Pour sortir de la dépression, la première chose à faire est d'admettre que cet état dans lequel on se trouve n'est pas normal. Il ne faut surtout pas en avoir honte et ne pas hésiter à en parler autour de soi, car l'acceptation est la base de la guérison.
L'activité physique, quelle qu'elle soit, stimule la production d'endorphines, ou hormones du bonheur. Une marche en plein air, une séance de coaching énergie ? Même le rangement de la maison peut contribuer à soulager votre tristesse, tant que vous restez active !
La tristesse intense signe de dépression
Elle peut s'accompagner de pleurs inexpliqués et d'un sentiment de désespoir, de l'impression que tout va mal, que tout est noir, et que rien de positif ne peut nous advenir. Bien sûr, il nous arrive régulièrement d'être triste : la vie n'est pas uniquement constituée de joie.
La personne se sent ralentie, morose et découragée. Elle a l'impression d'une lourdeur ou d'un poids en elle. Elle peut aussi se sentir entourée de noirceur, comme si la vie était dépouillée de lumière. Souvent, cette émotion est accompagnée de souvenirs de l'être perdu.
Selon les émotions, agréables ou non, différentes zones du corps réagissent. Ainsi, le dégoût est plus souvent associé à des sensations au niveau du système digestif et de la gorge alors que la tristesse est liée à une moindre activité des membres inférieurs.
Les moments tristes ou quand nous sommes très nerveux augmentent les niveaux de cortisol dans le corps, connus sous le nom d'hormone du stress. À fortes doses, cette hormone endommage nos défenses, laissant le corps plus enclin à contracter des maladies.
Tristesse chronique : signe alarmant de dépression
Il s'agit d'un phénomène normal lors d'un deuil, d'une perte ou à la suite d'un événement pénible. Par exemple vous pouvez vous sentir triste parce que vous avez perdu un être cher ou lorsque vous vous êtes violemment disputé avec votre meilleur ami.
La tristesse peut se transformer en véritable force
Après une rupture, on choisit le repli sur soi plutôt que la colère. Mais ce moment en tête à tête avec soi-même est aussi l'occasion de se poser les bonnes questions. Il est alors essentiel de réussir à mettre des mots sur ce chagrin.
La personne se sent dévalorisée, elle a l'impression qu'elle ne vaut rien, qu'elle ne fait que déranger les autres ce qui l'amène à culpabiliser. La tristesse s'y ajoute. La personne pense que la vie n'a plus de sens. Tout cela peut l'amener à se demander si ce ne serait pas mieux qu'elle ne soit plus là.
Quand la tristesse s'installe, une réaction naturelle consiste à s'isoler et à ressasser la cause de ce sentiment. Cela peut avoir des répercussions sur nos liens avec nos amis et notre famille ou sur notre place dans des contextes sociaux.
Le besoin derrière la tristesse, c'est de valoriser la perte et le manque, accepter le monde tel qu'il est désormais, être réconforté par un proche, partager l'intensité du deuil, être en lien et en proximité.
Le stress, une mauvaise alimentation, une dette de sommeil, une consommation excessive de caféine ou une intolérance au gluten peuvent également expliquer des dysfonctionnements affectant l'humeur et pouvant conduire au sentiment de tristesse.
Aujourd'hui, une prise en charge adaptée, une psychothérapie ciblée et des antidépresseurs permettent de briser le cycle infernal pour retrouver la joie de vivre. A condition d'être bien entouré et surtout de bien suivre son traitement.
Offrir un espace à ton ami peut l'aider à reconnaître sa douleur, faire le tri dans ses pensées, prendre du recul et se sentir moins seul. Tu n'as pas à régler ses problèmes. Le fait de simplement écouter sans jugement peut être d'une grande aide.
Voici quelques comportements liés à la recherche de réconfort: Poser la même question à répétition à un(e) proche ou un(e) ami(e). Poser la même question à plusieurs personnes distinctes. Effectuer des recherches excessives sur Internet et dans les livres.
Voilà pourquoi mon âme est triste, Comme une mer brisant la nuit sur un écueil, Comme la harpe du Psalmiste, Quand il pleure au bord d'un cercueil !
Comme nous l'avons vu, certaines causes physiques peuvent affecter le désir de pleurer : par exemple, la fatigue, l'insomnie, le manque de nutriments et de vitamines, le stress et les mauvaises habitudes pourraient nous rendre beaucoup plus sensibles aux pleurs et à la mauvaise humeur en général.
La crise de larmes comme soupape de décompression
Et après une bonne crise de larmes, le soulagement. Car très souvent - une fois le mal de tête passé et les yeux dégonflés - on se sent plus léger après avoir pleuré. “Une des raisons possibles est que le fait d'extérioriser nos émotions nous soulage.
Il n'est pas rare de ressentir une grande fatigue physique suite à une crise de larmes. Dans son article « Pourquoi est-on fatigué après avoir pleuré », Science & Vie explique que les hormones libérées provoquent l'accélération du rythme cardiaque et la dilatation des vaisseaux sanguins.
Le poumon et le gros intestin : la tristesse
Ces organes sont liés à la mélancolie, à la tristesse et à l'affliction. Les poumons régulent la respiration et l'intestin s'occupe de la digestion, de l'absorption des nutriments et de l'immunité de l'organisme.
Lors d’un événement stressant, votre corps libère des hormones de stress comme l’adrénaline. Des quantités élevées d'adrénaline peuvent réduire la taille des artères qui amènent le sang à votre cœur, ce qui réduit le flux sanguin vers votre cœur . L'adrénaline peut également se lier aux cellules cardiaques.
Le blocage émotionnel est simplement lié à des perceptions que vous avez eu en lien avec des émotions. Et plus ses émotions sont fortes, plus le blocage sera ancré et stocké dans votre subconscient. Votre pensée + votre émotion associée va créer des croyances.