Il existe plusieurs types de tombes funéraires : caveau, pleine terre, enfeu... et chacune a sa propre terminologie : sépulture, stèle, semelle, ... La tombe funéraire, ou monument funéraire, est un ouvrage destiné à perpétuer le souvenir et à matérialiser l'emplacement d'une sépulture.
Une dalle funéraire (en) , appelée aussi dalle tumulaire, est une plaque, le plus souvent de pierre et posée au-dessus d'une sépulture, notamment dans le dallage d'une église ou sur un mur, et portant en général une épitaphe ou une effigie gravée.
Porteurs : Personnes chargées de porter le cercueil lors de la cérémonie. Ils sont en général quatre mais peuvent n'être que deux si des employés du crématorium peuvent se substituer à eux. La famille peut également choisir de porter elle-même le cercueil pour rendre un dernier hommage au défunt.
Tombe n.f. = endroit où un mort est enterré ; fosse recouverte ou non d'une dalle de pierre, de marbre, etc. Tombeau n.m. = monument funéraire plus ou moins imposant élevé sur une tombe.
Aujourd'hui, on appelle « caveau » une simple fosse maçonnée dans le sol d'un cimetière, fermée en surface par une plaque de pierre recouverte d'une pierre tombale, d'une stèle, d'un prie-Dieu ou d'un soubassement, et destinée aux cercueils des membres d'une famille.
Cénotaphe = tombeau vide, monument élevé à la mémoire d'un mort (du grec kenos, vide, et taphos, tombeau).
Un bon compromis entre tombe et caveau funéraire
Le caveautin est un monument funéraire constitué de dalles de ciment entourant le cercueil avant le comblement de la fausse. Cela le protège ainsi de la pression de la terre, mais pas de l'humidité. En effet, il n'est pas imperméable, à l'instar du caveau.
Il existe plusieurs types de tombes funéraires : caveau, pleine terre, enfeu... et chacune a sa propre terminologie : sépulture, stèle, semelle, ... La tombe funéraire, ou monument funéraire, est un ouvrage destiné à perpétuer le souvenir et à matérialiser l'emplacement d'une sépulture.
Un cénotaphe est un monument funéraire élevé à la mémoire d'une personne ou d'un groupe de personnes et dont la forme ou l'ornementation rappelle un tombeau, mais qui ne contient pas de corps (contrairement au mausolée). Le monument aux morts est ainsi le plus souvent un cénotaphe.
Le mot cénotaphe vient du grec “kenos” qui signifie le vide et “taphos” qui signifie le tombeau. Ainsi, le cénotaphe est un monument funéraire vide, sans corps, destiné souvent à des fins de commémoration.
Car, au 8e siècle, les Francs utilisaient 'une béra'. 'Une béra' était une civière sur laquelle on plaçait les blessés ou les morts. Au 12e siècle, le mot est resté : lorsqu'on a commencé à placer les défunts dans un cercueil, 'béra' est devenu 'bière'. On était donc 'mis en bière.
Ce repas ou verre du souvenirs est une façon de prolonger l'hommage rendu au défunt de façon moins formelle et de remercier les proches de leur présence en ce moment éprouvant.
Défunt : Définition simple et facile du dictionnaire.
Le caveau est plus onéreux à construire qu'une « pleine terre », mais il permet également, dans la durée, de réduire les frais d'entretien, comparativement à une tombe pleine terre, qui « bouge » dans le temps. Certains monuments funéraires peuvent revêtir des formes diverses, parfois érigés sans limite de coût.
Une épitaphe (du grec ἐπιτάφος / epi, « sur » et taphos, « tombeau ») est une inscription funéraire, placée sur une pierre tombale ou un monument funéraire, afin de rappeler le souvenir de la personne morte. Elle peut présenter le nom et les dates de la personne défunte, ou un texte qui fait l'éloge de cette personne.
Sépulture enterrée destinée à accueillir les urnes des défunts, la cavurne est un monument cinéraire au statut particulier. En effet, puisque l'urne contenant les cendres du défunt est placée sous terre, il s'agit d'inhumation bien que le corps du défunt ait été crématisé.
En cercueil, le défunt sera inhumé dans une tombe en pleine terre ou dans un caveau (souvent familial). En urne, le défunt sera inhumé dans une tombe en pleine terre individuelle (urne enterrée, tombe-urne) ou familiale (minitombe), dans un cavurne (petit caveau) ou dans une case de columbarium.
Pour une concession de 15 ans, il faut prévoir un budget entre 200 et 300 €. Quant à une concession de 30 ans, il faut compter entre 350 et 450 €.
en pleine terre ; en caveau ; dans une case de columbarium.
Si les ornements funéraires sont emprunts de symbolique, à l'image des monuments cinéraires ou funéraires qui émaillent nos cimetières, ils sont également le reflet du caractère du défunt ou des liens qui l'unissaient à son entourage, soucieux de lui rendre un dernier hommage personnalisé.
Le caveau peut contenir plusieurs cases permettant alors d'accueillir plusieurs cercueils, dans le cadre d'une concession familiale. La pose d'un caveau permet également la mise en place d'un monument funéraire qui, grâce aux fondations solides apportées par le caveau, ne risquera pas de faire effondré la sépulture.
Les différentes formes de cercueil portent les noms de « Parisien », « Lyonnais », « tombeau », « sarcophage » ou « coffre ».
Et c'est un détail qui donne au terme “funérailles” une certaine 'grandeur' et l'appartenance à un registre de langue soutenu, tandis qu' obsèques reste un terme courant qui s'adapte à tous les styles et ayant un usage plus fréquent, plus familial.