L'un des comportements addictifs liés à l'utilisation du téléphone portable porte désormais un nom, la nomophobie (addiction au téléphone portable). Un phénomène émergent, renforcé par la crise sanitaire en cours, et qui pourrait avoir des conséquences néfastes sur la santé.
La nomophobie, contraction de l'expression "no mobile phone" et "phobia", est la peur de se retrouver sans son téléphone mobile : elle traduit, de fait, une addiction au portable.
Le terme nomophobie vient de la contraction de l'expression anglaise «no mobile phobia», littéralement, peur de l'absence de téléphone portable.
Il désigne "la peur ou l'inquiétude à l'idée d'être sans son téléphone portable ou de ne pouvoir l'utiliser". "Nomophobie" résulte de la contraction de l'expression "no mobile phone phobia". Un mot méconnu du grand public mais utilisé par la presse et les chercheurs, même s'il ne s'agit pas d'un terme scientifique.
Si l'idée de vous retrouver sans téléphone portable ou d'imaginer votre smartphone en panne vous inquiète vraiment, vous souffrez de nomophobie (contraction de l'expression en anglais No Mobile Phone Phobie). Il est grand temps de déconnecter !
(Néologisme) (Anglicisme) Qui est drogué, accro, sous dépendance.
L'étude de Nutt démontre que l'héroïne est la drogue la plus addictive de toutes, avec un score maximal de 3/3. Il s'agit d'un opiacé qui entraîne une augmentation de 200 % du niveau de dopamine dans le système de récompense du cerveau, comme l'ont prouvé les expériences menées sur des animaux de laboratoire.
Il existe plusieurs types d'addictions : les addictions aux produits (tabac, alcool, cannabis etc.) et les addictions sans produit (écrans, jeux d'argent et de hasard, etc.).
La Thérapie Interpersonnelle (TIP) et la Thérapie cognitive et Comportementale (TCC) sont à privilégier dans l'addiction au portable. Le diagnostic et le suivi par un psychiatre (médecin) est indispensable.
Selon l'étude de la société YouGov, 53% des détenteurs d'un smartphone présentent de l'anxiété quand ils perdent leur objet connecté ou quand celui-ci a un niveau de batterie faible ou capte une couverture réseau trop faible.
La mégalophobie se caractérise par la peur panique et irrationnelle des grandes choses et gros objets.
L'athazagoraphobie est caractérisé par un manque de confiance en soi et évolue généralement vers une dépendance affective. Ainsi, si vous souffrez de cette phobie de l'oubli, le meilleur moyen de la transformer en quelque chose de positif est en premier lieu de réapprendre à développer une indépendance affective.
Nom commun
(Médecine) Peur ou aversion irraisonnée en présence de personnes chauves.
Les personnes qui conservent tout, y compris des objets inutiles et sans valeur, s'appelle la syllogomanie. Ce trouble comportemental dont le nom vient du grec ancien : σύλλογος / súllogos qui signifie « rassemblement » est parfois appelé « thésaurisation pathologique » ou collectionnisme.
"L'addiction aux écrans professionnels est reliée elle au phénomène du workaholism, l'envahissement par le travail.
Plusieurs signes doivent vous préoccuper d'une utilisation excessive des écrans : Se surprendre à être sur son téléphone / ordinateur le soir, jusque tard dans la nuit à consulter le fil d'actualité des réseaux sociaux ou à jouer à des jeux en ligne. Dormir avec son téléphone.
Le symptome de l'hypervigilance
Dormir avec son téléphone allumé induirait donc inconsciemment un symptôme d'hypervigilance poussant l'individu à être constamment sur le qui-vive, même pendant son sommeil.
Cette étude a montré une augmentation du risque du cancer du cerveau, pour les plus forts utilisateurs du téléphone portable. C'est-à-dire que la catégorie de 10% les plus exposés avait une augmentation de 40% de risque de cancer du cerveau.
Des applications d'auto-censure peuvent t'envoyer des notifications régulières pour mieux gérer ton quotidien. Elles peuvent par exemple te rappeler de te lever périodiquement du bureau et de faire quelques pas, t'informer quand il est temps d'éteindre ton smartphone après un temps de connexion excessif, etc.
Les addictions les plus fréquentes sont celles relatives aux substances psychoactives réglementées (tabac, alcool...), détournées de leur usage (médicaments, poppers, colles, solvants…) ou illicites (cannabis, cocaïne, ecstasy...).
L'addiction est une maladie du système nerveux face à laquelle nous ne sommes pas tous égaux. En effet, certains d'entre nous sont plus vulnérables face à la consommation de substances psychoactives ou à certains comportements du fait de leurs gènes mais aussi de l'environnement dans lequel ils évoluent.
Souvent vendu sur le marché noir, le méthylphénidate est le médicament intelligent le plus populaire. Initialement développé comme un médicament uniquement sur ordonnance pour traiter le TDAH, comme le Ritalin et le Concerta, il agit en augmentant le niveau des neurotransmetteurs dans le système nerveux.