La tachycardie survient lorsque le cœur bat trop vite. Il en existe deux types principaux : la tachycardie supraventriculaire et la tachycardie ventriculaire, qui présentent un certain nombre de sous-types.
Dans la plupart des cas, les palpitations cardiaques sont inoffensives et ne sont pas le signe d'un problème grave ; elles peuvent simplement faire suite à un effort physique, une émotion ou une bouffée d'angoisse. Elles peuvent toutefois traduire l'existence d'un trouble du rythme cardiaque.
L'une des solutions les plus efficaces consiste à pratiquer la relaxation, la respiration profonde et la méditation. Vous pouvez par exemple aller vous promener dans la nature, ou bien effectuer vos entraînements en pleine conscience. Prendre une douche ou un bain bien chaud peut également faire des merveilles.
Du thé vert. Une étude de 2006 a trouvé que la consommation de thé vert est associée à une réduction de la mortalité cardiovasculaire. Chez les femmes, celles qui buvaient plus de cinq tasses de thé vert par jour réduisaient de 31 % leur risque de décès cardiovasculaires.
Les palpitations, cette sensation désagréable de cœur qui s'emballe, peuvent être le symptôme d'une tachycardie. Angoisse, stress ou arythmie cardiaque pathologique… ses causes sont multiples. Les traitements aussi.
On parle de tachycardie au-delà de 100 battements par minute. Le stress, l'anxiété, une consommation excessive d'excitants comme le café ou encore un accès de fièvre peuvent expliquer cette accélération du rythme cardiaque. Si le phénomène se produit trop souvent, il faut en parler à son médecin.
La faute au surmenage ou au manque de sommeil. Par ailleurs, la consommation de certains excitants tels que le café, la nicotine, l'alcool, les boissons énergisantes, mais aussi la déshydratation et certains médicaments comme les antidépresseurs peuvent favoriser l'apparition de troubles du rythme cardiaque.
Pour le vérifier des cardiologues, proposent un test qui prend moins de deux minutes et qui ne nécessite pas d'autre matériel qu'un escalier. Comment faire ? Lancez un chronomètre et tentez de monter quatre étages : si vous mettez moins d'une minute, cela signifie que votre cœur est en bonne santé.
Habituellement, le cœur bat entre 60 et 80 fois à chaque minute. Mais chez les personnes souffrant du syndrome de tachycardie orthostatique posturale (STOP) la fréquence cardiaque a du mal à « s'ajuster » au passage en position debout à partir d'une position allongée et augmente de plus de 30 battements par minute.
Un dysfonctionnement du système électrique du cœur peut provoquer une arythmie (battements de cœur irréguliers) fatale et une perte de la capacité de pompage du cœur. En conséquence, le cœur peut s'arrêter soudainement (mort subite d'origine cardiaque) et nécessiter une réanimation d'urgence immédiate.
Les plantes réputées avoir un effet calmant, telles que l'aubépine ou la passiflore, peuvent être proposées par le pharmacien ou le médecin pour soulager les palpitations bénignes et passagères dues à la nervosité. Elles peuvent se présenter sous forme d'extraits ou en préparation homéopathique.
Les médicaments utilisés pour traiter les troubles du rythme cardiaque sont notamment les bêtabloquants (contre-indiqués en cas de troubles de la conduction), l' amiodarone et d'autres antiarythmiques . Les anticoagulants ne sont pas des médicaments spécifiques des troubles du rythme.
Quels sont les signes avant-coureurs d'une crise cardiaque ? Le symptôme le plus connu est une douleur aiguë et persistante dans la poitrine avec une sensation d'étau qui se resserre. La douleur peut irradier dans le bras gauche ou encore causer des vertiges.
L'infarctus du myocarde survient lorsqu'une plaque se détache, puis se déplace et s'immobilise dans une artère coronaire. Un caillot de sang se forme autour de la plaque et interrompt l'apport de sang, privant ainsi le cœur d'oxygène. Cela entraîne la destruction d'une partie plus ou moins étendue du muscle cardiaque.
Un infarctus est dit « silencieux » lorsqu'aucun des symptômes classiques, à savoir une sensation de douleur dans la poitrine et dans le bras gauche, un essoufflement, des sueurs ou encore des nausées, ne se manifeste.
Le stress n'est bon ni pour le coeur, ni pour les artères. Il active une réaction en chaîne qui favorise les incidents cardiovasculaires graves et les maladies chroniques. Le stress, un facteur de risque cardiovasculaire au même titre que le tabac.
D'après leurs conclusions, un patient qui prend un médicament à base de diclofénac, comme c'est le cas du Voltarène, a 20 % plus de risques de faire une crise cardiaque, un accident vasculaire cérébral (AVC) ou d'avoir de l'arythmie qu'un patient qui prend du paracétamol ou de l'ibuprofène.