En mer et face à une vague se dirigeant vers votre bateau, il faut se dire que l'on a 2 choix: battre en arrière le plus rapidement possible (on braque et on met la gomme !) ou affronter la vague TOUJOURS de face !
Lorsqu'on fait face à de grosses vagues, il faut bien équilibrer l'assiette du bateau. Le fait de régler le trim (si disponible) vers le bas et de conserver une certaine vitesse devrait permettre de relever le nez du bateau. Dans le cas d'un bateau à pont ouvert, assurez-vous d'une bonne distribution du poids à bord.
Le barreur devra tenir la barre avec la main la plus en arrière sans la serrer ( sauf quand cela devient nécessaire lorsque le vent monte). Le but est d'anticiper les mouvements du bateau et de ressentir l'attitude du voilier (ardent, mou,…) et de ne jamais donner des grands coups. De petits mouvements sont suffisants.
Respectez la vitesse limitée et ne forcez pas la priorité. Respectez également les bateaux de plus gros tonnage et serrez à droite, en route opposée. En un mot, gardez le cap, en faisant attention à votre environnement. Une fois arrivée, choisissez une zone de mouillage à l'abri de la houle et du vent.
Dans le cas de l'Aquapêche 370, la vitesse à atteindre pour déjauger se situe quelque part entre 16 et 20 km/h.
La boussole
Cet instrument est composé d'une aiguille aimantée qui se dirige tout le temps vers le Nord, dans un cadre où il y a des points cardinaux qui sont inscrits : Nord, Sud, Est, Ouest. En navigation, elle peut servir à déterminer la position présente de l'utilisateur ou bien indiquer une marche à suivre.
Les penons de génois
Le premier étage, celui du bas est placé de façon à être en vue du barreur (2 ou 3 mètres du point d'amure), le deuxième est à environ 2/3 de la hauteur du génois, il est visible principalement par le régleur de génois.
Un navire est, dans des conditions normales d'exploitation, en position d'équilibre stable et vertical. Par nécessité temporaire, on peut avoir besoin de lui donner une inclinaison transversale de quelques degrés, ce sera une gîte.
Pour freiner, à l'inverse, il ne faut pas que les voiles soient gonflées. Deux solutions : Vous êtes sur une allure de près vous pouvez ouvrir (choquer) les voiles en grand. Elles vont faseyer et ne porteront plus ce qui arrêtera le bateau.
Houle modérée : 2 m < vagues < 4 m. Grande houle : vagues > 4 m.
On retrouve ces écoles sur tous les départements comme freesailing, l'association des Glénans ou le centre de voile de la Macif. La Fédération Française de Voile recense aussi les centres nautiques qui proposent des cours à bord de voiliers habitables pour apprendre à naviguer, se perfectionner et devenir autonome.
Mais, c'est là que réside le plus grand danger puisque de forts courants sous-marins peuvent piéger les nageurs peu expérimentés ou fragiles (personnes âgées et enfants) qui ne mesurent pas toujours la difficulté qu'ils auront à regagner la plage dans ces moments-là et qui s'épuisent face aux éléments.
− MAR. [En parlant d'un navire] ,,Être soulevé hors de l'eau au-dessus de la flottaison habituelle, soit par échouage, soit par la vitesse lorsque le bateau plane ou est en remorque`` (Barber. 1969). Le bateau déjauge, se déjauge, est déjaugé.
Pour ce faire, rejoindre le bord et donner du mou à l'amarre avant, puis hâler le bateau en s'aidant de l'amarre arrière. Une fois proche de la plage, moteur éteint et au tilt, embarquer les passagers et le matériel puis, en dernier, le mouillage arrière en prenant garde à rentrer tout son bout.
Plus une voile est creuse, plus elle est puissante.
Pour cela, il faut agir sur la drisse et le guindant. La manœuvre consiste à étarquer la drisse de grand voile et le guindant afin de tendre la voile et l'aplatir. Pensez à utiliser des penons pour régler vos voiles. Que cela soit pour le génois ou la grand voile.
Naviguer au près : allure d'un voilier qui remonte au vent. Prendre un ris : réduire la taille de la grand-voile. Sous le vent : direction opposée à celle où souffle le vent. Virement de bord : faire tourner l'étrave dans le vent afin que le vent passe d'un bord sur l'autre (manœuvre opposée à l'empennage).
La grand-voile, c'est celle que l'on utilise le plus souvent, c'est la voile la plus polyvalente. Elle fonctionne du près au vent arrière et elle peut servir au moteur pour stabiliser le roulis.
En avançant et reculant le roller, vous agissez sur la hauteur du point d'écoute du génois. En avançant le roller on va descendre le point d'écoute du génois, en reculant le roller on va laisser monter le point d'écoute. En baissant le point d'écoute, on va fermer la chute de la voile donc conserve la puissance.
- choquer l'écoute jusqu'à amener le point d'écoute au niveau des haubans. - mollir la drisse et la bordure pour ramener le creux vers le milieu de la voile. - si la bôme a tendance à osciller de haut en bas, reprendre très légèrement du hâle-bas pour brider ce mouvement et stabiliser la voile.
Dans le vent léger, réglez d'abord le vrillage de grand-voile à l'aide de l'écoute. Pour les grand-voiles semi-lattées, bordez l'écoute de sorte que la latte supérieure soit plus ou moins parallèle à la bôme. 2. Ajustez ce réglage de manière à ce que le penon le plus haut soit à la limite du décrochement.
Méthode avec le compas à pointe sèche
On commence par prendre l'écart entre la bouée et le méridien le plus proche avec notre compas à pointe sèche. On garde bien l'écartement du compas et on le reporte sur l'échelle des longitudes en partant du même méridien. Cela peut être l'échelle du haut ou du bas de la carte.
L'astrolabe autrefois utilisé dans le domaine maritime est relativement simple, comparé à ce qui existe déjà. Il ne consiste qu'à déterminer la latitude grâce aux Etoiles se situant dans le ciel. Il sera plus tard remplacé par le sextant, plus précis.
En navigation, faire le point signifie déterminer la position instantanée du navire ou de l'aéronef (ou plus généralement, d'un mobile). En navigation maritime, à proximité de la côte, on peut utiliser des méthodes de triangulation optique - en se basant sur des amers - ou radar.