Pourquoi appelle-t-on les soldats de la Première Guerre mondiale « les poilus » ? Le terme « poilu » n'est en aucun cas une affaire de barbe mais découle d'expressions françaises nées à partir du XVIIe siècle pour désigner le courage, la bravoure des soldats qui partent au combat.
Un poilu, en 1917. Le terme poilus était le surnom des soldats français, durant la Première Guerre mondiale. On pense souvent qu'ils doivent ce surnom au peu de commodité de se raser dans les tranchées, et que leur moustache et leur barbe finissaient par pousser, de sorte qu'ils paraissaient tout poilus.
À l'armée, les soldats s'appellent officiellement « les hommes ».
Les « poilus » se rasaient avec soin
« Les historiens paresseux ont longtemps admis que ce mot avait un rapport avec la barbe hirsute des soldats qui ne pouvaient pas se raser dans les tranchées.
Mais pourquoi les appelle-t-on ainsi ? Le terme "poilu" est un sobriquet donné aux soldats français de la Première guerre mondiale. Dans l'imaginaire collectif, ce surnom a été donné pour désigner les soldats du front, ces hommes mal rasés vivant dans des conditions d'hygiène compliquées.
Pourquoi appelle-t-on les soldats de la Première Guerre mondiale « les poilus » ? Le terme « poilu » n'est en aucun cas une affaire de barbe mais découle d'expressions françaises nées à partir du XVIIe siècle pour désigner le courage, la bravoure des soldats qui partent au combat.
Terme utilisé par les Français pour désigner les Allemands pendant la période conflictuelle entre les deux pays qui a débuté en 1870 et s'est terminée en 1945. Les Belges et les Québécois ont repris par la suite ce terme.
Gaz moutarde (ypérite)
Ce gaz, qui tient son nom d'une forme impure du produit chimique ayant l'odeur de moutarde, est aussi parfois appelé ypérite, en référence à la ville d'Ypres, en Belgique, où il fut pour la première fois utilisé au combat le 11 juillet 1917.
Le dernier poilu français vivait au Kremlin-Bicêtre et s'est éteint le 12 mars 2008 à l'âge de 110 ans.
Quel âge avaient-ils ? Le plus jeune de nos poilus du canton d'Eymoutiers, morts pour la France, avait 19 ans, le plus vieux 49 ans. L'âge moyen de l'ensemble de nos poilus est de 25 ans. Le plus jeune poilu Français, mort pour la France, était Désiré BIANCO.
Le terme ancien combattant est né suite à la Première Guerre mondiale où de nombreux soldats français ont combattu pour la France. L'Etat leur a donné ce nom pour les distinguer de ce moment de l'Histoire qu'on appelle la Grande Guerre.
Aspirant : l'aspirant est un sous-officier qui aspire à entre dans le corps des officiers.
En France, les soldats qui combattent sur le front sont appelés les « poilus », sans doute parce qu'ils n'avaient ni le temps ni les moyens de se raser. Pour conserver à tout prix le terrain conquis, les troupes s'enterrent dans des tranchées, parfois fortifiées, qui forment bientôt un labyrinthe boueux.
Fossé permettant au combat la circulation et le tir à couvert. (En cas de guerre de position, les tranchées sont équipées de postes d'observation et de commandement, d'abris et de boyaux les reliant à l'arrière ; elles deviennent alors de véritables positions fortifiées.)
Surnommées les « munitionnettes », ces ouvrières, subissent des conditions de travail très éprouvantes. Elles tournent 2 500 obus de 75, soit 4 500 kg de métal, plus de dix heures par jour.
Lazare Ponticelli est mort le 12 mars 2008 à 110 ans. Louis de Cazenave est mort le 20 janvier 2008 à 110 ans. Raymond Cambefort est mort le 16 janvier 2008 à 107 ans. Justin Tuveri (en) est mort le 5 octobre 2007 à 109 ans.
Le 11 novembre 1918, à quelques minutes du cessez-le-feu, l'agent de liaison Augustin Trébuchon est tué alors qu'il porte un dernier message, devenant ainsi le dernier soldat français disparu pendant la Première Guerre mondiale...
Le Britannique Claude Choules, dernier vétéran connu de la Première Guerre mondiale, est mort mercredi en Australie à l'âge de 110 ans, ultime témoin de l'un des conflits les plus meurtriers de l'histoire.
Le chlore, le phosgène (un agent suffocant) et le gaz moutarde (qui inflige des brûlures de la peau douloureuses) étaient au nombre des produits chimiques utilisés. Ces armes frappaient sans discrimination et avaient des effets souvent dévastateurs. Elles ont fait près de 100 000 morts.
Une arme chimique est un produit chimique utilisé pour provoquer la mort ou d'autres dommages par son action toxique. Les munitions, dispositifs et autres matériels spécifiquement conçus pour transformer en arme des produits chimiques toxiques entrent également dans la définition des armes chimiques.
certain dans la sophistication des armes chimiques. Au début il s'agissait d'une pâte incendiaire inventée par le grec Kallinikos en 673 dont la composition était la suivante : - poix à laquelle on ajoute du soufre, du salpêtre, de l'oxysulfure d'antimoine puis que l'on mélange avec de la chaux vive.
Étymologie. De Chleuh, un peuple amazighe du sud marocain. Lors de la Première Guerre mondiale, le mot apparait avec le sens de « soldat des troupes territoriales » dans l'argot des soldats combattant au Maroc. (1936) Avec le sens de « frontalier parlant une langue autre que le français : comtois ou alsacien ».
un terme français argotique (au pluriel Les Fritz) plutôt péjoratif qui servait à désigner les Allemands durant la Première et la Seconde Guerre mondiale, venant probablement du fait qu'il s'agissait d'un prénom allemand assez courant.
Boche est un terme péjoratif pour désigner un soldat allemand ou une personne d'origine allemande, mot qui a été utilisé pendant la guerre franco-allemande de 1870 puis plus largement par les Français, les Belges et les Luxembourgeois de la Première Guerre mondiale jusque bien après la Seconde Guerre mondiale.