Pour redynamiser votre corps et l'aider lui aussi à sortir de la nuit, faites quelques mouvements à la sortie du lit, étirez vous, ou par exemple faites immédiatement votre lit. Ces quelques mouvements vous permettront de bien commencer la journée.
Le verdict est sans appel : les personnes, "à faible niveau d'études", qui passent plus de 9 heures par nuit au lit doublent leurs risques de développer la maladie d'Alzheimer ou d'autres troubles neurodégénératifs par rapport au groupe témoin.
La clinomanie expliquée. La clinomanie est un trouble psychiatrique caractérisé par le refus de se lever que manifeste un sujet. La personne préfère rester constamment couchée. Généralement ce sont les personnes souffrant de neurasthénie ou d'une importante dépression qui présentent une clinomanie.
Une mauvaise hygiène de vie
Pour passer une bonne nuit de sommeil et, par conséquent, se réveiller en forme le lendemain, il est fortement conseillé d'éviter certains aliments et activités: Un coucher tardif. Le stress et l'anxiété peuvent provoquer des insomnies, donc des difficultés à émerger le matin.
Pour se lever à 7h, il faut se coucher soit à 1h du matin, soit à 23h30, soit à 22h. Pour se lever à 6h30, il faut se coucher à minuit et demi, à 23h ou à 21h30.
Le matin, pour être de bonne humeur dans la journée, il est déconseillé de commencer sa journée dans la précipitation. Ainsi, mieux vaut ajouter 15 ou 30 minutes de plus à votre planning pour prendre du temps le matin, en vous levant à 7h30.
Ne pas sortir de chez soi va également avoir un impact sur la forme physique, puisqu'en restant en permanence sur place, on s'expose à la prise de poids.
Elle est due à une insuffisance de tyrosine (son précurseur), qui peut être provoquée par des couchers trop tardifs ou un désordre alimentaire : pas assez de protéines (qui fournissent les acides aminés essentiels), ou un excès de sucre, qui fait baisser le taux de tyrosine.
L'agoraphobie, y compris la peur de sortir de chez soi, peut être un symptôme découlant d'un trouble panique. Si vous faites des crises d'angoisse ou des attaques de panique, un psychiatre peut vous prescrire certains médicaments, comme des anxiolytiques, pour vous aider à calmer votre anxiété.
Dans tous les cas, notre chronotype en matière de sommeil est lié à notre horloge interne et à nos gènes. "Dans le cas des "couche-tard", il y a physiologiquement une difficulté à sécréter de la mélatonine, qui est l'hormone de l'endormissement, explique Benjamin Lubzynski, thérapeute, coach et hypnothérapeute.
Le cortisol est produit par la glande surrénale (qui se trouve au niveau des reins), avec des pics de sécrétion en réponse au stress, à la peur ou la colère. En outre, le niveau de cortisol subit des fluctuations au cours de la journée avec un pic le matin après le réveil.
Expression imagée qui s'emploie pour parler de quelqu'un qui est tellement malade qu'il ne peut plus sortir de son lit.
1. Avancer progressivement son réveil d'une minute. À l'approche d'un réveil aux aurores, il est bon d'habituer son corps au « choc » de ce réveil matinal afin de pouvoir s'extirper du lit plus facilement. Pour y arriver, il suffit d'avancer l'heure de son alarme progressivement d'une minute, quelques jours avant.
D'où l'importance, selon les chercheurs, de se coucher tôt et d'avoir un sommeil reposant. Pour cela, il conviendrait de limiter toutes les sources lumineuses de la chambre, de fermer correctement les volets et de dissimuler le plus possible tout signal lumineux (de la télévision ou de l'ordinateur par exemple).
Planifiez votre journée la veille et préparez-vous y mentalement. Essayez de débuter les journées à la même heure. Avoir une certaine routine aide le corps à mieux récupérer (On recommande des heures fixes de lever, de coucher et de repas). Utilisez un agenda, et inscrivez vos tâches.
Ne pas confondre la clinophilie avec d'autres types de troubles tels que la dysanie qui désigne la difficulté à sortir du lit le matin et l'hypersomnie qui correspond à un besoin excessif de sommeil.
La solitude peut affecter la santé mentale et physique
La personne qui en souffre devient moins active, ce qui crée un déconditionnement à la fois sur le plan physique, mental et social. La solitude augmente également le risque de trouble mental courant, comme la dépression, l'anxiété ou l'épuisement professionnel.
Cette adaptation peut prendre du temps. Rien de grave, cela est normal. Mais certaines personnes peuvent ne pas être bien dès les premiers instants. Entre-temps, « d'autres sensations vont venir se superposer et changer notre regard sur le lieu » indique Marion Leclere, consultante en bien-être et habitat.
Progressivement et jusqu'à 10-12 ans, la durée du sommeil nécessaire pour que l'enfant soit en forme va réduire pour approcher 10h. La sieste de l'après-midi finira également par disparaître et l'heure de coucher va se retarder : de 20h vers 5-6 ans on passera à 21h vers 8 ans et à 22h au début de l'adolescence.
Selon une étude publiée dans le European Heart Journal, l'heure du coucher peut jouer un rôle sur la santé cardiovasculaire. Ainsi, aller au lit entre 22h et 23h serait associé à un risque plus faible de développer une maladie cardiaque, et ce par rapport à ceux qui se couchent plus tôt, ou plus tard.