L'orthorexie est un trouble du comportement alimentaire qui se caractérise par l'obsession de manger sainement. Véganisme, végétarisme, régimes sans gluten, sans lactose, sans sucre, préhistorique, crudivore... Les régimes alimentaires restrictifs sont nombreux.
Le terme orthorexie est-il nouveau pour vous? L'Office québécois de la langue française le définit comme étant : « Un comportement névrotique caractérisé par l'obsession d'une alimentation saine. » En ajoutant que l'orthorexie nerveuse n'est pas reconnue comme une maladie dans le milieu médical.
La néophobie est définie par la réticence à goûter un aliment nouveau, mais elle se manifeste aussi par une certaine sélectivité avec le refus d'aliments acceptés antérieurement et une restriction du registre alimentaire.
Besoin excessif de manger, qui n'est pas limité par le sentiment de la satiété. (Elle peut constituer un des signes d'alerte du diabète.)
L'anorexie: diminution de l'appétit, voire perte totale d'appétit. Comment s'assurer qu'il s'agit bien d'un refus alimentaire ?
goinfre (n.m.) 1. personne qui mange beaucoup, avidement, malproprement.
La monotonie est la vraie norme
Dans l'histoire de l'homme, ce sont les mangeurs monotones qui sont la norme.»
Le syndrome cardinal est une association de plusieurs symptômes rencontrés chez les patients présentant un diabète de type 1 en situation d'insulino-requérence et lorsque la glycémie dépasse 3g/l.
La potomanie est un trouble de la soif engendrant une consommation excessive de liquide, notamment d'eau. Une personne est considérée potomane lorsqu'elle consomme plus de trois litres par jour, tout liquide confondu –hors alimentation solide. Certains potomanes peuvent absorber jusqu'à 24 litres d'eau par jour.
Trouble de l'oralité (« dysoralité ») : trouble développemental des fonctions orales alimentaires. Il peut s'agir de troubles par absence de comportement spontané d'alimentation, ou par refus d'alimentation avec pour résultante que manger n'est pas ou plus un plaisir.
Les troubles alimentaires sont des affections complexes qui peuvent se manifester en bas âge. Il existe quatre types de troubles alimentaires médicalement définis : l'anorexie mentale, la boulimie mentale, l'hyperphagie boulimique (aussi appelée frénésie alimentaire) et les troubles alimentaires non spécifiés.
La perte d'appétit est un trouble fréquent, bénin la plupart du temps, mais qui peut parfois être la conséquence d'une maladie plus grave. Elle se caractérise par une faim inexistante, une disparition de l'envie et du besoin de manger.
Parfois, l'ado peut trouver l'alimentation familiale trop monotone, inadaptée ou plus simplement, elle ne lui convient pas. Cette réaction peut être tout à fait acceptable ; il faut aussi savoir se remettre en question... Votre adolescent peut également refuser de manger tout simplement parce qu'il n'a plus faim.
L'hyperphagie boulimique se caractérise par des épisodes récurrents de crises de boulimie, mais sans le recours aux comportements compensatoires inappropriés caractéristiques de la boulimie. C'est pourquoi les personnes souffrant d'hyperphagie boulimique sont généralement en surpoids ou en situation d'obésité.
On parle d'hyperphagie boulimique lorsque les épisodes récurrents de crises de boulimie ne sont pas associés à des comportements compensatoires (vomissements, utilisation de laxatifs...). En général l'hyperphagie boulimique occasionne un surpoids ou une obésité et génère une souffrance psychique.
S'endormir le ventre vide est totalement déconseillé. Même si on a l'impression que notre corps se met « au repos » (ce qui est le cas), il n'empêche que ce dernier continue de travailler. C'est donc sans surprise qu'il ait besoin d'énergie.
Un amaigrissement peut avoir une multitude de causes, mais 50 % des cas d'amaigrissement impliquent des causes psychiques et rendent nécessaire un bilan médical. La dépression, notamment, entraîne souvent une perte d'appétit persistante. Viennent ensuite les causes organiques, comme les maladies digestives.
Cela implique que le glucose dans le sang ne peut pas être synthétisé par les cellules - en raison d'un manque d'insuline ou d'une résistance à l'insuline. Le corps ne peut donc pas métaboliser la nourriture que l'on mange en énergie. Ce manque d'énergie entraîne alors une augmentation de la faim.
Le syndrome polyuro-polydipsique (SPP) est un motif de consultation fréquent en pédiatrie. Il s'agit du mode de présentation classique du diabète insipide (DI). Le diabète insipide est l'incapacité de l'organisme à concentrer les urines, entraînant une polyurie et une polydipsie compensatrice.
« Manger plus tard peut favoriser un profil négatif du poids et un taux de glucose et d'insuline plus élevés, qui sont impliqués dans le diabète, le cholestérol et les triglycérides, eux-mêmes liés à des problèmes cardiovasculaires et à d'autres problèmes de santé, indique le professeur Namni Goel, chercheur associé en ...
L'Anses (agence de sécurité sanitaire de l'alimentation) a recommandé de ne pas surconsommer les pâtes, qui contiennent de l'aluminium, une substance chimique pouvant s'avérer toxique sur le long terme. Ainsi, manger des pâtes est loin d'être mauvais pour la santé, encore faut-il garder une alimentation équilibrée.
Des scientifiques chinois ont constaté que consommer un œuf par jour pouvait contribuer à réduire le risque de troubles cardiovasculaires. Sur les œufs on entend tout et son contraire : il ne faut pas en abuser, ils font grimper le cholestérol, ils sont bons pour la santé…