En effet, le calcul de la valeur des parts est le suivant : il convient d'additionner la valeur des biens immobiliers et le montant de la trésorerie disponible, puis d'y soustraire le montant des dettes de la société. Le résultat est ensuite divisé par le nombre total de parts sociales de la SCI.
Pour réévaluer la valeur des parts, il faut déterminer l'actif réel de la SCI après en avoir soustrait le passif. Les montants de l'actif et du passif figurent au bilan de la SCI. La valeur d'une part est égale à cet actif net divisé par le nombre total de parts.
Ce capital social est divisé en parts sociales. Si le capital social est divisé en 500 parts sociales alors le montant nominal d'une part sociale est logiquement de 10 € (capital social / nombre de parts sociales = valeur nominale de la part.
L'évaluation du prix de parts sociales par la valeur patrimoniale se fait en prenant en compte le passé de l'entreprise. Cette méthode se base sur les actifs nets réévalués de l'entreprise et la réévaluation de la valeur de la société au marché actuel en déduisant ses dettes.
La valeur nominale des parts sociales est fixée librement par les statuts. En revanche, toutes les parts sociales d'une société doivent avoir la même valeur nominale. Exemple : si la société dispose d'un capital social de 2.000€ divisé en 200 parts sociales, la valeur nominale d'une part est de 10€.
Les droits d'enregistrement dus à l'occasion d'une cession de fonds de commerce ou d'une acquisition de titres (actions ou parts sociales) doivent être payés par l'acquéreur.
Elles sont déterminées par les statuts. Chaque part sociale a une valeur identique. L'ensemble des valeurs de chaque part sociale représente son capital. Donc pour calculer ce capital, il suffit de multiplier la valeur d'une part sociale par le nombre total de parts sociales de la société concernée.
L'utilisation pratique de la valeur nominale
Elle est calculée à partir du capital divisé par le nombre de titres émis. Il en va de même pour les parts sociales. Par exemple, une SARL avec une capitalisation de 10 000 € pourra émettre 1 000 parts de 10 € chacune, ou 500 parts de 20 €.
Deux méthodes sont généralement appliquées pour évaluer une entreprise : l'approche patrimoniale (estimer la valeur du patrimoine de l'entreprise) et l'approche par les flux financiers (estimer la rentabilité d'une entreprise – méthode privilégiée pour les jeunes entreprises en forte croissance).
La valeur de la totalité des parts d'une SCI est égale à la valeur de son actif réel diminué de son passif, autrement dit son actif net. La valeur d'une part est égal à cet actif net divisé par le nombre total de parts. Les montants de l'actif et du passif figurent au bilan de la SCI.
Cette valeur s'obtient par la somme des éléments de l'actif du bilan diminuée des éléments du passif réel (dettes à long, moyen et court terme) et des provisions. La VM résulte donc de la valeur nécessairement actualisée, au jour de l'expertise, des actifs moins les dettes (Com.
Valeur obtenue en divisant l'actif net d'un OPCVM par le nombre de parts (FCP) ou d'actions (SICAV) en circulation.
Le coût de dissolution de votre SCI au greffe est de 192,01 €.
Comment récupérer l'argent de la vente d'un bien en SCI ? Le chèque de la vente remis par le notaire est établi au nom de la SCI. Il est donc déposé sur le compte courant de celle-ci. Le gérant répartit ensuite en comptabilité le produit de la vente entre les associés en fonction du nombre de parts sociales de chacun.
Le rachat de parts de SCI est soumis à des droits d'enregistrement d'un taux de 5%. Ces droits, dont est tenu le cessionnaire, sont calculés sur le prix de cession. Cette formalité doit être réalisée dans le mois qui suit la signature de l'acte de cession.
La valeur escomptée ( ou valeur nette) est donc égale à la valeur nominale (-) l'agio.
Le prix de revient se calcule à partir des charges directes et indirectes. Prix de revient = somme des charges directes et indirectes / quantités produites. Les charges directes sont les charges qui sont directement issues du processus de fabrication du produit ou de la prestation de service.
Les prix courants sont les prix tels qu'ils sont indiqués à une période donnée, ils sont dits en valeur nominale. Les prix constants sont les prix en valeur réelle c'est-à-dire corrigés de la hausse des prix par rapport à une donnée de base ou de référence.
Le rachat de part implique d'être sous le régime de l'indivision. L'acheteur et le vendeur doivent se mettre d'accord sur la valeur du bien pour déterminer la valeur de la part à racheter après application de la quotité correspondante (inscrite généralement dans l'acte notarié d'acquisition du bien immobilier).
Le rachat de parts sociales est formalisé à travers un document écrit nommé « acte de cession » qui est réalisé par acte sous seing privé directement entre les parties, ou alors sous forme authentique devant le notaire (solution plus sécurisante, mais également bien plus onéreuse).
Le régime fiscal
Lors de la cession de parts, le cédant est imposable aux prélèvements sociaux au taux de15,5%. Il est également soumis à l'impôt sur le revenu, au barème progressif sur la plus-value qu'il réalise à l'occasion de cette cession de parts.
La fiscalité qui s'applique aux dividendes perçus sur les parts sociales est identique à celle des revenus d'actions : Si elles sont logées dans un PEA, leurs revenus sont exonérés d'impôts, hors contributions sociales, au-delà de la cinquième année de vie du plan.
Pour les autres cessions de droits sociaux le droit d'enregistrement est de 3 %. Le calcul des droits s'effectue en appliquant sur la valeur de chaque part sociale, un abattement égal au rapport entre la somme de 23 000 € et le nombre total de parts sociales de la société.
Pour de l'épargne à un an, les parts sociales sont une alternative intéressante aux comptes à terme, notamment en raison d'une fiscalité plus favorable et de taux bien supérieurs. Leur rémunération devrait rester stable.