Asseyez-vous ensemble et parle-lui avec ton cœur. Si ton frère et toi vous disputez beaucoup ces temps-ci ou s'il fait des choses qui t'énervent, discutes-en avec lui afin de lui faire part de tes sentiments. Veille à ne pas le faire pleurer. Ne prends pas un ton trop autoritaire et ne lui dit pas ce qu'il doit faire.
Dès 3 ans et jusqu'à 7 ans, on peut demander à un enfant quelques petites tâches qui sont en cohérence avec l'autonomie qu'il est en train d'acquérir : débarrasser le couvert de son petit frère ou sœur, lui verser un verre d'eau, l'aider à manger, lui raconter une histoire avant de dormir…
Fais du bruit pour l'embêter.
Attends que ton frère commence quelque chose, comme jouer à un jeu difficile, parler avec une fille, ou faire ses devoirs. Il sera l'heure d'attaquer. Fais des bruits stupides avec ta bouche, des bruits avec tes dessous-de-bras, ou avec tes jouets.
A partir de tes 16 ans, tes parents peuvent demander ton émancipation auprès du juge aux affaires familiales. Dans ce cas, tu peux choisir ton domicile.
Aller chercher le pain à la boulangerie du quartier, les trajets vers l'école, rester une heure tout seul ou toute seule en attendant que les parents rentrent du travail, partir en colo ou camp de vacances l'été… L'autonomie s'acquiert au fur et à mesure et par étapes.
Il a le droit de travailler, et donc aussi de disposer de ses revenus, en ce qui a trait à ses besoins dits «usuels»: loisirs, repas, vêtements, cellulaire, etc. Même avant 14 ans, un adolescent peut contracter un prêt étudiant.
L'une des premières raisons qui peut pousser les frères et les sœurs à se détester tient au fait qu'à l'arrivée d'un nouvel enfant dans la famille, l'aîné ressent un danger, une intrusion, la peur que ce frère ou cette sœur lui vole ses parents, ses jouets, ses vêtements, etc.
La violence peut être physique, sexuelle ou émotionnelle et est presque toujours causée par l'un d'entre eux. C'est un acte de pouvoir et de contrôle. Si votre frère essaie de vous faire sentir impuissant(e), négligé(e) ou sous-estimé(e), vous êtes probablement dans une situation d'abus.
Quelques idées : garder des animaux, tondre des pelouses, désherber des parterres de fleurs, laver des voitures, laver des vitres, ranger un garage, porter les courses des voisins anciens ou porter les poubelles des voisins pour un petit forfait hebdomadaire.
Attablez-vous en terrasse pour boire un coup entre potes. Pour vous occuper vous pouvez vous amuser à mettre des notes aux passants. Vous pouvez par exemple noter leur beauté, leur style, leur coupe de cheveux… Vous pouvez même vous amusez à deviner leur métier.
Jouer « avec rien », c'est jouer avec des objets qui ne sont pas considérés comme des jouets. C'est complètement différent! Et comme expliqué plus haut, jouer avec des objets qui n'ont pas été pensés comme des jeux par des adultes, pour des enfants, et bien cela ouvre les perspectives de création! Comment faire, donc.
La jalousie de l'aîné peut apparaître ou réapparaître lorsque le bébé parvient à un nouveau stade de sa vie : quand il apprend à marcher et qu'il se met à l'interrompre dans son jeu, à casser ses jouets, à les éparpiller ou quand il apprend à parler et qu'il devient capable de défier son grand frère ou sa grande soeur.
La fratrie est un important vecteur de socialisation au même titre que les parents. Les frères et sœurs interagissent entre pairs de la même génération. Ils apprennent à partager, à s'affirmer, à gérer les conflits, etc. Ils font l'apprentissage de la connivence, de la rivalité et de bien des sentiments.
Mener des activités ensemble. Menez leurs activités favorites. Même si vous n'aimez pas courir ou jouer aux jeux vidéos, essayez de faire quelque chose que votre frère ou sœur aime. Ils apprécieront le fait que vous ayez montré de l'intérêt et plus important encore, ils aimeront passer du temps avec vous.
Commencez la conversation en disant quelque chose du genre : « J'ai décidé que ce serait mieux pour ma santé mentale si je ne passais plus de temps avec toi. » S'il se met en colère, vous pourriez lui dire quelque chose comme : « Je n'ai pas envie de discuter.
Quand ton frère te taquine ou t'intimide, le simple fait d'être assertif peut aider à le faire taire. Être assertif dans des situations de taquinerie ou d'intimidation peut aider à faire taire ton petit frère. N'oublie pas : tu as le droit d'être respecté dans ta maison et ses moqueries violent ce droit.
Aide ton frère ou ta sœur à rester en contact avec ses amis.
Demande à ses amis de lui écrire des mots, de lui envoyer des photos ou de lui enregistrer des messages. Aide-le/la à leur envoyer des messages. Et s'il/elle en a envie, invite-les à passer un peu de temps avec lui/elle.
Exprimer sa douleur, mettre des mots sur ses sentiments et ses émotions, et prendre en compte ce qu'ils provoquent chez l'enfant ou l'ado. La tristesse peut aussi s'exprimer à travers l'écriture (pourquoi ne pas écrire à son frère ou sa soeur disparu ?), le dessin, la danse, la musique, le chant…
Il a le droit de choisir, seul, un médecin traitant, de s'immatriculer à la sécurité sociale, d'avoir une carte vitale et d'ouvrir un dossier médical personnel. Il peut aller de lui-même à la mairie pour se recenser. S'il est étranger, il peut demander la nationalité française ou une carte de séjour pour travailler.
Ainsi, si tu as moins de 18 ans, tu n'as pas le droit de sortir sans l'autorisation de tes parents – même si ça te contrarie. Quand Juliette, 17 ans, veut sortir le soir pour faire la fête, elle doit demander l'accord de ses parents tout en leur donnant le lieu où se déroule la soirée et les horaires prévus.
(Familier) (Péjoratif) Première partie de l'adolescence, comprise entre 12 et 16 ans environ, où les adolescents se montrent souvent imbus d'eux-mêmes et complètement immatures.