Quel est le coefficient d'agrandissement ? Pour trouver le coefficient, on divise, par exemple, la plus grande longueur du triangle agrandi par la plus grande longueur du triangle initial. 5,7 ÷ 3 = 1,9. Le coefficient d'agrandissement est 1,9.
Les volumes sont multipliés par 0,53. Pour un agrandissement ou une réduction de rapport k, -les longueurs sont multipliées par k, -les aires sont multipliées par k2, -les volumes sont multipliés par k3. Remarque : Dans la pratique, on applique directement la propriété.
Calculer des longueurs après réduction
Multiplie la longueur de chaque côté de la figure initiale par le coefficient de réduction. Tu obtiens ainsi la longueur de chaque côté de la figure réduite. Toutes les longueurs de la figure ont été multipliées par 0,5 (coefficient de réduction).
Le rapport de similitude (k) est un rapport entre des longueurs homologues (côtés, périmètres, rayons, circonférences, etc.) de 2 figures semblables.
La valeur de la constante d'équilibre K est le rapport entre les concentrations des produits et des réactifs. Cela signifie que nous pouvons utiliser la valeur de K pour prédire s'il y a plus de produits ou de réactifs à l'équilibre pour une réaction donnée.
Pour cela, vous devez multiplier la base par elle-même autant de fois que l'indique l'exposant. Additionnez les deux valeurs. S'il n'y a pas eu d'erreurs, vous obtenez ainsi la somme de vos deux puissances.
Relation entre puissance électrique, tension et intensité
La puissance électrique se calcule avec la relation : P = U × I avec P en watts, U en volts et I en ampères.
Toute puissance d'un nombre positif est un nombre positif. Toute puissance paire d'un nombre négatif est un nombre positif. Toute puissance impaire d'un nombre négatif est un nombre négatif. En résumé : une puissance est un nombre négatif dans le seul cas où la base est négative et l'exposant impair.
La puissance électrique échangée par un dipôle, l'intensité qui le traverse et la tension à ses bornes sont liées par la relation : P = U × I. P = puissance en watt (W). U = tension en volt (V). I = intensité en ampère (A).
On appelle constante de cellule k le rapport de la conductance G et de la conductivité de la solution s. On peut donc écrire la relation : G = k. s . Dans les conditions de l' expérience, la constante de cellule k = 2,5x10-3- m.
Le kelvin, symbole K, est l'unité de température thermodynamique du SI.
La température étant un facteur cinétique, si la vitesse dans un sens augmente davantage avec la température que celle dans l'autre sens , la valeur de K sera modifiée.
K(T) est une grandeur sans unité qui ne dépend que de la température. Cette constante sert de référence. Elle permet de prévoir l'évolution d'un système chimique si on la compare au quotient de réaction Qr. En effet, toute réaction chimique non totale évolue pour atteindre l'équilibre, symbolisé par Qr = K(T).
En sciences, une constante est une grandeur dont la valeur est fixée par convention ou par calcul, indépendamment du problème dans lequel elle est rencontrée. Cette notion s'oppose ainsi à celle de variable, dont la valeur peut changer au cours d'un même problème.
Le paramètre k a pour effet de faire glisser une fonction vers le bas ou vers le haut, tout dépendant de sa valeur. Dans cet exemple, la forme de base de la fonction valeur absolue a pour équation f(x)=∣x∣. f ( x ) =∣ x ∣ . Lorsqu'on ajoute le paramètre k, l'équation devient f(x)=∣x∣+ k.
En mathématiques, la fonction K est une généralisation de l'hyperfactorielle aux nombres complexes, similaire à la généralisation de la factorielle à la fonction gamma.
Soient f une fonction définie sur un ensemble D et k un réel fixé. Résoudre l'équation f(x)=k : => consiste à déterminer tous les réels x de D qui ont pour image k ; => revient donc à déterminer l'ensemble des antécédents de k par f.
Vous avez votre roue menante et votre roue menée, vous pouvez calculer le rapport de transmission comme cela a été fait précédemment. Dans l'exemple choisi, nous allons diviser les 30 dents de la roue menante par les 7 dents de la roue menée. On obtient une raison du train de : 30/7, soit environ 4,3 (ou encore 4,3:1).
Le rapport d'homothétie est le rapport entre une mesure algébrique de la figure image et la mesure algébrique correspondante sur la figure initiale. Voici un exemple où k>1: Dans cette illustration, k=m(O, P′)m(O, P) = −m(O, P′′)m(O, P).
Deux cas particuliers doivent être mentionnés : Si k = 1, chaque point étant invariant, l'homothétie est la transformation identité : chaque point est envoyé sur lui-même ; Si k = –1, l'homothétie de rapport –1 est la symétrie centrale de centre O.
Le rapport d'homothétie positif (k>0)
Lorsque le rapport est positif, les sommets des figures initiale et image sont du même côté par rapport au centre d'homothétie. Le rectangle A'B'C'D' a été obtenu par l'homothétie de centre O du rectangle ABCD selon un rapport d'homothétie k=2. k = 2.