La nécrose de la peau peut nécessiter l'ablation chirurgicale des tissus nécrosés et un traitement antibiotique par voie intraveineuse an cas d'infection.
Traitement des infections nécrosantes de la peau
La fasciite nécrosante est traitée par ablation chirurgicale des tissus nécrosés et par traitement antibiotique administré dans une veine (par voie intraveineuse).
La plaie nécrosée
Elle a pour cause une ischémie tissulaire, soit un arrêt de la vascularisation. Hors, nous avons vu précédemment l'importance de la circulation sanguine pour les tissus et les cellules (cf cicatrisation : fondamentaux et anatomie de la peau).
La nécrose de la peau peut nécessiter l'ablation chirurgicale des tissus nécrosés et un traitement antibiotique par voie intraveineuse an cas d'infection.
Nécrose ischémique (ou nécrose de coagulation) : elle est liée à un arrêt de la circulation sanguine causé par un caillot ou bouchon, par exemple lors d'infarctus et de brûlures.
Examen clinique
L'ostéonécrose n'étant pas réellement douloureuse dans un premier temps, elle est souvent diagnostiquée à un stade relativement avancé.
Si la plaie est de couleur noire, elle présente probablement une nécrose. Le processus de cicatrisation est stoppé et le risque d'infection est très élevé. Un aspect jaunâtre doit aussi alerter. Les plaques d'agglomération de filaments empêchent de la même façon les fibroblastes d'agir au coeur de la plaie.
Si une plaie ne cicatrise pas pendant longtemps, les forces de guérison naturelle de l'organisme sont manifestement surmenées. Ce peut être un signe de maladie, par exemple d'un trouble de la circulation sanguine ou d'une atteinte du système immunitaire.
Par exemple, au départ d'un orteil, elle peut s'étendre au pied, puis à la jambe. La gangrène n'est pas contagieuse.
Dans le cadre d'une infection, l'antibiothérapie est généralement associée au traitement de la gangrène. Dans le cadre d'une gangrène conséquente, l'acte chirurgical est généralement nécessaire, dans un premier temps afin de revasculariser la zone affectée. Dans un second, témoignant de l'amputation.
Traitement local du tissu ulcéré (détersion, pansements antiseptiques, etc.) ; Antibiothérapie pour réduire l'infection du pied diabétique ; Traitement chirurgical. L'intervention peut aller de l'ablation des tissus mous ou nécrosés (débridement) à l'amputation complète du membre infecté.
Pour éviter l'amputation, il est conseillé au patient diabétique d'adopter les gestes de prévention suivants : Procéder à un lavage quotidien du pied diabétique, suivi d'un séchage méticuleux. Inspecter quotidiennement ses pieds à la recherche de potentielles plaies et assurer leur prise en charge rapide.
Il faut se souvenir qu'une zone infectée consomme cinq à dix fois plus d'oxygène qu'un tissu sain. Or, l'insuffisance artérielle consécutive au diabète ne permet plus un apport suffisant de sang. L'orteil devient alors noir, parfois en une nuit, et commence à se nécroser.
La solution de Betadine convient au rinçage et à la désinfection des coupures ou piqûres superficielles. Elle prévient et traite les infections des petites et grandes plaies, et réduit le risque de cicatrices. Le médicament ne pique pas, et offre ainsi une bonne tolérance.
Causes empêchant ou retardant la cicatrisation d'une plaie
Les infections dues à des bactéries, des champignons ou des parasites ont un effet négatif sur la cicatrisation. Des maladies du sang sous-jacentes telles qu'une anémie ou des troubles de la coagulation peuvent retarder la cicatrisation.
Les crèmes Cicalfate, Cicaplast B5, Cicabio et Epithéliale A.H permettent de répondre aux demandes spontanées pour les irritations du quotidien (gerçures, dartres, perlèches pour Cicalfate), les petites coupures et les éraflures.
Les hydrocolloïdes (fins ou épais) sont préconisés pour la gestion des exsudats légers (+) en phase de bourgeonnement. Choisissez une taille de pansement qui dépasse d'au moins 2 cm le bord de la plaie. Ils peuvent rester en place jusqu'à 7 jours.
Il est mieux d'utiliser un pansement adhésif sur les plaies jusqu'à ce qu'elles soient complètement guéries. Beaucoup de gens n'appliquent un pansement adhésif à leur plaie que durant sa phase critique, c'est-à-dire, jusqu'à ce qu'elle ait arrêté de saigner.
La plaie nécrosée : elle est reconnaissable par son aspect noirâtre et est la cause d'une ischémie tissulaire ou d'un arrêt de la vascularisation. Le risque d'infection est alors plus important. La plaie fibrineuse : son aspect jaunâtre est lié au processus inflammatoire et exsudatif de la peau lésée.
Si la plaie est de couleur noire, elle présente probablement une nécrose. Le processus de cicatrisation est stoppé et le risque d'infection est très élevé. Un aspect jaunâtre doit aussi alerter. Les plaques d'agglomération de filaments empêchent de la même façon les fibroblastes d'agir au coeur de la plaie.
En médecine humaine et animale, la nécrose est une forme de dégât cellulaire qui mène à la mort prématurée et non programmée des cellules dans le tissu vivant.
Si une plaie ne cicatrise pas pendant longtemps, les forces de guérison naturelle de l'organisme sont manifestement surmenées. Ce peut être un signe de maladie, par exemple d'un trouble de la circulation sanguine ou d'une atteinte du système immunitaire.
Causes empêchant ou retardant la cicatrisation d'une plaie
Les infections dues à des bactéries, des champignons ou des parasites ont un effet négatif sur la cicatrisation. Des maladies du sang sous-jacentes telles qu'une anémie ou des troubles de la coagulation peuvent retarder la cicatrisation.
Par exemple, au départ d'un orteil, elle peut s'étendre au pied, puis à la jambe. La gangrène n'est pas contagieuse.