Sonorités aiguës : privilégier un djembé dont le diamètre varie entre 28 et 31 cm, et/ou une peau de chèvre fine. Note ronde : sélectionner un djembé dont le diamètre est compris entre 31.5 et 35 cm, et/ou une peau d'épaisseur moyenne/épaisse.
la peau de veau (ou bovine fine) adéquate pour la pratique du djembé doit être d'une épaisseur inférieure à 1 mm. Extrêmement tendue, elle offre un son très sec, et clair : à monter sur un fût au bois irréprochable, et attention aux mains !
Traditionnellement, les djembés ont un diamètre de 50 à 60 cm et sont taillés en bois de lengue, iroko, dugura, acajou, goni, djala, acacia, cola... On les monte avec une peau rasée d'antilope, de chèvre, de vache et parfois même de chameau, maintenue au moyen de trois cercles en métal et tendue à l'aide de cordages.
Nous conseillons d'utiliser la corde de 6 mm pour les tirants. Le rouleau fait environ 140 mètres de corde (suffisant pour monter quatre djembés de taille moyenne). La corde de 5 mm est adaptée pour des petits djembés ou pour les clés du cercle du haut lorsqu'ils sont doublés.
Introduire le levier dans l'anneau de corde de l'étarqueur, placer la partie biseautée du levier sur la jonction pied/cuve du djembé, en installant l'encoche de butée face à soi. Tirer le levier vers soi tout en poussant sur la cuve du djembé avec ses pieds, ce qui impose à la corde une très forte tension.
Le ton ouvert est produit en frappant le bord du djembé avec les phalanges. La claque se fait en frappant le centre du djembé avec l'arrière de la paume et le bord le plus éloigné du djembé avec le bout des doigts. Dès que vos doigts touchent le bord du djembé, ils doivent rebondir comme l'extrémité d'un fouet.
Le "djembéfola", est un maître dans l'art de jouer du djembé.
Pour cela, il suffit d'un bâton en bois, de coton, de plastique et d'un élastique. Placer une boule de coton à l'extrémité de la baguette en bois entourée d'un rond de plastique serré par un élastique. Et voilà, votre djembé aux couleurs de l'Afrique est prêt à vous faire swinguer. En avant la musique !
Le tama (sérère, wolof, mandingue, bambara) gangan, dumdum (yoruba), kalangu (hausa, songhaï), odondo (akan), lunna (dagomba), karangou ou kalangou, appelé également « le tambour parlant », est un instrument de percussion de la famille des membranophones originaire d'Afrique de l'Ouest.
Les peaux épaisses sont souvent plus stables face aux variations de température ou d'humidité et ont un son assez grave, par manque d'harmoniques aigües. Pour des huttes de sudation, privilégiez les peaux épaisses et denses (sur des petits à moyens diamètres).
La fabrication
Découper le bas du ballon puis le tendre sur la partie ouverte de la boîte de conserve. Bloquer le tout en entourant le bas du ballon avec l'élastique. Insérer une perle à l'extrémité de chaque baguette. Décorer le tambour.
Des boîtes de conserve pour fabriquer des tambours
Découpez un morceau de ballon de la taille du cylindre de la boite de conserve. Placez-le sur le dessus de la boîte et tendez-le au maximum, il doit un peu dépasser du bord de la boîte. Fixez-le à l'aide d'un élastique. Le tambour est prêt !
Le djembé est l'instrument rythmique de base et ne fait plus partie d'un ensemble polyrythmique. La percussion devient l'instrument phare des shows entre chanson réaliste et rock-blues, en trio (piano-djembé-voix puis guitare électrique-djembé-voix), en quartet et en quintet.
Le tambour appartient à la grande famille des instruments à percussions : pour produire un son, l'instrumentiste peut frapper, pilonner, secouer, entrechoquer, frotter, gratter ou pincer les objets. Les spécialistes distinguent deux familles de percussions : les membranophones et les idiophones.
Le sonneur (soner en breton, sonnou en gallo) est un musicien jouant de la bombarde, du biniou kozh ou autre type de cornemuse, ainsi que parfois aussi de la clarinette bretonne, la Treujenn-gaol (littéralement « tronc de choux ») et par extension de tout instrument de musique utilisé dans l'ancienne société ...
Comment entretenir un djembé - Entretien djembe
La peau n'a besoin d'aucun traitement particulier. Ne jamais lui appliquer de crème, d'huile ou de graisse. Par contre, n'hésitez pas à tendre votre djembé régulièrement, car un bon djembé mal tendu sonnera comme une "casserole".
Une ou deux fois par an passer une noisette d'huile sur la peau (côté externe ou interne pour un tambour poilu) avec un chiffon doux ou votre main (huile d'amande douce par exemple, ou de cameline). Cela va nourrir la peau (comme nous) et l'aider à mieux résister à la sécheresse.
"Démontez" votre tambour de son stand (ou attache), et placez la peau à étouffer sur votre genou (il faut être assis). On peut aussi taper avec la clé sur la peau, pour écouter sa tonalité, mais c'est plus ardu à entendre.
Glissez 2 perles en bois assez grosses sur la ficelle. Nouez une perle à chaque extrémité de la ficelle. Veillez à faire un nœud solide pour ne pas que la perle se détache à l'utilisation. Appliquez de la colle sur l'arrière d'un de vos cercles de tambour.
Commencez lentement, un coup de chaque main, on dit que l'on joue « en frisé», puis accélérez votre vitesse en veillant à bien toujours laisser les baguettes vibrer sur la peau. Quand vos coups seront très rapprochés vous obtiendrez un roulement.
2. Tambour africain fait généralement de bois creux recouvert ou non d'une peau tendue et servant à rythmer chants et danses ou à transmettre un message. Tam-tam africain, nègre; tam-tam des sauvages; son du tam-tam; roulement de tam-tam.
Selon l'Encyclopædia Britannica, la qualité de la sonorité des tam-tams serait due à la composition de leur bronze comprenant quatre-vingts parties de cuivre pour vingt d'étain, ainsi qu'à leur trempe à l'eau froide.