Le mobilier liturgique est l'ensemble du mobilier utile ou nécessaire à la célébration de la liturgie, et plus généralement à la célébration des sacrements et cérémonies religieuses.
Oratoire (édifice religieux) — Wikipédia.
Les ornements liturgiques sont les habits de cérémonie des principaux officiants : l'étole et la dalmatique pour le diacre, l'étole et la chasuble — ou la chape — pour le prêtre et pour l'évêque, qui porte en plus la mitre, et, s'il est archevêque, le pallium.
Un autel est une table consacrée sur laquelle, dans la liturgie catholique, le prêtre célèbre le saint sacrifice de la messe, ou eucharistie, comme mémorial de la dernière Cène du Christ et renouvellement non-sanglant du sacrifice de la Croix.
Le manuterge en tissu plus absorbant, est destiné à essuyer les mains du prêtre lors du lavement des mains, il est posé près de la burette d'eau. Le corporal, déployé au moment de l'offertoire et replié après la communion, est destiné à recevoir les offrandes qui deviendront le corps et le sang du Christ.
Les vitraux sont censés être édifiants pour les fidèles et représentent bien souvent des scènes bibliques, la vie des saints mais parfois aussi la vie quotidienne au Moyen Âge, constituant une véritable « Bible du pauvre (en)» selon l'expression d'Émile Mâle.
La calotte est une coiffe ronde, portée par les ecclésiastiques dans la liturgie catholique. Elle est également en usage chez les Anglicans. Chez les catholiques, on la nomme parfois de son italien zucchetto (/dzukˈketto/).
Il porte la mitre durant les cérémonies officielles. Il existe trois types différents de mitres.
Les parements ou parements liturgiques ou la paramentique (néologisme créé du latin parare, « préparer, apprêter » et le suffixe fonctionnel -mentum suivi de la terminaison -icus adjectivale), sont l'ensemble des vêtements, coiffes, tentures et ornements utilisés dans les liturgies chrétiennes.
On parle de statue pour des œuvres de taille moyenne (égale ou supérieure à la moitié de la taille naturelle, pour une sculpture d'être humain), à grande (la statue de la Liberté atteint 92 m de haut) ; une œuvre plus petite est appelée statuette.
Le mime-statue, parfaitement immobile, donne l'illusion d'être statufié. On reconnaît le « mime-statue » ou « statue-vivante » à son immobilité parfaite. Capable de rester immobile tel un personnage du musée de cire.
La Victoire de Samothrace est un monument votif trouvé dans l'île de Samothrace, au nord de la mer Égée. C'est un chef-d'œuvre de la sculpture grecque de l'époque hellénistique, datant du début du II e siècle av.
On appelle attributs des saints des caractéristiques figuratives (objets, animaux) utilisées dans les représentations des saints chrétiens.
La patène (du latin patena, plat creux) : c'est le plat de forme circulaire et concave destiné à recevoir l'hostie.
La soutane extérieure, ou exorason, est une robe noire ample portée par-dessus la soutane intérieure par les évêques, les prêtres, les diacres, ainsi que les moines, faisant ainsi fonction d'habit pour la vie de tous les jours.
Se couvrir la tête avec une kippa (littéralement, le terme hébreu signifie une voûte, ou encore un calot, morceau de tissu rond qu'on pose sur son chef) est une pratique courante chez les Juifs religieux.
Pendant des siècles, les chefs de l'Eglise catholique ont adopté la tiare papale, couvre-chef doté de trois couronnes d'or et symbolisant le triple pouvoir du pape, spirituel, moral et politique, qui le plaçait au-dessus des rois et des empereurs.
La barrette, de l'italien berretta lui-même emprunté au latin médiéval biretum, est une coiffe de forme carrée, en étoffe doublée de tissu épais, de carton ou de cuir, autrefois portée au chœur par les clercs qui n'avaient pas l'usage de la mitre et parfois comme coiffure ordinaire en dehors des églises.
Description. La cathèdre est le siège fixe de l'évêque : elle ne doit jamais changer de place !
Crosse d'Evêque. Bâton surmonté de deux figurines de serpents symbolisant la sagesse et la prudence, le bâton pastoral fait partie de la tenue d'un évêque.
La cathèdre est un siège ou un trône liturgique réservé à un évêque dans un lieu de culte, généralement une cathédrale, ou à un abbé dans les bâtiments de l'abbaye dont il a la direction.
Dès la Renaissance, et surtout à partir du XVIIIème siècle, les gros instruments sont installés sur une tribune, souvent située au fond de l'église face au ch ur, mais non sans de multiples variantes : instrument sans tribune suspendu au-dessus de l'entrée à Sarlat (Dordogne, 1752) ou tribune dans la nef à Altenburg ( ...
Dans son acception la plus large, le terme « tribune » désigne une galerie supérieure charpentée ou voûtée, suffisamment vaste pour qu'on puisse y circuler, et qui ouvre sur l'intérieur de l'édifice par une suite de baies plus ou moins importantes.
En architecture, la nef est une salle oblongue d'une basilique civile ou d'une église allant du portail à l'hémicycle (pour la basilique), de la façade à la croisée du transept ou à l'entrée du chœur (pour l'église avec ou sans transept) et qui est fermée par deux murs latéraux et un comble.