préparation. Verser le sirop et le vin blanc dans un verre à
L'aire de consommation de la cervoise se réduit à mesure que se répand, dans les villes et hors des régions viticoles, la consommation du vin. Au XV e siècle, la cervoise est surtout la boisson du menu peuple du Nord et Nord-Est de la France.
Pour préparer 20 litres de cervoise, faire bouillir 4 litres d'eau, ajouter 8 litres d'eau à température ambiante et jeter 4 kg de malt moulu (eau à 50°). Attendre en remuant, en brassant. Prélever un tiers du mélange, le porter à ébullition et reverser, brasser (mélange à 61°).
Tout comme la bière, la cervoise une boisson alcoolisée émanant de la fermentation de céréales, et d'orge notamment, avec des ajouts d'herbes pour l'aromatiser, comme la menthe.
L'histoire du Picon bière
Contrairement à ce que l'on pourrait croire, le Picon bière est né à Marseille, sur les bords de la Méditerranée ! L'histoire du Picon bière remonte au XIXe siècle, plus précisément en 1815 lorsque la famille Picon arrive à Marseille pour s'y installer.
Au commencement de la cervoise, l'orge
La boisson ensuite filtrée pouvait sa conserver très longtemps. En bouche, le résultat devait être très aigre, sans doute peu au goût de nos palais modernes, d'autant qu'on la dégustait à température ambiante, tiède en fait !
Une bonne Lager ou une Pils très légère seront idéales pour déguster l'association au coeur de l'été. Si vous n'avez pas froid aux yeux, vous pouvez tenter l'Irish Picon, qui marie Guinness (ou tout autre bière brune), Picon… et sirop de grenadine !
Les textes grecs et romains indiquent que les Gaulois ne consommaient pas seulement le vin de la Méditerranée. Ils buvaient surtout de la bière et de l'hydromel. Poseidonios mentionne une bière à base de blé et de miel, nommée corma, et Pline la cervoise, à base d'orge.
On empâte et on fait bouillir, mettons, 5/6 litres d'eau, et la quantité de malt et de houblons nécessaire pour faire 8 litres de bière. Et dans la cuve ou le seau de fermentation, on verse les 4 litres restant après ébullition et on ajoute 4 litres d'eau et on mélange bien pour homogénéiser et oxygéner en même temps.
Conseil n°1 : servez à la bonne température
Mais ce n'est pas toujours le cas ! Certaines bières révèlent leurs arômes à la température ambiante (des bières sont plus fraîches que d'autres). Il est également déconseillé de la consommer trop froide ou presque congelée, les arômes étant comme « masqués » par le froid.
L'eau-de-vie (aquavit)
La véritable eau-de-vie, alcool norvégien par excellence, est fabriquée à partir de pommes de terre et parfumée au cumin, à l'anis, à la coriandre... Elle doit être servie glacée et accompagne idéalement un poisson gras comme le saumon.
L'hydromel, cette boisson médiévale qui coulait à flots à la période des Vikings et des Gaulois est issue de la fermentation d'un mélange eau miel. Tous les hydromels proposés sont réalisés de façon artisanale le plus naturellement possible, sans sulfites, avec respect, dans le but de sublimer le produit travaillé.
Outre les bières, les Vikings buvaient également de l'hydromel fabriqué à partir de miel. Cependant, comme le miel était cher, cette boisson sucrée n'était bue que lors d'occasions spéciales. On peut donc en conclure que la bière restait la principale boisson du peuple viking.
Consommation mondiale de bière par habitant 2021, par pays
Cette année-là, la République Tchèque occupait la première place avec une consommation annuelle de bière de 129 litres en moyenne par personne. Les Français quant à eux ont consommé en moyenne 33 litres de bière par personne en 2021.
INFOGRAPHIE Avec 148,6 litres par personne, la République Tchèque est le pays qui consomme le plus de bière au monde.
Avec 30 litres bus par an et par habitant, elle est loin derrière la République Tchèque, première du classement. Cette dernière consomme 146,8 litres de bière par personne et par an. La République Tchèque devance largement l'Autriche (107,8 litres) et l'Allemagne (106,1 litres), deuxième et troisième.
Il existe plusieurs stades d'alcoolémie lors de consommation d'alcool. Quand on se situe à 1,2 gramme d'alcool par litre de sang, nous entrons dans la catégorie "ébriété" à plus ou moins 6 verres de vin, selon un tableau qui nous a été mis a disposition par le Pr. Peter Stärkel.
1 bière = combien de gramme ? Même chose pour une bière, une bière de 25cl à 5° correspond à 10g d'alcool pur, soit entre 0,2g/L et 0,25g/L en plus pour le taux d'alcool dans le sang.
Par exemple, en France, une pinte de bière (0,50 litre) à 5 degrés en volume contient 0,5 ✕ 0,8 ✕ 5,0 % = 0,0200 kg soit 20g d'alcool pur. Donc si j'en avale 2 ça fait 40g d'alcool pur.
Les Grecs, puis les Romains, buvaient ainsi le vin mélangé, à la différence des Gaulois. Chez les Grecs, l'eau était mélangée au vin dans un grand vase ou cratère, alors que chez les Romains, chaque convive faisait lui-même son mélange : généralement deux ou trois mesures d'eau pour une mesure de vin.
Les Gaulois sont amateurs de vin à l'excès et se gorgent de vin pur apporté dans leur pays par des marchands.
On le voit, ces mots relatifs à l'alimentation font le plus souvent référence à des nourritures animales. La viande était presqu'exclusivement issue d'animaux domestiqués : porcs, bovins, moutons, chèvres, volailles et aussi chevaux et chiens (consommés dans le cadre de banquets ou de cérémonies religieuses).
Boire une bière à température ambiante, c'est rarement une réussite. Mais si la notre s'est un peu réchauffée, mieux vaut éviter de mettre des glaçons dedans : l'eau va se diluer dedans et en altérer considérablement le goût.
L'importance de l'acidité
En effet, cet agrume apporte le côté acide et rafraîchissant dont un cocktail à besoin. Pour qu'un mélange soit réussi, il doit regrouper la puissance de l'alcool, la sucrosité des softs ou des sirops et l'acidité du citron. En bref, ce dernier permet d'équilibrer tout une préparation.
Il sert également à stériliser le moût, tuer toutes les bactéries indésirables ou les levures sauvages qui peuvent être présentes. Le processus d'ébullition provoque également une réaction chimique appelée isomérisation, qui aide à stabiliser les composés du houblon et à les rendre plus solubles dans la bière finie.