Noms basés sur la métrique Le nom d'un vers dépend de son nombre de syllabes. Les vers de 1 à 12 syllabes sont appelés : monosyllabe, dissyllabe, trisyllabe, tétrasyllabe (ou quadrisyllabe), pentasyllabe, hexasyllabe, heptasyllabe, octosyllabe, ennéasyllabe, décasyllabe, hendécasyllabe, alexandrin (ou dodécasyllabe).
On ne saurait en revanche se contenter de définir l'alexandrin comme un vers de douze syllabes : les composants de l'alexandrin sont les hémistiches, et les syllabes ne sont que les composants de l'hémistiche.
deux syllabes : dissyllabe. trois syllabes : trisyllabe. quatre syllabes : tétrasyllabe ou quadrisyllabe. cinq syllabes : pentasyllabe.
Dans la poésie « traditionnelle », les vers d'un poème comptent un nombre régulier de syllabes. Les vers les plus connus sont les pentasyllabes (5 syllabes), les hexasyllabes (6), les heptasyllabes (7), les octosyllabes (8), les décasyllabes (10), les alexandrins (12).
Le pentasyllabe (en grec, pente = « cinq ») est le vers de cinq syllabes. À l'instar des autres vers courts, il est surtout employé en hétérométrie. Par exemple, dans La Musique de Charles Baudelaire, où il est utilisé en alternance avec l'alexandrin : La musique souvent me prend comme une mer !
Un décasyllabe est un vers de dix syllabes.
Ainsi l'hexasyllabe est un mètre simple de 6 syllabes. L'heptasyllabe est un mètre simple de 7 syllabes.
Il existe trois types principaux de vers de terre : les vers de compost ou de surface (les épigés), les vers de terre (les anéciques) et les vers qui vivent dans la terre (les endogés).
Un tercet est une strophe de trois vers.
Les vers impairs recherchent l'écart et la souplesse, ils sont fondés sur le nombre de syllabes qu'ils comportent : trisyllabe (3 syllabes), pentasyllabe (5 syllabes), heptasyllabe (7 syllabes), ennéasyllabe (9 syllabes), hendécasyllabe (11 syllabes).
Il y a structure d'attente dès que le retour de la rime (ou du mètre) cesse de répondre à une succession simple, ainsi lorsqu'on fait se succéder des rimes croisées (AbAb) ou embrassées (AbbA), ou lorsqu'on se propose des schémas plus complexes (aBaaB, aaBccB, etc.).
Il crée un effet de continuité rythmique, de fluidité. Pour un poème en alexandrin, le rythme est régulier quand les alexandrins ont un rythme 6/6 avec césure à la fin de la 6ème syllabe, sinon le rythme est irrégulier.
(du Roman d'Alexandre, XIIes.) Vers français de douze syllabes. (Par exemple On a souvent besoin d'un plus petit que soi.)
Parce que l'alexandrin, un type de versification a été utilisé pour la première fois dans le Roman d'Alexandre, un recueil de légendes sur la vie d'Alexandre le Grand dont la version latine date du IVème siècle. La première version française a été écrite en octosyllabes (8 pieds) par Albéric de Pisançon en 1120.
(Versification) Qui a douze syllabes et se compose de deux hémistiches. Note : L'utilisation du nom alexandrin est beaucoup plus fréquente que celle de la locution vers alexandrin.
Poème lyrique divisé en strophes semblables entre elles par le nombre et la mesure des vers et destiné soit à célébrer de grands événements ou de hauts personnages (ode héroïque), soit à exprimer des sentiments plus familiers (ode anacréontique).
Il doit être composé de 14 vers. Il doit contenir deux quatrains (strophe de quatre vers) suivis de deux tercets (strophe de trois vers), entièrement formés d'alexandrins (vers de douze syllabes). La disposition des rimes composant la finale de chacun des vers doit épouser la structure suivante : ABBA ABBA CCD EDE.
On sépare les syllabes entre une voyelle et une consonne. Lorsque trois consonnes se suivent et sont différentes, on sépare après la deuxième consonne. On ne sépare jamais les groupes qui forment un seul son comme « ch », « ph », « th », « gn », « cr », « br » etc.
Un monostique est, comme l'indiquent les deux racines grecques qui le composent, une strophe d'un seul vers. Ce terme s'emploie aussi comme adjectif. La variante monostiche est utilisée par de nombreux auteurs ainsi que par des universitaires compétents en linguistique.
En poésie, un vers hexamètre est un vers composé de six pieds. C'était le vers épique majeur dans la littérature grecque et latine classique, comme dans l'Iliade, l'Odyssée et l'Énéide. Son utilisation dans d'autres genres de composition comprend les Satires d'Horace, les métamorphoses d'Ovide et les hymnes d'Orphée.
Dans un poème, une ligne s'appelle un vers. A la fin de chaque vers, on va à la ligne et on met une majuscule. Un vers comporte un nombre précis de syllabes. Pour compter les syllabes, il faut faire attention au "e" muet.
L'acrostiche est un texte poétique dont les premières lettres de chaque vers forment un mot lorsqu'on les lit à la verticale. Ce mot peut être le sujet du poème, le nom de l'auteur ou encore de la personne à laquelle il est destiné.
Le nom vers, de genre masculin, désigne en poésie une unité définie par des règles rythmiques. Vers s'oppose à prose pour désigner l'écriture versifiée. Quelques mots sont dérivés de vers : verset, versifier, versificateur, versification. Le théâtre classique est généralement écrit en vers.