La personne contrôlante cherche ainsi à faire faire, dire, penser ou ressentir par l'autre ce qu'elle veut que l'autre fasse, dise, pense ou ressente, ceci contre sa volonté ou à son insu.
Maniaques du contrôle selon leur entourage, parfois appelées control freaks, elles sont décrites par des termes comme « rigidité, froideur, intransigeance, critique inlassable ». Avec elles, il est souvent difficile de garder patience au fil des ans.
Définitions de « surveillant »
Dans le jargon lié à la psychologie, le terme maniaque du contrôle désigne un individu qui tente de déstabiliser en se basant uniquement sur l'imposition de règles personnelles envers son entourage.
En général, les personnes qui veulent tout maîtriser ne se contentent pas d'organiser leur quotidien, elles veulent également contrôler leurs émotions : retenir des larmes, éviter les démonstrations d'affection voire même contrôler son désir.
La personne contrôlante cherche ainsi à faire faire, dire, penser ou ressentir par l'autre ce qu'elle veut que l'autre fasse, dise, pense ou ressente, ceci contre sa volonté ou à son insu. Le jeu de pouvoir produit la plupart du temps un malaise chez la personne qui le subit.
Définitions : analyste - Dictionnaire de français Larousse.
panophobie, pantophobie , subst. fém., psychanal. État d'anxiété intense et mal définie ne portant sur aucun objet précis, qui s'observe dans un grand nombre de maladies et syndromes.
Les personnes psychorigide présentent un certain nombre de comportements : des difficultés à évoluer, peu d'adaptabilité, beaucoup de mal à aller de l'avant, besoin de beaucoup de temps pour prendre des décisions peu importantes.
(Prison) Celui qui garde les prisonniers. (Prison) Le concierge de la prison.
Qui est caractérisé par la compulsion, par des gestes répétitifs, par des idées fixes.
Votre partenaire est contrôlant
Si votre conjoint vous interroge sur vos déplacements ou calcule votre temps d'absence de la maison, il pourrait avoir un problème avec le contrôle et ses insécurités, dit Rudi Rahbar, psychologue clinicienne.
On ne naît pas psychorigide, on le devient. Selon la théorie psychanalytique, il s'agirait de personnes qui auraient trop idéalisé leurs parents : elles éprouveraient ainsi une grande satisfaction à se conformer à des règles, de la même façon, qu'enfant, elles obéissaient aux adultes.
Strictes, inflexibles: les personnes psychorigides dirigent leurs existences grâce à un arsenal de règles auxquelles il ne faudrait déroger sous aucun prétexte. Un cadre qu'ils ont tendance à imposer à leur entourage.
Perte du sens des réalités, intolérance à la contradiction, actions à l'emporte-pièce, obsession de sa propre image et abus de pouvoir... Ce seraient quelque uns des symptômes d'une maladie mentale liée à l'exercice du pouvoir, le syndrome d'hubris.
Les «obstineux» compulsifs.
On a pu voir que les narcissiques sont des personnes obsédées par la publication quasiment constant de leurs réussites, objectifs atteints, vertus apparentes et compétences élevées. Cependant, ce type de personnalité caractérisé par une vision élevé de soi-même n'admet jamais ses propres erreurs.
Se remettre en question nous permet de progresser dans la vie. Celui ou celle qui ne se remet jamais en question s'empêche de se découvrir et de se comprendre lui-même. Or, l'homme a besoin d'apprendre sur lui-même et sur les autres, sur ses émotions, réactions mais aussi sur ses erreurs, afin de s'améliorer.
La mégalophobie se caractérise par la peur panique et irrationnelle des grandes choses et gros objets.
La musophobie ou la peur des souris et des rats.
Il désigne "la peur ou l'inquiétude à l'idée d'être sans son téléphone portable ou de ne pouvoir l'utiliser". "Nomophobie" résulte de la contraction de l'expression "no mobile phone phobia". Un mot méconnu du grand public mais utilisé par la presse et les chercheurs, même s'il ne s'agit pas d'un terme scientifique.
Ce phénomène, nommé en anglais "overthinking", bloque notre esprit en le remplissant d'angoisses, de peurs et d'inquiétudes inutiles. Les pensées sont normales et impossible à arrêter, mais c'est la manière de gérer ses pensées qui va faire la différence.
Susan Nolen-Hoesksema définit, de fait, l'overthinking comme étant "la propension à ressasser en boucle, de façon obsessionnelle, un certain nombre de pensées ou de sentiments négatifs".
Règle N°2 pour cerner les gens : observer le contexte
Ensuite, on a le contexte. C'est à dire l'environnement dans lequel tu te trouves. Si une personne croise les bras, si elle est recroquevillée sur elle-même, observe ce qui se passe autour de toi.