Les chercheurs montrent ainsi que le fait d'inspirer et d'expirer profondément stimule un sous-ensemble de neurones, qui transmettent à leur tour des signaux à une région cérébrale responsable du stress et de l'attention, dont elle inhibe l'activité – d'où le sentiment « zen » qui émerge.
Un entraînement régulier à la relaxation par neurofeedback va ainsi renforcer sa capacité à générer plus d'ondes alpha, et donc à se mettre en état de relaxation.
Comme la plupart des cellules, les neurones peuvent mourir de deux manières différentes : par nécrose ou par apoptose. La nécrose est produite par un traumatisme aigu, chimique ou mécanique. La cellule gonfle puis se détruit (lyse) et son contenu se disperse dans le milieu extracellulaire.
Pour débrancher le cerveau, on commence donc par se déconnecter littéralement. Ou, du moins, par se discipliner un peu. On apprend donc à se fixer des plages consacrées à la consultation de nos messages, textos et autres notifications et l'on cesse de bondir à chaque alerte.
Pour ramener votre esprit dans le moment présent, prenez une grande inspiration et placez vos deux mains sur votre cœur, jusqu'à ce que les tensions s'apaisent. Fermez les yeux et respirez profondément, jusqu'à ce que vous ne puissiez plus respirer, puis relâchez l'air lentement, en détendant la mâchoire.
Ce phénomène, nommé en anglais "overthinking", bloque notre esprit en le remplissant d'angoisses, de peurs et d'inquiétudes inutiles. Les pensées sont normales et impossible à arrêter, mais c'est la manière de gérer ses pensées qui va faire la différence.
Le terme tachypsychie provient des mots grecs tachy qui signifie rapide et psyche qui signifie âme. Il s'agit non pas d'une maladie mais d'un symptôme psychopathologique caractérisé par une accélération anormale du rythme de la pensée et des associations d'idées créant un état de surexcitation.
A titre indicatif : Les principales sources d'oméga-3 et d'acides gras polyinsaturés sont les poissons gras (le thon, la sardine, le maquereau, le saumon, le hareng) et les huiles de noix et de soja.
Des graisses polyinsaturées, pour entretenir les neurones
On consomme deux portions de poisson gras par semaine en privilégiant les petites espèces (anchois, sardine, maquereau, hareng…), moins polluées, on utilise des huiles d'olive, colza, lin ou noix (2 à 3 c.
SE CONCENTRER SUR SA RESPIRATION
Prendre le temps de s'asseoir, le dos droit, d'inspirer et d'expirer par le nez. Écoutez votre respiration et remarquez comme elle change votre corps : la chaleur aux narines, la poitrine et le ventre qui se gonflent et dégonflent.
Pour calmer la nervosité et ses symptômes, il est recommandé de boire une infusion à base de plantes apaisantes, trois à quatre fois par jour. La valériane, la camomille, le tilleul, la passiflore ou encore le millepertuis sont des plantes aux multiples bienfaits reconnues pour soulager le stress.
Le cerveau est un grand consommateur d'énergie. Son carburant principal est le sucre, précisément le glucose. Quand les cellules du cerveau, les neurones, ont de la difficulté à obtenir ou à utiliser ce précieux carburant, elles fonctionnent moins bien, deviennent affamées et peuvent mourir.
Les médicaments qui agissent sur le cerveau, comme les anxiolytiques, les antidépresseurs, mais aussi les somnifères. En modifiant la manière dont les neurones communiquent, ils perturbent la mémoire et la concentration. Le stress.
Pour avoir des neurones tout neufs pratiquer aussi une activité physique. On sait maintenant que les muscles fabriquent des substances chimiques et qu'ils utilisent la voie sanguine pour agir directement sur la production de neurones.
Riche en vitamine B et en tryptophane, la banane aide à détendre le système nerveux et procure une sensation de bien-être. Le tryptophane aide à la synthèse de la sérotonine qui est un neurotransmetteur qui aide à se sentir calme.
La réflexion excessive peut avoir pour origine le doute de soi ou un manque d'estime de soi, elle peut être liée au stress et à l'anxiété, ou encore être le résultat de traumatismes passés ou d'expériences négatives dans la vie.
2) L'overthinker a besoin d'être souvent rassuré pour être à l'aise dans une relation. Ce qui caractérise ceux qui sur-analysent, c'est un certain inconfort dans la perception que les autres ont d'eux. Dans la recherche de contrôle, ils sont aussi à la recherche de l'approbation générale.
Astuce 1 : écrire tout ce qui passe par la tête pour faire le tri. C'est ce qu'on appelle en anglais le Brain Dump. Je le fais très souvent, et ça m'aide beaucoup. J'essore mon cerveau au maximum pour en sortir toutes les pensées, même les plus saugrenues.
Les anxiolytiques, tels que les benzodiazépines, peuvent offrir un soulagement temporaire des signes en attendant que le traitement antidépresseur soit efficace.
Sans trop de surprise, les premiers responsables sont le stress et l'anxiété. "C'est la cause numéro 1" , assure Olivier Pallanca : "Certaines personnes ont des vulnérabilités au stress. Dès qu'ils vont être trop actifs, qu'ils vont avoir un niveau d'éveil trop important, ça va activer le même déséquilibre.
PSYCHO - Prendre de la distance avec ses pensées négatives, se remettre dans l'action et favoriser les émotions positives sont autant de conseils qui peuvent aider à arrêter de ruminer.
2 - Les fruits riches en antioxydants
De manière préventive, les antioxydants empêchent la formation de molécules qui affecteraient nos capacités intellectuelles. On opte pour les petits fruits tels que les mûres, les canneberges, les framboises, les baies de goji, ou les fraises…