De nombreuses raisons peuvent pousser un salarié à changer d'entreprise. Il peut s'agir de raisons personnelles comme professionnelles : choix de vie, évolution de carrière, salaire, équilibre entre vie pro/vie perso, ambiance de travail...
« J'avais besoin de faire de nouvelles choses et de me lancer de nouveaux défis. J'aime me challenger. » « J'ai développé telle compétence et j'ai très envie de pouvoir la mettre en pratique. Le poste que vous proposez correspond sur ce point complètement à mes attentes ».
De toute évidence, la meilleure raison pour quitter un travail est qu'on en a trouvé un nouveau qui répond aux espérances. Il faut juste s'assurer avant de partir d'avoir très bien compris toutes les conditions. Puisque généralement, c'est la peur d'avoir des regrets qui justifie souvent la peur de démissionner.
1. Essayez de rendre votre travail plus supportable. Même si vous pensez avoir fait votre possible pour améliorer la situation au travail, nous vous encourageons à envisager d'autres méthodes, moins évidentes mais éprouvées, pour rendre les choses plus supportables.
Le choix d'une reconversion professionnelle peut-être motivé par un besoin de changement d'environnement de travail. Il peut aussi relever d'une quête d'épanouissement ou d'une concrétisation de rêve. Malheureusement, certains n'ont pas cette vision d'opportunités, mais s'enlisent dans des conditions inconfortables.
Le plus souvent, la solution la plus simple consiste à informer son manager des conditions de travail qu'il est en train d'imposer à ses salariés. Cela consiste à faire remonter son mal-être au travail à celui-ci ou bien à un responsable RH de l'entreprise.
Ces divers symptômes apparaissent en quelques semaines : symptômes physiques : douleurs (coliques, maux de tête, douleurs musculaires, articulaires, etc.), troubles du sommeil, de l'appétit et de la digestion, sensations d'essoufflement ou d'oppression, sueurs inhabituelles...
Vous ressentez des douleurs musculaires
Lorsqu'on occupe un emploi toxique, on a souvent l'impression de se battre contre un tigre à son bureau. Notre cerveau perçoit une menace et inonde notre système d'adrénaline et d'autres hormones du stress. "Dans ces situations, le système nerveux est sous tension constante.
Le médecin du travail peut effectuer un signalement auprès de la DRH si le salarié l'y autorise. L'intéressé peut aussi s'adresser directement aux ressources humaines. Ou alerter un délégué du personnel et saisir le CHSCT (Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail) ou l'Inspection du travail.
Vous ne pouvez pas quitter votre emploi du jour au lendemain. Cela mettrait votre employeur dans une situation difficile, puisqu'il n'aurait pas le temps de vous trouver un remplaçant. Ainsi, vous devez respecter un délai de préavis.
Ce qui fait fuir les salariés
Ainsi, est invoqué en cas de démission : les carrières qui piétinent, le manque de considération, les salaires trop bas ou le manque d'équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle.
« Votre démission doit être directe et polie. Établissez clairement que vous démissionnez pour de bon, mais montrez à quel point vous avez apprécier les opportunités qui vous ont été données. Annoncez toujours votre démission par oral, si possible, et informez ensuite vos collègues » Özlem Simsek recommande.
Le moment le plus opportun pour faire l'annonce de sa démission est le vendredi, en fin de journée. Pour un patron, le départ soudain d'un employé a parfois l'effet d'une onde de choc.
Démission en CDI : le principe
Contrairement au CDD qui installe le contrat dans une durée précise, le CDI peut être rompu par une volonté unilatérale : celle de l'employeur ou celle du salarié. Il est donc possible de démissionner, et ce dès la signature du contrat.
Si les erreurs et les boulettes s'accumulent, c'est un signe qu'il est temps de passer à autre chose. "Très souvent nous nous rendons compte nous même de nos erreurs", souligne Sabine Grégoire. "Faire trop de bétises signifie que le poste occupé n'est probablement plus fait pour nous."
"Il faut évoquer les choses objectivement, en utilisant d'abord des formules impersonnelles, puis en parlant de ses propres émotions", conseille le spécialiste. Par exemple : "Je me sens stressé·e ces derniers temps", au lieu d'incriminer directement son interlocuteur : "Votre façon de fonctionner me stress".