« Tu as fait » est la conjugaison correcte du verbe « faire » à la deuxième personne du singulier au passé composé de l'indicatif. En effet, le participe passé de ce verbe du 3e groupe est « fait », et non « fais ».
On n'écrit pas « tu as fais », parce qu'il s'agit du verbe faire, conjugué à la 2e personne du singulier du passé composé de l'indicatif. Le participe passé du verbe faire est fait. « tu as fait » peut être suivi d'un complément d'objet direct ou d'un verbe à l'infinitif.
Le participe passé du verbe « faire » est « fait ». On écrit « j'ai fait ». Exemple : J'ai fait un vœu. On écrit « je fais », à la 1e personne du singulier du présent de l'indicatif.
« fais » s'accorde avec le sujet « je ». « vous » est complément d'objet second (COS) : faire parvenir quelque chose (COD) à quelqu'un (COS). Exemple : Je vous fais parvenir le bilan et ses annexes. La forme « fait » correspond à la troisième personne du singulier du verbe faire au présent de l'indicatif.
On écrirait, je vous ai fait parvenir (verbe faire au passé composé de l'indicatif, 1re personne du singulier). Ce temps du verbe faire se conjugue avec le verbe avoir « j'ai » + le participe passé « fait ».
On écrit « c'est moi qui fais » et non pas « c'est moi qui fait »
On écrit toujours « j'ai fait ».
Il s'agit de conjuguer le verbe « faire » au passé composé, à la première personne du singulier. On utilise donc l'auxiliaire « avoir » et le participe passé du verbe « faire », qui est « fait » avec un « t ». Qui a dit que la langue française n'est pas difficile à écrire ?
On dira : Il faut que je fasse le ménage. Il faut que vous fassiez le ménage (et non *que vous faisiez). Notez que la forme vous faisiez (prononcée « fe-zié ») existe en français, mais il s'agit alors de l'indicatif imparfait, et non du subjonctif présent, ce qui serait fautif dans l'exemple ci-dessus.
On écrit par exemple plein de bisous , je lui souhaite plein de bonheur , je vous souhaite plein de choses , plein de cadeaux .
L'orthographe correcte est on te fait de gros bisous .
La bonne orthographe est donc « Des erreurs, j'en ai fait ». Le participe passé du verbe ne s'accorde pas et reste invariable.
Locution-phrase - français
Salutation interrogative à l'adresse d'une personne que l'on tutoie. Comment vas-tu ?
je ne sais pas ce que Wiktionnaire dit, mais "Fais attention" à l'impératif est la seule expression grammaticalement correcte. Comme tu l'as dit, l'impératif de "faire" à la deuxième personne est "fais", pas "fait".
L'orthographe correcte est tu as bien dormi , avec un i au bout.
Différence entre a et à
- a provient du verbe avoir conjugué au présent de l'indicatif : il a. - à est une préposition. La façon la plus simple pour les distinguer est de mettre la phrase dans un autre temps comme l'imparfait. À l'imparfait, "a" devient "avait" tandis que "à" ne change pas.
le participe passé "fait", employé avec le verbe AVOIR, s'accorde en genre et en nombre avec le COD, s'il est placé avant le verbe, ce qui est le cas ici:" qu'", mis pour proposition, est le COD du verbe faire. il faut donc écrire ce participe passé au féminin singulier,(comme proposition, F,S), soit FAITE.
Si on envoie un seul bisou à quelqu'un, on écrit gros bisou en laissant ce mot au singulier. Si on en envoie plusieurs, alors ce mot reçoit un s de pluriel et on écrit gros bisous . Exemples : gros bisous à toute la famille , des gros bisous à tout le monde , on te fait plein de gros bisous .
Avec ou sans s à la fin ? Les deux orthographes pleins et plein existent, mais on écrit plein de belles choses sans s à plein .
Exemple : ''Je partirai avant qu'il ne fasse nuit.'' « Fasse » est la conjugaison du verbe « faire » au subjonctif présent aux 1ère et 2e personnes du singulier.
Parce que « faits » correspond au participe passé du verbe faire conjugué à la troisième personne du pluriel de l'indicatif présent à la voix passive. Le participe passé s'accorde conjugué avec l'auxiliaire être s'accorde en genre et en nombre avec le sujet : il est fait, ils sont faits.
Cause : car, parce que, par, grâce à, en effet, en raison de, du fait que, dans la mesure où, à cause de, faute de, puisque, sous prétexte que, d'autant plus que, comme, étant donné que, vu que, non que…
On écrit "les pommes que j'ai mangées", mais on n'orthographie pas "les heures que j'ai passées". On note plutôt "les heures que j'ai passé" et on rédige aussi "le chat qui a mangé la souris".
On entend la lettre « t » lorsque un mot se terminant par la consonne «d» ou «t» (« quand », « prend ») est suivi d'un autre commençant par une voyelle : Quand il pleut, on ne sort pas. On remarque alors que la lettre « d » se prononce en fait « t » (on dit que le « d » s'assourdit).
Selon les règles d'orthographe françaises, il faut écrit « a-t-il » avec des tirets. En effet, le « t » est un « t » euphonique, qui a été ajouté pour faciliter la prononciation et non la contraction du pronom « toi » ou « tu ».