Inspirez profondément par le nez, en gonflant bien votre ventre, puis expirez lentement par la bouche. Ces respirations abdominales sont très efficaces pour diminuer son rythme cardiaque et calmer ses nerfs.
Comme nous l'avons vu, certaines causes physiques peuvent affecter le désir de pleurer : par exemple, la fatigue, l'insomnie, le manque de nutriments et de vitamines, le stress et les mauvaises habitudes pourraient nous rendre beaucoup plus sensibles aux pleurs et à la mauvaise humeur en général.
Détendez vos sourcils et les muscles autour de votre bouche pour ne pas avoir l'air inquiété ou en détresse. Si cela est possible ou si vous pouvez vous isoler pendant quelques minutes, essayez de sourire pour vous arrêter de pleurer.
Se détendre
Une étude publiée par le National Institutes of Health a révélé que les pleurs ont un effet direct sur l'amélioration de l'humeur des gens. Les pleurs activent le système nerveux parasympathique (PNS), dont la fonction principale est de provoquer ou de maintenir un état détendu du corps.
Les larmes, face à un ébranlement psychologique, permettent un retour au calme de l'organisme. On peut parler de “remise à zéro émotionnelle”. En effet, la composition des larmes, chargée en protéines et en hormones, induisent une sensation de bien-être, une réduction du stress et un retour au calme.
Aller courir, faire de la boxe ou une séance de fitness aide à gérer ses émotions et à se sentir mieux dans son corps et dans sa tête. L'activité physique n'a que des bienfaits. Recommandée à tous, le sport est également bénéfique pour stabiliser l'humeur, lutter contre les états dépressifs et la baisse de moral.
Les causes courantes de larmoiement comprennent les allergies, la sécheresse oculaire, un retournement vers l'intérieur ou vers l'extérieur des paupières, ainsi qu'une infection, un rétrécissement ou une obstruction des voies lacrymales.
Excès de stress : Un sentiment de mal-être peut également survenir lorsque vous faites face à un problème spécifique dans votre vie qui vous stresse plus que vous ne le pensez. Dans ces cas, le fait de subir des niveaux élevés de stress peut entraîner une dérégulation émotionnelle ainsi que des sautes d'humeur.
Vous pouvez aussi vous entrainer à respirer profondément en inspirant par le nez, en expirant par la bouche et en faisant passer l'air par votre abdomen. Cela pourrait vous aider à vous apaiser, à vous calmer et à vous faire oublier la raison de votre envie de pleurer X Source de recherche .
Les personnes qui se sentent tristes, déprimés au moment du coucher présentent d'ailleurs des taux de cortisol plus importants peu de temps après le réveil le lendemain. Cet excès s'apparente à un mécanisme de défense pour résister tant bien que mal aux expériences négatives.
Pourquoi les yeux gonflent-ils après avoir pleuré ? Seules les larmes d'émotion provoquent un gonflement de la paupière. En effet, même si elles sont constituées à 98 % d'eau, leur composition chimique à base de sodium, protéines, glucose, lipides, minéraux et d'hormones serait responsable du gonflement.
Certains pensent à tort que si c'est possible d'éviter de pleurer, c'est mieux. Pleurer, ou vivre ses émotions, ce n'est pas du tout un signe de faiblesse. Au contraire, on dit même qu'il faut être fort pour pleurer.
"Habituellement, l'anxiété est une réaction liée à une douleur réprimée ou refoulée", poursuit-elle. "Dans ces cas-là, s'autoriser consciemment à pleurer peut constituer la catharsis nécessaire à l'apaisement du système nerveux."
Le chagrin provoque du stress, qui affecte la libération d'hormones comme le cortisol. Ces hormones stimulent les neurotransmetteurs du cerveau qui provoquent des réactions physiques telles que des pleurs, des maux de tête et un écoulement nasal.
Des changements d'émotions (pleurs, rires, humeur, moral) sont souvent tout à fait normaux, selon les périodes de vie traversées.
Se pincer la peau entre le pouce et l'index stoppe également immédiatement les larmes. Si vous voulez cacher votre tristesse face à quelqu'un, pensez à pincer votre main dans votre dos, c'est plus discret.
Le corps amygdaloïde devient alors beaucoup plus réactif aux évènements négatifs. En d'autres termes, lorsque nous sommes fatigués, notre cerveau émotionnel réagit plus rapidement et plus fortement qu'il ne le devrait.
Des blocages émotionnels surviennent suite à des expériences traumatisantes vécues dans l'enfance ou à des blessures émotionnelles non résolues. Les effets secondaires des émotions non traitées (colère, culpabilité, tristesse…) persistent. Ils affectent le bien-être général d'un individu.
La modification de la situation : la modifier lorsqu'elle devient désagréable ; Le détournement de l'attention : penser à autre chose ; La réévaluation cognitive : changer son regard sur une situation ; La modulation de la réponse : moduler sa réaction une fois l'émotion ressentie.
Anhédonie : L'anhédonie est un symptôme très courant de la dépression, bien qu'elle puisse être le signe d'autres troubles mentaux. Les personnes qui souffrent d'anhédonie montrent souvent peu d'intérêt et de plaisir pour les activités sociales ou les sensations physiques.
En situation normale, la sécrétion et le drainage des larmes s'équilibrent pour assurer une bonne hydratation des yeux et donc la protection de la vue.
Après une accumulation de stress, verser des larmes serait une façon instinctive de retrouver un équilibre. «Les éléments chimiques produits dans le corps durant une période de stress seront éliminés grâce aux larmes », avance le professeur William Frey, de l'Université du Minnesota.