Pour obtenir l'attention de votre enfant, mettez-vous à sa hauteur et regardez-le dans les yeux pour lui parler. Il est parfois nécessaire de lui toucher l'épaule ou la main pour avoir toute son attention. Vous pouvez ensuite exprimer clairement votre demande et dire, par exemple: « Amélie, regarde-moi.
Pour cela, veillez à proposer chaque jour à l'enfant : des temps calmes : lecture, pâte à modeler, jeux de construction ; quelques jeux de concentration : trouver 5 objets de telle couleur ; des exercices de relaxation qui permettent notamment à l'enfant de travailler sa respiration.
Il peut aussi s'exciter par manque de stimulation, pour s'occuper. Par exemple, dans une salle d'attente, l'enfant gigote et grimpe sur sa chaise pour s'amuser parce qu'il s'ennuie. Un enfant peut devenir excité parce qu'il vit une émotion forte qu'il ne peut pas contrôler.
Avant l'âge de 2 ans, un enfant n'est pas capable de comprendre ce qu'est une punition. Il comprend qu'il se passe quelque chose, mais ne peut pas faire le lien entre l'action et sa conséquence. Il est donc inutile de gronder ou de réprimander un bébé. De 12 à 36 mois, l'enfant se développe.
Créer une ambiance calme et détendue à l'aide de lumières tamisées, en faisant jouer une petite musique douce ou en proposant une activité relaxante avant le coucher pourra aider l'enfant à s'endormir plus facilement. Placer l'enfant qui a de la difficulté à s'endormir un peu plus loin du groupe.
Alors, le magazine Pèlerin nous révèle les neuf règles d'or pour se parler sans crier. C'est ce qu'on appelle la Communication Non Violente. Ne pas chercher à convaincre à tout prix, savoir écouter, ne pas juger, cela parait de bon sens et assez vertueux.
Il est normal que votre enfant crie à la suite d'une frustration : son cerveau n'est pas suffisamment mature pour relativiser quoi que ce soit. Crier lui permet dans ce cas de décharger sa tension. Montrez que vous comprenez ce qu'il ressent et mettez des mots sur ses émotions.
Il le fait peut-être à cause qu'il a un trop-plein d'énergie ou encore à cause de sa fatigue. Observer aussi si c'est davantage pour attirer l'attention sur lui ou si c'est vraiment sa façon de communiquer.
Crier plus fort que son enfant pour le faire taire. Voire, la fessée (que nous vous déconseillons ICI). D'autres préféreront céder à ce qu'ils interpréteront comme un caprice en donnant à l'enfant ce qu'il réclame, ou ignorer la situation, pensant qu'il finira par se calmer tout seul.
C'est en général une phase qui ne dure pas si les parents ne sont pas trop complaisants, mais qui en même temps que de la fermeté réclame un peu de compréhension et de tendresse. Il vous faut d'une part le rassurer, et en même temps ne pas le laisser envahir votre soirée et votre nuit.
Les enfants se mettent alors à détester le lit et cela peut engendrer des difficultés le soir aussi. Cependant, si vous ne pouvez pas l'obliger à dormir, vous pouvez au moins obtenir de lui « un temps calme» dans son lit. Accompagnez-le, lisez-lui un livre, calmez-le et laissez-le tranquillement.
Pour rester ferme dans l'éducation des enfants, il est primordial d'établir des règles. Il s'agit de délimiter clairement les conduites autorisées et celles qui ne le sont pas. Voici quelques conseils : Les règles doivent être peu nombreuses, claires et raisonnables.
Les cris, les insultes et les menaces sont en effet considérés comme une forme de violence verbale et psychologique qui a un effet négatif sur le sentiment de sécurité que l'enfant peut ressentir en présence de ses parents.
Entre 1 et 2 ans, l'idéal est de leur ménager entre 1h et 1h30 de sieste le matin, puis 2h en début d'après-midi. Entre 2 et 3 ans, on passe souvent à une seule sieste, juste après le déjeuner. C'est un moment propice à la somnolence.
Pour vous assurer que votre enfant dorme plus longtemps, vous pouvez également appliquer aux tout-petits la méthode dite du “cache-cache”. À chaque fois que votre enfant se lève à l'aube, ramenez-le dans son lit en étant calme mais décidée et en lui disant: “Tu vas quand même encore bien dormir”.
Le nom « Terrible two » (de l'anglais « terribles 2 ans ») désigne la phase d'opposition qui commence vers l'âge de 18 mois et peut durer jusqu'aux 3-4 ans de l'enfant. Bien qu'elle prenne souvent les parents au dépourvu, cette période constitue une étape importante dans le développement psycho-affectif de l'enfant.
Généralement, les premiers signes de la transition apparaissent aux alentours des 18 mois, 2 ans. Vous vous en doutez, passer au lit de grand est une étape importante pour votre bout de chou : c'est un pas décisif vers l'autonomie physique mais aussi psychologique.
Quand vous vous retrouvez dans cette situation, le mieux que vous puissiez faire est essayer de rester calme, de sourire à votre enfant et de baisser le volume de votre voix. Cela servira d'exemple à l'enfant et, si vous lui parlez tout bas, il se peut qu'il cesse de crier pour pouvoir vous écouter.
Expliquer les refus et limiter ainsi les prochains caprices du bébé Lorsque vous interdisez une action ou refusez de céder à l'une de ses demandes, expliquez-lui pourquoi. S'il est déçu ou en colère, ne vous énervez pas et montrez-lui que vous comprenez ses émotions mais que vous n'allez pas céder.
Des bébés plus difficiles que d'autres
"Certains ont des besoins beaucoup plus importants et ils l'expriment bien plus vocalement que d'autres. C'est très difficile pour les parents, qui se sentent isolés, et compliqué de trouver une communauté où l'on se sent compris."