Définissez des objectifs en termes de fréquence et de quantité à ne pas dépasser dans le cas où vous souhaitez juste réduire votre consommation. Anticipez les situations où vous seriez tentés de boire. Il peut s'agir de soirées où votre entourage consomme de l'alcool et du tabac notamment.
Quelques conseils pour contrôler votre consommation
Retardez le premier verre en commençant par des boissons non alcoolisées. N'oubliez pas de boire régulièrement de l'eau et de manger pendant vos soirées. Donnez-vous un nombre maximum de verres à ne pas dépasser ou fixez-vous une heure à laquelle vous arrêtez de boire.
L'asaret est généralement utilisé comme émétique (qui provoque des vomissements). Grâce à son odeur nauséabonde d'éthanol, il donne une sensation de dégout de l'alcool. L'asaret provoque non seulement des nausées en contact avec l'alcool, mais comme les autres remèdes de grand-mère.
Quelle est la durée du sevrage d'alcool ? La durée d'un sevrage d'alcool est propre à chacun mais devrait se faire en 6 mois à un an”. Toutefois, s'il vous faut plus de temps, ne culpabilisez pas, il est déjà très courageux de décider d'arrêter de boire, ou même de faire le choix de diminuer sa consommation.
Quelques conseils pour contrôler votre consommation
Privilégiez les activités où vous n'allez pas être tenté de boire. Retardez le premier verre en commençant par des boissons non alcoolisées. N'oubliez pas de boire régulièrement de l'eau et de manger pendant vos soirées.
En arrêtant brusquement une consommation excessive d'alcool, vous risquez de faire une crise d'épilepsie (que vous ayez déjà fait précédemment une crise d'épilepsie ou non n'a pas vraiment d'incidence).
Recette n°1 : un thé au miel et au citron
Le combiner avec du citron, pour ses vertus digestives et anti-vomissements, et du miel pour aider le corps à métaboliser plus rapidement l'alcool et faire remonter le taux de glucose dans le sang.
Baclocur® est une option thérapeutique de dernier recours pour réduire la consommation d'alcool. Il peut être prescrit chez certains patients dits patients ayant une consommation d'alcool à risque élevé, c'est-à-dire qui consomment plus de 60 g d'alcool par jour pour les hommes ou plus de 40 g par jour pour les femmes.
Aider au sevrage tabagique et alcoolique
Si vos clients ont déjà essayé ces plantes sans succès, recommandez-leur le Kudzu (Pueraria lobata), que vous prononcerez « coudzou ». Originaire d'Asie du sud-est, cette plante est très répandue en Chine, au Japon et en Inde.
Médicaments pour cesser ou diminuer la consommation d'alcool : Espéral ®, Revia ®, Campral ®, Baclofène, Nalmefène, etc. De nombreux médicaments présents sur le marché, qu'ils aient ou non reçu une AMM, Autorisation de mise sur le marché, pour cette indication, peuvent aider des patients alcoolo-dépendants.
Résultat : les adolescents et les jeunes adultes qui confiaient "boire seuls", présentaient un risque important de développer des symptômes de troubles liés à l'usage d'alcool à l'âge adulte (intoxication alcoolique, troubles anxieux, troubles bipolaires, syndrome de douleur chronique, insomnie…)
Selon un rapport de l'OCDE, la consommation excessive d'alcool fait perdre 1 an d'espérance de vie en moyenne, en raison des maladies et accidents qu'elle cause.
Physiquement, les symptômes du manque et de la dépendance sont divers : tremblements, sueurs, hypertension, crises de tachycardie, nausées et vomissements sont les plus répandus et se manifestent en l'absence de consommation d'alcool.
un désir de consommer des boissons alcoolisées puissant, compulsif, irrésistible. le besoin de boire toujours plus pour ressentir l'ivresse. l'apparition de symptômes de manque lors d'arrêt de la consommation. une consommation persistante malgré la survenue de problèmes liés à la consommation d'alcool.
Le sevrage alcoolique se manifeste comme un continuum, allant de tremblements à des crises convulsives, des hallucinations et à une instabilité végétative mettant en jeu le pronostic vital en cas de sevrage sévère (delirium tremens). Le diagnostic est clinique.
Pour certains, boire tous les jours est une habitude. Sans être jamais ivres, ils n'en sont pas moins en danger. Pour d'autres c'est plus spectaculaire : l'alcool est essentiellement lié à la fête. S'ils ne boivent pas en semaine, ils peuvent se soûler le week-end.
C'est quoi l'envie de boire, d'où vient-elle ? L'envie de boire est donc la motivation à consommer, une émotion qui pousse à prendre de l'alcool. En buvant on la diminue.
chez les hommes : toute consommation d'alcool est associée à une augmentation du risque d'hypertension artérielle. chez les femmes : le risque est accru pour une consommation supérieure à 30 g d'alcool par jour.
D'ailleurs l'alcoolisme est parfois accompagné de troubles psychiatriques. La modification du comportement de la personne va augmenter les conflits, la violence verbale et/ou physique, les comportements à risque. L'agressivité ou des comportements inappropriés sont plus souvent exprimés car l'alcool désinhibe.
Tenter de quitter l'alcool pour céder à la pression mise par sa conjointe, ses enfants ou ses collègues est voué à l'échec. La guérison démarre le jour où l'on se dit “cette fois, c'est terminé, ce verre c'était le dernier –à vie”. On appelle cela “le déclic”.
Après seulement 2 semaines d'abstention, votre foie commence à se régénérer et dans les 4 à 8 semaines suivant l'arrêt de votre consommation, votre foie peut être complètement rétabli. Cela dépendra simplement de votre consommation d'alcool et de l'état de votre foie au départ.