Soyez patiente si vous n'arrivez pas à le calmer
Lorsque cette situation se produit, il faut essayer de ne pas perdre votre sang-froid : en quelques jours, les bébés développent des « antennes » très sensibles et se rendent compte que s'il y a une tension autour d'eux, pleurer n'aide bien évidemment pas à la calmer.
Voici quelques solutions à tester pour calmer les pleurs du soir d'un bébé agité : S'isoler dans un endroit calme avec bébé, l'installer à plat ventre sur l'avant-bras d'un de ses parents puis le bercer en lui parlant doucement. Le porter en écharpe.
Il réagit simplement sous l'impulsion de ses besoins primaires. Il a peur, il ne se sent pas en sécurité : c'est un véritable besoin. Et si on le comble (au lieu de le frustrer davantage), on arrivera sans doute à le rassurer et il se calmera.
Le bébé identifie sa maman par sa voix dès les premiers jours, une voix qu'il percevait déjà in utero. Les premières heures, le nouveau-né regarde donc plus longtemps le visage de sa maman. Elle a été en interaction pendant ses courtes périodes d'éveil, notamment avec des mots tendres et rassurants.
Comment savoir si mon bébé développe un lien d'attachement sécurisant? Pour le parent, les premiers signes d'attachement sont extrêmement gratifiants : À 4 semaines, votre bébé réagira à votre sourire, par exemple par une expression du visage ou un mouvement. À 3 mois, il vous sourira en retour.
Comme les pleurs sont l'unique moyen de communication du nouveau-né, si ces derniers sont ignorés, cela va augmenter son stress, et peut, sur la durée, endommager son système nerveux central, sa croissance ou encore son potentiel d'apprentissage.
Dites-lui qu'il est en sécurité dans son lit, caressez-lui le dos ou la tête pour qu'il se calme. Si besoin, prenez-le dans vos bras pour lui faire un câlin et l'aider à s'apaiser, puis dites-lui doucement que vous allez le reposer dans son lit pour qu'il dorme.
Les pleurs de décharge sont des pleurs intenses, difficiles à calmer, qui surviennent plutôt le soir, généralement autour de 18 heures. Ces pleurs apparaissent entre la naissance jusqu'à l'âge de 3 ou 4 mois environ, avec un pic généralement compris autour de 6 à 8 semaines.
Un bébé hypertonique, toujours en mouvement
C'est un bébé qui va refuser d'être emmailloté par exemple. Il va préférer être porté en peau-à-peau ou en écharpe par ses parents, car il a tout de même besoin de proximité. Le BABI veut tout simplement être comme LUI le souhaite.
L'enfant qui présenterait des signes d'irritabilité, de colère, d'agressivité, de repli sur soi… Autre signe à repérer : des difficultés de concentration.
C'est un besoin naturel et inné chez le nourrisson qui apparaît dès la vie utérine. Sucer son pouce l'aide à se rassurer et à s'apaiser. Dès les premières heures de sa vie, un bébé aura d'ailleurs instinctivement envie de téter sa maman. Mais ce besoin n'est pas qu'alimentaire !
Il n'est pas recommandé de laisser pleurer un bébé, même s'il n'est plus un nouveau-né. Un bébé ne pleure jamais pour manipuler. Son cerveau n'est pas encore assez développé pour lui permettre de manipuler ses parents. Il ne possède pas non plus la capacité de gérer ses émotions.
On recommande toutefois de ne pas laisser pleurer l'enfant plus de 15 à 30 minutes en continu. Dans cette étude, les bébés, âgés de 4 à 10 mois, devaient donc apprendre à s'endormir selon cette méthode.
Dans l'idéal, l'enfant qui refuse de dormir devrait être mis au lit à la même heure chaque soir, suivant une routine du coucher pouvant comprendre par exemple le dîner, le bain et une histoire. Embrassons-le et souhaitons-lui « bonne nuit » d'une voix ferme, puis quittons la chambre alors qu'il est encore éveillé.
En fait, le cortisol est une hormone qui nous tient éveillé, il nous permet à tous de rester actif toute la journée. Le taux de cortisol est en augmentation si Bébé n'atteint pas son quota de sommeil. Il va empêcher l'enfant (à son insu) de pouvoir dormir paisiblement.
Un bébé doit se sentir en sécurité. Il peut donc avoir besoin de la présence d'un de ses parents pour pouvoir s'endormir. Parfois, un bébé âgé de 1 mois ne veut pas dormir dans son lit. C'est ce qu'on appelle l'« association sommeil-dépendance » : votre enfant ne peut s'endormir que lorsqu'il se sent en sécurité.
L'enfant est souvent agité avant de dormir durant les trois premiers mois. Cette situation peut s'expliquer par le fait qu'il est encore en phase d'apprentissage du sommeil. En effet, durant cette période, les bébés s'adaptent progressivement au rythme de veille-sommeil. Ainsi, cette situation est normale.
« Parce qu'on peut l'utiliser chez les plus jeunes, avant 4 mois », explique Evelyne Martello, qui rappelle que la méthode du 5-10-15 convient à des enfants à partir de 4 à 6 mois, et jusqu'à 18 mois environ.
Les scientifiques ont aussi la réponse : rester assis pendant 5 à 8 minutes. En résumé, 5 min de portage en marchant et ensuite 5 à 8 minutes assis avant de le reposer dans son lit endormi.
Qu'est-ce que le 5-10-15 ? La méthode du 5-10-15 est une méthode pour apprendre à un enfant à s'endormir par lui-même. L'enfant est déposé dans son lit éveillé et le parent sort de la chambre. Si l'enfant appelle, le parent attend d'abord 5 minutes avant de retourner le voir.
Les câlins sont indispensables au bon développement sensoriel et cognitif de bébé. Le sens du toucher (avec les bisous, les câlins) stimule notamment les hormones du bien-être et de la croissance. Quant à son petit cerveau, il a besoin de vos bras pour développer les bonnes connexions.
Vers 8 mois, la parole “non” associée à votre gestuelle, à votre intonation est intégrée. A votre “non”, votre enfant stoppera son geste et vous regardera …
Ce qu'un bébé comprend à partir de 6 mois
Votre bébé commence habituellement à reconnaître des mots vers l'âge de 6 mois. Par exemple, il reconnaît son prénom et il se retourne quand il l'entend. Mais c'est vers l'âge de 8 à 9 mois que votre bébé associe vraiment un sens aux mots.