Le Nouveau Testament mentionne donc quatre « frères » de Jésus : Jacques, Joset, ou José ou Joseph selon les manuscrits, Jude et Simon ou Siméon.
Le Nouveau Testament en dénombre six au minimum : Jacques, Joset, Jude et Simon ; les sœurs, si elles sont mentionnées, ne sont jamais nommées.
Parmi elles étaient Marie de Magdala, Marie, mère de Jacques le petit et de Joses, et Salomé. » (Mc 15,40) ; « Lorsque le sabbat fut passé, Marie de Magdala, Marie, mère de Jacques, et Salomé, achetèrent des aromates, afin d'aller embaumer Jésus. » (Mc 16,1), et celui de Évangile selon Luc : « Celles qui dirent ces ...
Joachim /ʒɔaʃɛ̃/ ou /ʒɔakim/ (que “Dieu prépare“ ou “accorde“, “suscite“, "met debout", en hébreu Yehowyaqiym) ou chez les arabes et dans le Coran Imrân عمران est l'époux de sainte Anne et le père de la Vierge Marie, dans la tradition catholique et orthodoxe. Il est de fait le grand-père de Jésus de Nazareth.
Le Nouveau Testament mentionne donc quatre « frères » de Jésus : Jacques, Joset, ou José ou Joseph selon les manuscrits, Jude et Simon ou Siméon.
Jésus vient du grec ancien Ἰησοῦς , Iēsoûs, lui-même issu du prénom hébreu ancien ישוע , Iéshua (et a la même racine que Josué). Ce mot signifie « Dieu sauve » ou « Dieu délivre ». Christ vient du grec ancien χριστός , khristós, lui-même traduit de l'hébreu ancien משיח , maschiah (« messie »).
Joseph d'Arimathie (ou d'Arimathée selon les traductions), Ἰωσήφ ἀπὸ Ἀριμαθαίας en grec ancien, est un personnage du Nouveau Testament qui est introduit par les auteurs des quatre évangiles, dans la péricope de la mise au tombeau, comme un notable juif, membre du Sanhédrin, qui procède à la descente de croix et à l' ...
Pour Luc, vi, 12-16, et Actes, i, 13, les Douze sont Pierre et André, son frère, Jacques, Jean, Philippe, Barthélemy, Matthieu, Thomas, Jacques, fils d'Alphée, Simon, appelé le zélote, Jude « de Jacques », et Judas l'Iscariote.
C'est parce qu'elle représente une incarnation de la Sophia déchue dans le monde. Et, de fait, Marie-Madeleine a sans doute très tôt [18] représenté l'image d'une femme pécheresse (peut-être prostituée) convertie par le Christ et guérie par lui de ses démons.
Dans les Évangiles
La descente de croix a lieu le soir de la Crucifixion et Joseph d'Arimathie demande à Ponce Pilate l'autorisation d'emporter le corps de Jésus. Ponce Pilate, étonné que la mort soit arrivée si vite, demande la confirmation à Longin le Centurion qui perça le côté droit de Jésus avec la Sainte Lance.
C'est ainsi, d'après Matthieu (1, 18-24), seul évangéliste avec Luc à donner un récit circonstancié de la naissance de Jésus, que Joseph accepta le rôle de père adoptif.
Dans un texte des apocryphes, les apôtres rapportent le récit que Jésus leur a fait de la vie et de la mort de son père Joseph.
Les contemporains l'auraient appelé Yeshua Bar Yehosef ou Yeshua Nasraya. (C'est «Jésus, fils de Joseph», ou «Jésus de Nazareth».) Les Galiléens se distinguaient les uns des autres avec le même prénom en rajoutant soit «fils de» et le nom de leur père, soit leur lieu de naissance.
Le nom du Dieu d'Israël et de Juda apparaît près de 6800 fois dans la Bible hébraïque sous la forme du Tétragramme יהוה, c'est-à-dire YHWH. Ce nom est aussi attesté, sous une forme incomplète (Yah), dans un grand nombre d'anthroponymes.
L'araméen, la langue de Jésus. L'araméen est surtout connu comme la langue de Jésus. Cette langue sémitique, originaire de la région du cours moyen de l'Euphrate, avait essaimé jusqu'en Syrie et en Mésopotamie entre 800 et 600 avant Jésus-Christ.
[JOHANNA LEGUERRE - AFP] Au XVe siècle, lorsque Gutenberg imprime la Bible, les autorités religieuses affirment que c'est Dieu lui-même qui a dicté les textes à des prophètes, à commencer par Moïse pour le Pentateuque, soit les cinq premiers rouleaux de l'Ancien Testament qui correspond à la Torah juive.
Dieu le Père et Jésus
Dans les Évangiles, Jésus révèle avoir une relation très particulière avec Dieu, qu'il appelle « Père ». De même, Dieu à plusieurs reprises appelle Jésus « son Fils bien aimé ».
Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ? (Mc 15,34 et Mt 27,46) crié « à voix forte » en araméen Eloï, Eloï, lama sabbaqthani ? (Ps 22:2) Souffrance suprême du sentiment d'abandon : la nuit obscure de l'homme Jésus, qui pourtant cite un psaume qui s'achève sur la réhabilitation du juste – et la mort survient à ...
Cette barre symbolise le lien entre les pécheurs et le Christ sauveur. Elle est penchée vers la gauche (côté du mauvais larron qui n'est pas sauvé), son côté droit étant plus haut (côté du bon larron sauvé par le Christ).
(Date à préciser) Du latin deus , de l'indo-européen commun * di- (« briller, soleil, jour, dieu »). Apparenté au grec ancien Ζεύς , Zeús (« Zeus »).
La Pericope Adulterae est le nom traditionnel d'un épisode évangélique (péricope) au sujet d'une femme adultère de l'Évangile selon Jean 8,1-11. Ce passage décrit une confrontation entre Jésus, les scribes et les Pharisiens pour savoir si cette femme, coupable d'adultère, doit être lapidée.