Un mot épicène est un mot désignant un être animé qui est identique pour les deux genres grammaticaux. Il peut être employé au masculin et au féminin sans variation de forme.
Les noms épicènes peuvent avoir différentes terminaisons, par exemple : –aire (actionnaire, adversaire, bibliothécaire, décisionnaire, destinataire, locataire, militaire, notaire, prestataire, propriétaire, stagiaire, titulaire, etc.)
Généralement, un mot peut avoir plusieurs sens différents. On dit alors qu'il est polysémique (en grec, « poly » signifie « plusieurs » ; « sème » signifie « sens »). Exemple : Le mot « côte » peut désigner : un os, une pente, un rivage maritime, etc.
1. Se dit d'un nom qui a la même forme aux deux genres, correspondant aux deux sexes (par exemple un élève/une élève, un enfant/une enfant). 2. Se dit d'un nom qui peut désigner indifféremment un mâle ou une femelle (par exemple la perdrix, le papillon).
Les mots sans genre défini
C'est le cas des noms communs « amour », « délice » et « orgue », qui sont ainsi masculins au singulier et féminins au pluriel !
Certains mots sont considérés comme épicènes parce que toute tentative de les féminiser entraînerait ce qu'il y a lieu d'appeler des « collisions sémantiques » et produirait parfois même des effets cocasses.
Mot formé en changeant de place les lettres d'un autre mot. (Une anagramme de gare est rage.)
FÉMININ, adjectif
Qui a les caractères d'une femme ou qui ressemble à une femme. Composé de femmes.
🔹 On utilise les adjectifs neutres pour rester objectif, pour ne pas donner de jugement. Quelques adjectifs neutres : attentif, quotidien, extérieur, social, ambiant, immédiat, intérieur, profond, fondamental, nuageux, littéraire, musical, local, final, traditionnel, nombreux, jeune, âgé, rural, urbain, etc.
Amour, délice et orgue : des mots masculins au singulier et féminins au pluriel. Ces trois mots dans la langue française ont une particularité assez étonnante : ils sont masculins au singulier et ils sont féminins au pluriel. Il s'agit des mots amour, délice et orgue.
Un art luxueux ultra-nu, telle pourrait être la définition du palindrome, laquelle constitue elle-même un palindrome ! Il existe des mots palindromes, comme radar, rotor, kayak, été, ici, tôt, ressasser, réifier… Parmi les noms propres, on peut citer Bob, Ève, Natan, Anna, Otto…
Le Larousse explique qu'un palindrome, du grec palindromos, « qui revient sur ses pas », est un mot ou un groupe de mots qui peut être lu indifféremment de gauche à droite ou de droite à gauche, comme le prénom « Anna », la ville de « Laval » ou le verbe « ressasser » – qui, avec ses neuf lettres, est le plus long mot ...
polysémie
Propriété d'un terme qui présente plusieurs sens. (Les mots les plus fréquemment utilisés sont le plus souvent polysémiques. En revanche, la monosémie caractérise surtout les vocabulaires scientifiques et techniques.)
Cela passe notamment par la féminisation de tous les titres, fonctions ou métiers : « la directrice », « la ministre », « l'auteure »… Entamée dès la fin des années 1990, cette évolution reflète celle de la société actuelle, tout en renouant paradoxalement avec des conventions remontant au Moyen Âge.
Deuxième règle : pour évoquer un groupe de personnes, on prend le soin de décliner à la fois au féminin et au masculin. C'est ce qu'on appelle la double-flexion. On obtient alors «les candidates et les candidats à l'élection présidentielle» ou «les cheffes et les chefs de service» si l'on choisit d'énumérer.
Selon l'agence Mots-Clés, l'écriture inclusive « désigne l'ensemble des attentions graphiques et syntaxiques permettant d'assurer une égalité des représentations entre les femmes et les hommes. » Exemples : « professeure », « présidente », « agente », « écrivaine », etc.
Les adjectifs suivants sont péjoratifs : détestable, horrible, laid, méchant, affreux, idiot, débile, stupide, ridicule, raté, médiocre, ennuyeux, pitoyable, dégoûtant. Les verbes suivants sont péjoratifs : détester, haïr, rire de, se scandaliser, dégoûter, effrayer, ennuyer, indigner.
les pronoms objets soi et ellui sont des pronoms réfléchis, ils servent dans des phrases comme « je vais chez ellui » ou »je vais chez soi » mais sont moins lisibles si on les utilise comme des pronoms non réfléchis, comme dans « je vais ellui chercher » (préférer : « je vais lea/lo chercher »).
Se dit d'une expression qui n'est marquée par aucun accent, aucun sentiment : Annoncer une nouvelle dramatique sur un ton neutre.
sororal adj. Qui concerne la sœur, les sœurs.
Sens 1. Etymologie : de viable, adjectif dérivé de vie, du latin vita, vie, existence, temps de la vie, avec le suffixe -ité, indiquant une caractéristique. L'adjectif viable qualifie ce qui est apte à vivre ou à survivre.
➙ joli, magnifique, ravissant, splendide, superbe; s'oppose à laid.
Une anagramme peut-être qualifiée de belle si elle est parfaite (respect des accents, tirets, etc) et/ou si elle implique un lien sémantique entre les deux mots (exemples : niche/chien, soigneur/guérison, récit/écrit, guêpier/piégeur, engrais/graines, etc). Camille Saint-Saëns est une anagramme de il calme sans tisane.
On le nomme en effet Arouet Le Jeune, qu'il écrit "Arouet LJ". En latin, cela s'écrit "AROVET LI". En s'appuyant sur la version latine de son nom, l'écrivain a décidé de faire une anagramme. Il a donc réorganisé les lettres de "AROVET LI", avec pour résultat le nom "VOLTAIRE".
Avez-vous noté que SOIGNEUR est l'anagramme de GUÉRISON et ENDOLORI celle d'INDOLORE ? Les anagrammes sont des mots obtenus par transposition des lettres d'un autre mot.