Estimez-vous heureux, certains en sont carrément phobiques ! En effet, la pentheraphobie est la peur des belles-mères, un traumatisme compliqué à vivre pour votre moitié.
La mégalophobie se caractérise par la peur irrationnelle de tout ce qui paraît de grande taille. Les personnes qui en souffrent peuvent être prises de panique à l'idée de se retrouver face à de grands - ou d'anormalement grands - objets.
Gynécophobie - Peur des femmes (Gynophobie).
Katagélophobie : c'est le petit nom de la peur du ridicule.
Définition. La blemmophobie n'est pas une simple timidité, mais une peur viscérale du regard d'autrui sur le corps.
Dysmorphophobie : la laideur imaginaire ! - Doctissimo.
Car la phobie du vendredi 13 a un nom, la "paraskevidékatriaphobie", vocable formé à partir des mots en grec ancien paraskevi (le 6e jour de la semaine, donc vendredi), decatreis (treize) et phobos (peur).
hippopotomonstrosesquippedaliophobie est une variante orthographique de "hippopotomonstrosesuipédaliophobie", mais incorrecte. Le terme s'utilise par plaisanterie pour désigner la peur des mots trop longs, qui contiennent trop de syllabes.
La carpophobie, c'est la peur des fruits. Les personnes souffrant de carpophobie ont un fort sentiment de dégoût et de répulsion envers les fruits et parfois les légumes. Ils ne peuvent donc ni toucher ni manger ces aliments.
(Très rare) Peur des belles femmes.
(Celui, celle) qui craint ou fuit les hommes.
Peur pathologique des chiens. La cynophobie fait partie des zoophobies, les phobies animales, et touche plus les femmes que les hommes.
Ce nom scientifique est dérivé des mots latins « somnus » (sommeil), et « phobos» (peur). La somniphobie est la peur qui entoure l'idée d'aller au lit, « également connue sous le nom d'anxiété du sommeil ou de crainte du sommeil », rapporte l'étude.
Cyclopentanoperhydrophénanthrène. Un mot de 32 lettres qui permet de désigner « un type de noyau qui entre dans la composition d'éléments biochimiques comme le cholestérol par exemple« .
ɛɡ. za.fɔ.bi\, ou, selon une lecture phonétique, \ɛɡ. za. kɔ.
La butyrophobie est la peur du beurre. Tous les autres produits laitiers (lait, yaourt, fromage...) ne dérangent absolument pas les victimes de ce trouble, mais le beurre les effraie et les dégoûte. La personne atteint de ce trouble craint d'en manger et de le voir.
On raconte que la peur du 13 trouve son origine durant l'Antiquité. Autrefois, le système duodécimal était en vigueur : 12 tribus d'Israël, 12 lunes dans l'année, 12 heures de jour, 12 heures de nuit, 12 travaux d'Hercule… le 13 pouvait donc porter malheur puisqu'il suivait ce 12 parfait et rompait ainsi l'harmonie.
La phobie des clowns a pour nom scientifique la coulrophobie. Le préfixe "coulro" vient du grec ancien "kôlobathristes" signifiant "acrobate qui est sur des échasses".
Selon une enquête de l'association Anxiety UK, c'est la phobie sociale qui arrive en tête du classement. Également appelé «anxiété sociale», ce trouble se caractérise par une peur intense d'être confronté à des situations d'interactions sociales. L'individu est particulièrement angoissé à l'idée de parler en public.
C'est un terme qui vient du mot grec « thanatos » qui signifie « mort ». Une personne qui souffre de thanatophobie vit dans une peur démesurée et irraisonnée de la mort. Il peut s'agir d'angoisse de mort imminente, ou d'angoisses en rapport avec la mort : angoisse de la maladie, de la foule,…
L'athazagoraphobie est caractérisé par un manque de confiance en soi et évolue généralement vers une dépendance affective. Ainsi, si vous souffrez de cette phobie de l'oubli, le meilleur moyen de la transformer en quelque chose de positif est en premier lieu de réapprendre à développer une indépendance affective.
En 1909, le Century Dictionary (publié à New York) publie dans un supplément consacré au nouveau vocabulaire la définition suivante : « Misandrie : la haine de l'homme, mauvaise opinion de l'homme, considéré comme injuste et oppresseur envers les femmes ».