La notation musicale grégorienne, ou simplement notation grégorienne, est une notation musicale employée au Moyen Âge, tout d'abord singulièrement pour le chant grégorien, puis afin de conserver quelques anciens chants monodiques européens.
Dans la notation grégorienne, les notes se présentent en groupes appelés neumes. Tous les neumes sont toujours interprétés de manière liée, le groupement graphique reflétant leur nature de groupe de note. Un neume (ou un groupe d'éléments neumatiques) s'applique toujours à une syllabe unique.
Le nom des notes de musique : Do, Ré, Mi, Fa, Sol, La et Si. Depuis les Grecs, les noms des notes de musique étaient les premières lettres de l'alphabet : A, B, C, D, E, F et G. Au XIème siècle, en 1028, un moine bénédictin Italien, Guido d'Arezzo, a voulu donner un autre nom aux notes pour aider à la mémorisation.
Au 8e et 9e siècle, sous l'influence et l'évolution du chant grégorien, l'écriture musicale se développa et on vit apparaître des accents, virgules et points, appelés les neumes, en marge des manuscrits.
La notation musicale est la transcription sur un support d'une œuvre musicale afin de la conserver, de la diffuser et de l'interpréter ultérieurement.
Douze notes. Sept pour les touches blanches : Do, Ré, Mi, Fa, Sol, La, Si, et cinq pour les touches noires : Do#, Ré#, Fa#, Sol#, La#. Pourquoi douze notes et pas quinze, ou neuf ? La guitare, la flûte, et le saxophone se jouent aussi sur ces douze notes, qui forment l'alphabet de la musique occidentale.
En musique, une note est un symbole ou une lettre permettant de représenter un fragment de musique par une convention d'écriture de la hauteur et de la durée d'un son.
La notation musicale grégorienne, ou simplement notation grégorienne, est une notation musicale employée au Moyen Âge, tout d'abord singulièrement pour le chant grégorien, puis afin de conserver quelques anciens chants monodiques européens.
Aujourd'hui, on va parler du chanteur Grégoire, le vieux Grégoire, celui qui a donné son nom au chant grégorien.
Étymologie. De l'italien solfeggio , du latin solfa (« gamme »), de sol-fa.
C'est Guido d'Arezzo - moine bénédictin lui aussi, mais italien – qui découvre l'astuce au début du XI siècle.
Parce que l'intervalle de quarte équivaut à l'écart entre quatre notes (do, ré, mi, fa), la quinte équivaut à cinq notes (do ~ sol), l'octave à huit notes, etc.
La gamme do, ré, mi, fa, sol, la et si, bien connue des amateurs de solfège, remonte au XIe siècle. A l'époque, le moine italien Guido d'Arezzo, qui réfléchissait à une méthode pour classer la hauteur des notes, avait eu l'idée de choisir le début de chaque vers d'un chant religieux, l'Hymne à Saint Jean-Baptiste.
Le chant grégorien, à l'origine, est monodique (tout le chœur chante la même chose), sur un rythme libre, avec certains passages psalmodiés. Quoique ces éléments soient assez répandus à l'époque, la manière dont ils sont utilisés dans le chant grégorien est très fortement inspirée par la liturgie juive contemporaine.
Chaque neume porte un nom différent. La forme des notes le composant peut être un carré, un losange ou une ligne épaisse. Un neume 'tombe' toujours sur un début de syllabe. Un neume se lit toujours de gauche à droite (comme en musique moderne) mais de bas en haut quand les notes sont sur la même colonne.
Ce chant est généralement considéré, depuis le cérémonial de Clément VIII publié en 1600, comme « chant liturgique par excellence de l'Église », parfois en raison de son origine attribuée à saint Grégoire. Il s'agit du premier sommet de la musique occidentale, composé sous l'influence de la Renaissance carolingienne.
Le chant grégorien :
C'est un chant religieux pratiqué à l'origine par les moines au Moyen-Âge. Il tire son nom du pape Grégoire le Grand ( VIe siècle) qui rassembla les chants dans un recueil appelé Antiphonaire et fonda une école de chant religieux à Rome, la Schola Cantorum.
GRÉGORIEN, -IENNE, adj. Qui se rapporte à différents papes portant le nom de Grégoire, auteurs réels ou supposés de réformes religieuses. A. − Qui se rapporte à Saint Grégoire le Grand, pape de 590 à 604.
Le plain-chant est pratiquement toujours chanté en latin, pour des chants destinés à accompagner des liturgies religieuses. Le chant grégorien est le plus connu et le plus diffusé des répertoires du plain-chant, à tel point qu'on finit par confondre les deux concepts.
Au IXe siècle apparaissent les « neumes » (du grec neuma, « signe »), qui sont les ancêtres des notes : ce sont de petits signes placés au-dessus des paroles dans le but de donner des indications sur la mélodie.
La portée musicale est constituée de cinq lignes parallèles et équidistantes, grâce auxquelles on écrit la musique aujourd'hui. On distingue les lignes, et les interlignes (entre deux lignes).
Tierce mineure : Intervalle de 3 demi-tons entre 2 notes. Par exemple : Do à Mi ♭. Ton : Intervalle de deux demi-tons. Tonique : Première note ou note fondamentale d'une gamme.
Tim Storms détient le record de la note la plus grave jamais chantée. D'après le Guinness Book, elle a été officiellement flashée au sous Sol-8, à 0.189 Hz ! (sic) Autant dire que personne ne l'entendra jamais.
Pourquoi ne peut-il y avoir plus de 88 touches sur un piano ? - Yamaha - France.