Recherche de racine(s) et signe d'un polynôme : Un polynôme du second degré P(x) = ax² + bx + c admet au plus deux racines. Le nombre exact de ses racines est déterminé par le signe d'un expression notée Δ qu'on appelle le discriminant. Δ = b² - 4ac.
Il est établi que, pour tout nombre a et b, on a : √(a x b) = √(a) x √(b) X Source de recherche . Grâce à cette propriété, Il suffit de calculer les racines et de multiplier entre eux les résultats obtenus. Dans notre exemple, on calcule les racines de 25 et de 16, ce qui nous donne : √(25 x 16)
Il suffit pour cela de diviser les deux membres de l'équation algébrique par le coefficient du monôme de plus haut degré (le coefficient a). Exemple : Trouver les solutions d'une équation algébrique revient donc à déterminer les racines d'un polynôme unitaire.
Il suffit de remplacer x par -1 dans P et si on trouve 0 c'est que -1 est racine de ce polynôme. Donc, -1 est racine de P. Déterminer une fonction polynôme Q du troisième degré telle que : P(x) = (x + 1)Q(x).
Équation du quatrième degré : méthode de Ferrari
Sa solution repose sur la méthode de Cardan dont il était d'ailleurs l'élève. On cherche à résoudre l'équation x^4=px^2+qx+r. Comme pour l'équation de degré 3, un changement de variable permet de ramener toute équation du quatrième degré à une équation de cette forme-là.
Si l'équation est donnée, comme souvent eu égard, historiquement, à Cardan, sous la forme x3 = px + q, il faut alors changer p et q en -p et -q et la formule devient alors : Cette formule, dite de Cardan, résout l'équation du troisième degré lorsque p et q sont des entiers positifs (forme primitive du problème).
On appelle racine du trinôme f, tout réel qui annule f. Exemple : 1 est une racine du trinôme 2x2 +3x−5, car 2(1)2 +3(1)−5 = 0. Remarque : Chercher les racines du trinôme ax2 +bx+c, revient à résoudre dans R l'équation ax2 +bx+c = 0. On appelle discriminant du trinôme ax2 +bx+c (a = 0), le réel ∆ = b2 −4ac.
Pour résoudre une équation du second degré de la forme ax^2+bx+c=0, on détermine les éventuelles racines du trinôme. Le nombre appelé discriminant du trinôme est particulièrement utile dans la recherche des solutions d'une équation du second degré.
- Si Δ > 0, alors l'équation admet deux solutions réelles notées x1 et x2. On a alors : x1 = (−b − √Δ ) / (2a) et x2 = (−b + √Δ ) / (2a) ; - Si Δ = 0, alors l'équation admet une solution réelle double notée x0.
Si x1 et x2 sont les racines d'un polynôme du second degré ax2 + bx + c, alors il se factorise sous la forme a(x − x1)(x − x2). Si x0 est l'unique racine d'un polynôme du second degré ax2 + bx + c, alors il se factorise sous la forme a(x − x0)2.
Méthode 1 : en connaissant une racine a du polynome p (possiblement une racine évidente), alors le polynome peut se factoriser par (x−a) , soit p=(x−a)⋅q(x) p = ( x − a ) ⋅ q ( x ) avec q(x) un polynôme de degré 2 (méthode de factorisation ci-dessus).
racine, ou bien peut en avoir une ou plusieurs voire une infinité. Sur le graphe de la fonction, les racines sont les intersections du graphe avec l'axe des x. Comment trouver les racines d'une fonction ? Il suffit d'annuler le numérateur de la fonction.
La racine carrée
Par exemple, 3 est le nombre dont le carré est 9 : un coup d'œil dans la table des racines carrées donne rapidement ce résultat. On dit que 3 est la racine carrée de 9.
Pour trouver la racine carrée d'un nombre sans calculatrice, cherchez un nombre plus petit, qui multiplié par lui-même, donne le nombre de départ. Si le nombre de départ est un carré parfait, sa racine sera un nombre entier.
Définition - On appelle racine d'une fonction f un nombre a appartenant au domaine de f tel que f(a)=0.
Définition : On appelle discriminant du trinôme ax2 + bx + c , le nombre réel, noté A, égal à b2 − 4ac . Exemple : Le discriminant de l'équation 3x2 − 6x − 2 = 0 est : ∆ = (-6)2 – 4 x 3 x (-2) = 36 + 24 = 60.
Si Δ = 0 alors l' équation admet une solution double x = −b/2a. Si Δ >0 alors l' équation admet deux solutions distinctes x' et x' telles que: x' =( −b + √Δ ) / 2a et x'' =(
En mathématiques, une racine d'un polynôme P(X) est une valeur α telle que P(α) = 0. C'est donc une solution de l'équation polynomiale P(x) = 0 d'inconnue x, ou encore, un zéro de la fonction polynomiale associée. Par exemple, les racines de X2 – X sont 0 et 1.
Pour pouvoir résoudre une telle équation, il faut tout d'abord calculer le discriminant Δ. On le calcule. Ensuite, selon le résultat, on va pouvoir connaître le nombre de solutions qu'il y a, et les trouver s'il y en a. Si Δ < 0 , rien de plus simple : il n'y a pas de solution.
Si le discriminant est strictement négatif, il n'a pas de racine carrée réelle et donc l'équation n'admet pas de solution réelle.
Soit le polynôme P(x) = ax² + bx + c (a ≠ 0) et Δ son discriminant. Si Δ ≤ 0, alors P(x) est du signe de a. Si Δ > 0, alors P(a) admet deux racines x1 et x2.
Pour étudier le signe d'une fonction polynôme du second degré, on utilise la forme factorisée puis on dresse un tableau de signes. f est la fonction définie sur R par f(x)=−3(x−1)(x+2).
Équation bicarrée,
équation du quatrième degré de forme générale ax4 + bx2 + c = 0, dont la résolution s'obtient en effectuant le changement de variable x2 = y.