force exercée par le vent sur les voiles, empêchant donc le bateau de chavirer.
Aileron de quille ou quille
désigne la partie la plus basse du navire dit quillard. Elle permet de maintenir ce dernier en équilibre et sert également de dérive.
La barre d'un navire (ou barre de gouvernail ou barre de pilotage ou, si en forme de roue, barre à roue) est utilisée pour orienter un navire à moteur ou à voile dans la direction voulue.
Ce qui peut être entouré par une corde : Une cordée de bois. 2. Groupe d'alpinistes reliés l'un à l'autre par une même corde pour faire une ascension.
1. Matériau constitué de torons tordus ensemble, fabriqué avec diverses matières textiles naturelles (lin, chanvre, coton, alfa, etc.)
La couleur verte semble apporter un malheur abyssal, selon l'une des superstitions les plus répandues.
Pour ceux qui cet été vont monter sur un bateau pendant les vacances, il est commun que dire le mot “lapin” à bord d'un bateau porte malheur, mais pourquoi ?
Emporter des oeufs durs à bord, c'est signe de grand malheur, car la Bigouden qui préparait le frichti pour son mari de marin pêcheur, lorsqu'elle en était très amoureuse, elle lui concoctait de bons petits plats, pour sa gamelle de la journée…
C'est une superstition que tout bon marin connaît : les lapins ne sont pas les bienvenus sur les bateaux car ils porteraient malheur. Tellement d'ailleurs qu'il est même déconseillé de dire le mot "lapin" à bord.
Un bout qui se prononce « boute », désigne, de façon générale, un cordage sur le navire car le mot « cordage » n'est jamais utilisé par les navigateurs. Ceux-ci parlent ainsi de « raidir un bout » pour resserrer une tension sur une corde, de « passe-moi le bout » pour « donne-moi le cordage », etc.
Le Lapin est probablement le plus grand tabou des marins. En mer, le nom de “Lapin” est proscrit et l'animal à bord est interdit. Le simple fait de prononcer son nom pourrait être un mauvais présage. Les marins l'appellent “la bête aux grandes oreilles”.
Nous réaliserons un corps mort en béton et on considérera un poids équivalent à 1/3 du poids du bateau. Concernant la forme à adopter, partez sur une base parallélépipède de hauteur inférieure à la base, afin d'assurer une bonne stabilité et éviter un retournement du corps mort.
La boule de mouillage noire fait partie de l'équipement obligatoire de sécurité à avoir à bord. Elle se place en hauteur, à un endroit bien visible, lorsque le bateau est au mouillage. Visible de loin, elle permet aux bateaux alentours de repérer votre bateau et d'identifier qu'il se trouve bien au mouillage.
Faites descendre votre ancre lentement sans la jeter par-dessus bord pour éviter d'emmêler la ligne. Commencez toujours par mouiller l'ancre à l'avant et ne jeter l'ancre par l'arrière que si vous avez vraiment besoin d'embosser. Vous risquez en effet de faire chavirer le bateau à mouiller une ancre par l'arrière.