Locution verbale. (Figuré) (Argot) (Drogue) Inhaler, avec un tube, de l'héroïne sur une feuille de papier d'aluminium chauffée par en dessous à l'aide d'un briquet.
inhalée ou fumée (chasse au dragon) — cette méthode consiste à chauffer de l'héroïne sur une feuille d'aluminium, au-dessus d'une petite flamme, et à respirer à l'aide d'un tube la fumée et les vapeurs qui se dégagent.
Technique pour chasser le dragon
Tenir la feuille entre le pouce et index à une des extrémités. Chauffer à l'aide d'un briquet que vous tenez en dessous de la feuille. Le produit se liquéfie et libère de la fumée qu'il faut aspirer par la bouche à l'aide d'un tube.
Le sentiment d'euphorie produit par l'héroïne peut être accompagné de rougeurs de la peau et de démangeaisons, ainsi que d'une bouche sèche, d'yeux larmoyants et d'une rhinorrhée. Les héroïnomanes ont souvent la peau sèche, facilement irritée et prurigineuse.
Comme toutes les cathinones de synthèse, la 3-MMC est une drogue festive. Elle peut être prisée (sniff), « droppée » (parachutes, etc.) et injectée. Des cas de « plugging » (administration par voie rectale à l'aide d'une pipette) ont également été rapportés sur des forums de consommateurs au Royaume-Uni.
Les consommateurs récréatifs préfèrent soit la sniffer, ce qui permet un passage rapide dans le sang tout en réduisant certains risques liés à l'injection (Sida, œdèmes, etc…), soit la fumer. Fumée ou inhalée, l'effet est immédiat provoquant une sensation de chaleur et de relaxation à travers tout le corps.
Rabla : terme signifiant « poudre » en langue arabe et désignant l'héroïne. Son utilisation par les dealers implique que certains consommateurs ignorent de quel produit il s'agit.
Dépendance physique : (à une substance exclusivement) lorsque l'arrêt (sevrage) de la substance provoque des troubles physiques (physiologiques), parfois graves, voire mortels.
Pour sniffer, inhale haut dans la cavité nasale (enfonce bien ta paille) en te bouchant l'autre narine.
Mais la 3-MMC a une odeur spécifique de réglisse et, surtout, est moins chère : entre cinq et dix-huit euros le gramme. Depuis 2012, l'OEDT l'a catégorisée comme une nouvelle substance psychoactive. En France, comme toutes les substances illicites référencées comme telles, elle est illégale.
La 3-MMC, une drogue entre cocaïne et amphétamines, est connue depuis 2010, mais elle semble s'être démocratisée récemment, dans les soirées festives.
Les amphétamines et la méthamphétamine
Plus marginaux, certains consommateurs choisiront de s'injecter la drogue, ou encore d'inhaler ses vapeurs, particulièrement dans le cas de la méthamphétamine sous forme de cristaux, augmentant ainsi les effets de la drogue.
Acheter Chemsex - Microsoft Store fr-FR.
La 3-MMC est une drogue de synthèse qui se prend comme la cocaïne, mais coûte deux fois moins cher. Ce "nouveau produit de synthèse" (NPS) de la famille des cathinones, fabriqué le plus souvent dans des laboratoires d'Asie, mélange les effets de la cocaïne, de la MDMA et des amphétamines.
Synthèse. La méphédrone peut être synthétisée en ajoutant sous agitation du dibrome à la 4-méthylpropiophénone dissoute dans de l'acide acétique glacial générant ainsi la 4'-méthyl-2-bromopropiophénone sous la forme d'une huile.
Il n'y a que 2 narines pour sniffer, c'est comme si les injecteurs n'avaient que 2 points d'injection. Il faut donc en prendre soin : Alterner les narines, soit une trace une narine, soit prendre la moitié de la trace dans une narine et l'autre moitié dans l'autre. Une partie de la poudre atterrie dans les poumons.
Les saignements de nez sont dus au mode de consommation de la cocaïne, le snif, qui abime la cloison nasale. La réccurence des consommations peut conduire à une destruction totale de celle ci.Il est donc effectivement préférable de vous en inquiéter.
LSD et autres hallucinogènes
Tremblements, frissons, dilatation des pupilles et troubles de coordination peuvent également être des indices potentiels.
Dépendance psychologique
Excepté les opiacés, famille de drogues dont fait partie l'héroïne, le sevrage de drogues est plus difficile sur le plan psychologique, puisque c'est à ce niveau que l'addiction se crée.
L'héroïne
L'étude de Nutt démontre que l'héroïne est la drogue la plus addictive de toutes, avec un score maximal de 3/3. Il s'agit d'un opiacé qui entraîne une augmentation de 200 % du niveau de dopamine dans le système de récompense du cerveau comme l'ont prouvé les expériences menées sur des animaux de laboratoire.
Une autre drogue, la phencyclidine (PCP), appelée « angel dust » ou « poudre d'ange », puissante substance hallucinogène, a aussi la réputation de conduire à des actes auto ou hétéro-agressifs qui peuvent être d'une extrême violence.