Certains traitements utilisent des produits chimiques, des plantes ou des micro-organismes (bactéries, champignons). On peut aussi utiliser la chaleur - à une température de 650 °C à 1000 °C selon les polluants à traiter - pour détruire le polluant, l'isoler ou au moins le rendre inerte.
Les terres polluées sont mises de côté et subissent des traitements biologiques, physico-chimiques ou thermiques (désorption thermique). Les terres polluées peuvent également être confinées, stabilisées ou lavées sur site. Cette dernière technique consiste à extraire les polluants à l'aide d'eau ou de solvants.
Certaines communes optent pour des filtres végétaux pour capturer les polluants des eaux et des sols. Ainsi, poudre de racine de menthe et de renouée font bien l'affaire pour dépolluer la cascade d'une commune abritant l'ancienne plus grande mine de zinc d'Europe. Des techniques « émergentes » mais déjà convaincantes.
Le processus consiste à semer les graines de plantes dites hyper-accumulatrices, qui se nourriront des polluants pour pousser. L'activité de phytoextraction des plantes permet alors de débarrasser les sols de ces résidus de métaux lourds. À date, il s'agirait de la solution la plus durable à la dépollution des sols.
La méthode la plus répandue pour nettoyer un déversement ou des fuites est d'enlever le sol contaminé. C'est l'une des meilleures méthodes pour s'assurer que le nettoyage est fait à 100%. Selon la quantité de contaminants présents, le sol peut être traité puis retourné à son lieu d'origine.
Les plantes qui contribuent le plus efficacement à la purification de l'eau de l'étang appartiennent à la famille des graminées. Les plantes les plus utilisées sont les iris (surtout l'iris des marais), l'acore, la petite massette, le rubanier et la glycérie aquatique.
Dans un contexte de croissance démographique, pour créer de nouvelles constructions et utiliser de nouveaux terrains pour l'agriculture sans constituer de menaces pour l'environnement et les populations, il est alors nécessaire de dépolluer les sols… souvent pollués par ces mêmes activités.
Obligations de dépollution (article L. 556-3 du code de l'environnement) En cas de pollution des sols ou de risques de pollution des sols, la loi ALUR permet au préfet, après mise en demeure infructueuse du responsable de la pollution, de faire exécuter des travaux de dépollution aux frais du « responsable ».
L'eau de Javel est un fongicide efficace pour prévenir et mieux faire face aux maladies cryptogamiques comme l'oïdium. Le traitement préventif consiste à pulvériser le sol de votre jardin avec de l'eau de Javel diluée (25 ml/2 litres d'eau). En cas de contamination, vaporisez la solution sur le sol et les feuilles.
Il faut donc commencer par déterrer les mauvaisesherbes, tondre et arroser pour faire reverdir le gazon brûlé. Procédez ensuite à la suppression des fleurs fanées et à la taille de vos sujets. Intégrez du compost et de la paille au pied, puis arrosez.
Par excavation
Excaver un sol consiste à y creuser et en retirer la terre polluée. Elle sera dépolluée soit dans un centre de traitement agréé, soit grâce à du matériel amené sur le site lui-même.
les services d'incendie et de secours qui peuvent mettre en œuvre des moyens de lutte contre la pollution le plus rapidement possible ; la gendarmerie qui est également compétente pour constater les infractions ou les pollutions, dresser un procès-verbal et mettre en œuvre les moyens d'intervention nécessaires.
Faire bouillir l'eau
En portant l'eau à ébullition (100°) durant une minute on élimine efficacement les micro-organismes. L'ébullition a aussi pour effet d'agglomérer les molécules de certaines pollutions chimiques.
– Réduire l'utilisation de pesticides dans le domaine agricole, ou utiliser les techniques de lutte biologique. – Règlementer l'exploitation des ressources naturelles et respecter le repos biologique pour permettre aux espèces de se reproduire.
Si le terrain a déjà été étudié, vous trouverez un signalement Basol, indiquant la présence de sites pollués ou potentiellement pollués, et/ou Basias, indiquant la possible proximité d'un ancien site industriel ou d'activités de service, tels que des pressings ou des garages.
Autrement dit, la pollution du sol est comprise comme altération du biotope constitué par l'humus (ou tous autres types de sols) par l'introduction de substances toxiques, éventuellement radioactives ou d'organismes pathogènes entraînant une perturbation plus ou moins importante de l'écosystème.
Le lys de la paix, également connu sous le nom de Spathiphyllum, est la plante phare de la production intensive d'oxygène. Recommandée par la NASA pour ses propriétés assainissantes, cette plante augmente également l'humidité ambiante.