Tenez la seringue dans la main avec laquelle vous écrivez (comme un crayon). Avec l'autre main, pincez délicatement la zone nettoyée de votre abdomen entre votre index et votre pouce pour faire un pli dans la peau. · Assurez-vous de maintenir le pli de la peau pendant toute la durée de l'injection.
La seringue est prête à l'emploi. La solution est injectée par voie sous-cutanée dans un pli de la peau pincé entre deux doigts. L'injection se fait habituellement dans la paroi abdominale, en alternant les côtés.
Dans quelle partie du corps se fait l'injection? Choisissez le ventre ou le côté des cuisses, selon les indications de votre médecin. Changez de zone à chaque injection. Cela réduit l'inconfort, protège la peau et permet au médicament d'être plus efficace.
Est-il possible d'éviter les hématomes (bleus) qui apparaissent parfois autour de la zone d'injection? Tout à fait! Il suffit de ne pas chasser la petite bulle d'air qui se trouve dans la seringue pré-remplie d'HBPM. Il faut également éviter de piquer deux fois d'affilée au même endroit, du même côté du ventre.
Ce type d'injection peut parfois provoquer des ecchymoses et des douleurs à l'endroit où l'aiguille est insérée. Les ecchymoses se produisent lorsque les petits vaisseaux sanguins et les capillaires sont lésés et saignent sous la peau, ce qui entraîne un changement de la couleur de la peau.
Il semblerait que le fait de presser la zone d'injection avec le pouce ou la main pendant dix secondes avant l'injection soit de nature à «légèrement réduire la douleur».
Le risque est plus grand lorsque l'énoxaparine est prise à une dose plus élevée que la dose de prévention de la TVP et lorsque les personnes prennent d'autres médicaments qui influent sur la coagulation du sang (par ex. les anti-inflammatoires non stéroïdiens ou AINS comme le naproxène ou l'ibuprofène).
Il s'injecte dans les tissus sous la peau. Cela doit être fait tous les jours à la même heure durant une période fixe ou selon les indications de votre médecin. Vous aurez besoin d'environ 10 minutes pour faire l'injection.
Les instructions concernant son mode d'emploi sont données sur la notice de l'auto-injecteur LOVENOX. La surveillance régulière de la numération plaquettaire est impérative pendant toute la durée du traitement en raison du risque de thrombopénie induite par l'héparine (TIH) (voir rubrique 4.4).
Mettre les gants. Désinfecter la zone de ponction choisie en un seul passage de compresse imbibée d'alcool. Piquer perpendiculairement au plan de ponction. Introduire rapidement l'aiguille jusqu'à la garde, vérifier l'absence de retour veineux en aspirant légèrement puis commencer à injecter lentement et régulièrement.
Tenez la tige de la seringue comme on le fait une fléchette. Tenez le muscle autour de cette région afin qu'elle soit stable et sécuritaire. Insérez l'aiguille directement à travers la peau à l'angle droit (angle de 90°) dans le muscle. Essayez d'exécuter cette action rapidement.
Si ce volume excédentaire n'est pas éliminé, le système de sécurité ne pourra pas se déclencher en fin d'injection. Lorsqu'il n'y a pas de volume excédentaire, ne pas purger la seringue avant injection. L'apparition d'une goutte à l'extrémité de l'aiguille est possible.
Faire, entre le pouce et l'index, un pli cutané et enfoncer rapidement l'aiguille à la base du pli, en la maintenant parallèle à la peau, le biseau vers le haut. Aspirer légèrement pour vérifier l'absence de sang dans la seringue. Relâcher la peau et injecter lentement.
Sur votre abdomen, choisissez une zone au moins à 5 centimètres de votre nombril et vers les côtés. Alternez la zone d'injection entre le côté droit et le côté gauche de votre abdomen. 3. Nettoyez (sans frotter) la zone avec un désinfectant vendu en pharmacie.
Généralités sur l'injection d'anticoagulants
L'injection se fait, en position assise ou couchée sur la face externe des cuisses ou le bras selon une localisation bien précise. Il est important d'alterner les sites d'une injection à l'autre et d'éviter de faire l'injection sur un hématome ou une cicatrice.
Comment se débarrasser d'un caillot de sang ? Le traitement repose sur l'administration d'antiagrégants plaquettaires (Aspirine, Clopidogrel). Le traitement pour se débarrasser d'un caillot de sang est fonction de sa localisation : dans une veine ou dans une artère.
Comme les autres médicaments similaires (diminuant la coagulation du sang) LOVENOX peut entraîner des saignements. Cela peut mettre la vie en danger. Dans certains cas, les saignements peuvent ne pas être visibles.
Manger beaucoup de légumes verts et d'autres aliments nutritifs riches en vitamine K, comme les huiles d'olive, de soya et de canola, peut aider à stabiliser le traitement anticoagulant, en plus d'offrir de nombreux autres bienfaits pour la santé.
Certains hypertenseurs (inhibiteurs calciques, antihypertenseurs centraux, alpha-bloquants…) peuvent favoriser la prise de poids par la rétention d'eau, appelée aussi œdème.
Attention : tout essoufflement anormal, une pâleur, une fatigue inhabituelle, un mal de tête sévère ou tout autre malaise, peuvent être des signes de saignements internes. Consultez votre médecin sans tarder. Contactez aussi votre médecin en cas de traumatisme (chute, choc sur la tête).
Ils disparaîtront spontanément. Hémorragies de gravité variable. Baisse des plaquettes sanguines justifiant des analyses de sang avant et pendant le traitement. Rarement : réaction allergique, douleur durable au point d'injection pouvant traduire une lésion de la peau ; consultez votre médecin.
L'anticoagulant doit toujours être pris à la même heure afin de créer une habitude. Puisqu'on ne doit prendre le médicament qu'en une seule prise par jour, il est préférable de le prendre l'après-midi ou le soir afin de pouvoir adapter la dose le jour du contrôle puisque la prise de sang est souvent réalisée le matin.
Les principaux végétaux qui diminuent l'agrégation plaquettaire sont : Avec un risque bien établi : la camomille, le gingembre, le ginseng, le saule blanc et le millepertuis.
Les directives internationales actuelles recommandent une prophylaxie allant jusqu'à 35 jours après une chirurgie orthopédique majeure mais reconnaissent que la recommandation est de force faible en raison de preuves de qualité modérée.