Boche est un terme péjoratif pour désigner un soldat allemand ou une personne d'origine allemande, mot qui a été utilisé pendant la guerre franco-allemande de 1870 puis plus largement par les Français, les Belges et les Luxembourgeois de la Première Guerre mondiale jusque bien après la Seconde Guerre mondiale.
Les Français ont pendant longtemps donné des surnoms racistes aux Allemands : boche, chleuh, fritz, frisé, prussien, teuton, etc. L'origine de ces surnoms est diverse : "Boche" est un terme d'argot du 19ème siècle qui était utilisé dans l'expression "tête de boche" (synonyme de "tête de bois" ou "tête dure").
Chleuh est un terme argotique notamment employé en France, autour de la Seconde Guerre mondiale, détournement du nom d'un peuple berbère du Maroc, les Chleuhs, pour désigner de manière péjorative les Allemands dont l'efficacité sur le champ de bataille était semblable à celle des Berbères qui composaient l'essentiel de ...
L'utilisation du mot boche (aussi écrit bosh ou boch) pour appeler nos voisins germaniques remonte à la fin du XIX° siècle. Ce terme est une abréviation du mot d'argot Alboche désignant à l'époque une personne à fort caractère et à l'esprit un peu obtus (alboche = une tête de bois).
fridolin
Familier, péjoratif, vieilli. Allemand, en particulier soldat allemand. (Surnom utilisé surtout pendant la Seconde Guerre mondiale.)
Ce terme est une abréviation du mot d'argot Alboche désignant à l'époque une personne à fort caractère et à l'esprit un peu obtus (alboche = une tête de bois). Pour l'époque, ce surnom était tout trouvé pour désigner ces voisins germaniques plutôt têtus.
Les soldats allemands appelaient aussi les soldats français les « Franzmann » (hommes de France), alors que l'équivalent germanique de poilu est « Der Feldgraue » à cause de la couleur grise de l'uniforme.
Un terme péjoratif
C'est aussi un surnom donné par certains aux soldats allemands après la Seconde guerre mondiale, notamment en raison de leur nombre et des pénuries causées par les réquisitions. Le doryphore ayant détruit les cultures de pommes de terre juste après la guerre, il y a eu une assimilation.
Le tachelhit, ou chleuh (en berbère : ⵜⴰⵛⵍⵃⵉⵜ tacelḥit) est une langue berbère parlée par les Chleuhs au Maroc. Avec 8 à 10 millions de locuteurs, le tachelhit est la plus importante langue berbère du monde, par le nombre de locuteurs et par l'ampleur de son extension.
— le mot frisé était employé dès 1836 pour désigner les juifs le plus souvent d'origine allemande, mais aussi en les réduisant à leur chevelure. On aurait donc en fait une sorte de retournement ironique en désignant les Nazis ou les soldats allemands comme des juifs.
Les Allemands appellent leur pays Deutschland. Pourquoi ? L'adjectif germanique *theudisk désignait le peuple, la famille culturelle à laquelle on appartient. On retrouve ce mot dans « Teutons » ou « Deutsch ».
Au Moyen Âge, les Teutons inspirent le nom français des chevaliers Teutoniques (Deutscher Orden en allemand) et plus tard, le nom de Teutons désignera les Allemands avec des connotations ironiques ou péjoratives.
"Je t'aime" en rifain est par exemple traduisible par "Takhsarcham" lorsque vous vous adressez à une femme. Et "Takhsarchak" est la formule qui convient d'employer pour dire "Je t'aime" à un homme. Par exemple, si votre chéri s'appelle "Ameziane", dites-lui alors "Takhsarchak Ameziane".
"Azul fellawen !" est la façon la plus commune de dire "bonjour" en kabyle.
un terme français argotique (au pluriel Les Fritz) plutôt péjoratif qui servait à désigner les Allemands durant la Première et la Seconde Guerre mondiale, venant probablement du fait qu'il s'agissait d'un prénom allemand assez courant.
Les termes du traité sont si durs que le gouvernement allemand envisage un temps un soulèvement militaire. Il accepte finalement de le signer le 28 juin 1919. Ce «Diktat» ne fait qu'exacerber le sentiment nationaliste en Allemagne, qui sera largement exploité par les nazis.
L'opération Barbarossa est la plus grande invasion de l'histoire militaire en termes d'effectifs engagés et de pertes : près de quatre millions de soldats de l'Axe pénètrent en Union soviétique. En plus des troupes, l'opération Barbarossa a mobilisé 600 000 véhicules et 600 000 chevaux.
Mein Engel : mon ange ; Mein Herz : mon cœur, mon amour ; Meine Maus : ma souris ; Mein Liebling : mon amour.
Pendant les huit premiers mois de la Seconde Guerre mondiale, il n'y a quasiment aucun combat. C'est la "drôle de guerre". La "guerre-éclair" ou "Blitzkrieg" prend le relais à partir du 10 mai 1940, date à laquelle les forces allemandes entrent en Belgique, au Luxembourg et aux Pays-Bas.
Il faut dire que les français utilisaient le mot boche pour tout et rien. L'apparition de BOCHE remonte à la seconde moitié du 19ème siècle, vers 1860, et ''boche'', ça viendrait d' ''ALBOCHE''. Alboche est terme un peu plus ancien formé du préfixe ''AL'', abréviation de ''allemand'' et du suffixe ''boche''.
Un embusqué est, en France pendant la Première Guerre mondiale, un homme valide en âge d'être mobilisé éloigné des postes de combat.
La France se trouve coupée en deux par une ligne de démarcation qui sépare la zone occupée – le Nord et la façade atlantique – de la « zone libre » du Sud. L'armée est réduite, la flotte désarmée. Deux millions de Français sont envoyés comme prisonniers en Allemagne.
Le casque à pointe (en allemand : Pickelhaube) est un modèle de casque militaire utilisé par les armées prussiennes, puis allemandes au XIX e siècle et au début du XX e siècle. Sa pointe devait protéger les fantassins des coups de sabre de la cavalerie.
"Oui" en kabyle peut être traduit soit par "ih" ou bien par "wah". Par exemple, "oui, je t'aime" se dit "ih, hemlegh-kem", si il s'agit d'une femme. Et "ih, hemlegh-k", si c'est un homme. Bien-sûr, cela marche aussi avec "wah".