Ne vous contentez pas de prononcer les mots, essayez de jouer le poème comme si vous le racontiez à une foule de gens. Baissez votre voix dans les moments calmes et augmentez le volume dans les moments qui impliquent plus d'empathie. Utilisez des mouvements de mains pour souligner les passages clés. Soyez théâtral.
Lisez avec votre enfant sa poésie à voix haute, plusieurs fois et dans le calme, avant de passer à l'apprentissage proprement dit. Ainsi, il va se familiariser avec les rimes et les jeux de mots, repérer la construction du texte. Incitez-le à marquer la ponctuation, à reprendre son souffle…
Voici donc quelques conseils pour l'apprendre rapidement et enfin en venir à bout. - Lire et relire la poésie en entier, au minimum 5 fois d'affilée. - Dessiner : illustrer à l'aide d'un dessin le contenu de la poésie, cela aidera l'enfant à en mémoriser le sens tout en exprimant son sens artistique.
Il existe 3 types de rimes : rimes suivies ou plates (AABB), rimes embrassées (ABBA) et rimes croisées (ABAB). Elles peuvent se trouver dans tous les genres littéraires à partir du moment où il y a des vers. La poésie en prose ne possède pas de rimes, pas de vers, pas de structure précise.
L'astuce principale pour mémoriser est de répéter une à deux fois le texte à voix haute pour bien s'en imprégner, et tenter de réciter sans regarder dans le cahier. Là, il faut aussi jeter un coup d'œil sur le texte original si jamais des mots vous échappent.
Par contre pour réussir à apprendre 20 à 50 pages par cœur en un jour il faut être en forme et concentré à 100% de bon matin, le gros du travail doit être fait la matinée. C'est assez paradoxal, tu as une montagne de cours à rattraper, et la meilleure chose à faire est de dormir.
Avant même de commencer à essayer de mémoriser le poème, lisez-le à voix haute de nombreuses fois. Essayez de le réécrire sur papier ou sur écran de mémoire. Ne vous contentez pas de prononcer les mots, essayez de jouer le poème comme si vous le racontiez à une foule de gens.
Mieux vaut consacrer plusieurs séances d'une demi-heure à l'apprentissage par cœur par semaine, qu'une séance de 4 heures d'une journée. Ce sera une méthode de mémorisation d'autant plus efficace que l'on pourra revoir progressivement ce que l'on aura déjà appris, retenu.
« À une époque où dominent le langage utilitaire et les discours de la communication, la lecture et la récitation de poèmes permettent à des jeunes gens de découvrir un autre rapport à la langue, de développer une sensibilité à ses moyens expressifs, à ses rythmes et ses sonorités, au pouvoir de ses images.
Quelques trucs pour apprendre une poésie
Commencer par lire plusieurs fois la poésie et chaque strophe, puis chaque vers à apprendre. Jouer au ping-pong avec les vers: je dis le premier vers – tu dis le deuxième, et ensuite, on recommence en changeant: tu dis le premier vers et je dis le deuxième, etc.
Lire une strophe puis répéter sans regarder le texte. Réciter le poème en entier à quelqu'un puis, ensemble, faire le point sur la récitation. (L'idéal serait de leur fournir une petite fiche rappelant ce qui est attendu par la récitation.) Recopier la poésie peut faciliter sa mémorisation chez certains élèves.
Ces troubles peuvent survenir à cause d'une maladie affectant la mémoire. Ils peuvent également être d'origine émotionnelle. Stress, fatigue, anxiété peuvent altérer la capacité à mémoriser, de même qu'une alimentation carencée, un problème d'alcoolisme, un excès de médicaments ou une fatigue excessive.
J'oublie ce que j'apprends : les raisons
2 facteurs principaux : votre méthode d'apprentissage, et le contexte. Le contexte : Vous êtes stressé en ce moment, peut-être à cause d'un examen qui approche ou d'un problème extérieur qui vous bouffe une partie de votre cerveau.
Vous lisez trop lentement. C'est une des raisons pour laquelle vous ne retenez pas ce que vous lisez. Pourquoi ? Lorsque vous lisez lentement, avec application ou pas, votre cerveau est en mode spectateur.
Dans les rimes continues, les vers ont tous le même son à la finale (AAAA).
En effet, certains mots de la langue française ne riment avec aucun autre, de la langue courante : belge, goinfre, larve, meurtre, monstre, pauvre, quatorze, quinze, simple, triomphe.
aghoul, aghul, anticagoule, aouls, attojoule, babacool, Banjul, barigoule, Boole, bouboule, bougnoul, boule, boulle, bouniouls, bourghoul, bourre-goule, braoule, Cadoule, cagoule, camboule, capitoul, centijoule, ciboule, cool, coquioules, coule, croule, décajoule, décijoule, défoul, diverticule, elloul, escargoule, ...