Dans la grande majorité des cas (95 %), le cancer de la vulve est lié à une infection par un Papillomavirus oncogène (il existe plusieurs types d'HPV). Ce dernier est le plus souvent contracté chez la femme au moment de son activité génitale débutante, d'où l'intérêt de la vaccination chez les adolescentes.
La survie nette après 5 ans pour les autres cancers des organes génitaux de la femme est de 59 %, ce qui signifie qu'environ 59 % des femmes ayant reçu un diagnostic d'autre cancer des organes génitaux survivront au moins 5 ans.
Causes et facteurs de risque du cancer de la vulve
Une irritation chronique de la vulve, par exemple en cas d'un lichen (maladie de la peau de la vulve). La cause de cette affection n'est pas connue. Une infection par certains types de virus, par exemple certains virus du papillome humain ou HPV.
Symptômes. La vulvite se manifeste par des démangeaisons, des douleurs, des gonflements ou des rougeurs. Des sécrétions blanchâtres peuvent aussi apparaître, ainsi que des douleurs lors des rapports sexuels.
Quelles sont les pathologies vulvaires les plus fréquentes ? La pathologie la plus fréquente, de très loin, est la mycose.
Les brûlures vaginales sont le plus souvent le signe d'une vaginite, une inflammation causée par la présence d'une bactérie ou d'un champignon (mycose vaginale).
Toutefois, il est à noter que dans le cas d'un cancer de la vulve de stade 1 traité correctement, les chances de guérison sont supérieures à 90 %. "Comme dans toute pathologie, plus celle-ci est prise tôt, plus le traitement est léger et efficace.
La prévention du cancer de la vulve passe par une prévention contre les infections à Papillomavirus humains (HPV). La vaccination contre l'HPV (lien interne page vaccin HPV) diminue le risque de développer un cancer de vulve. Elle est recommandée pour toutes les jeunes filles (et les jeunes garçons) de 11 à 14 ans.
La vulvite est une inflammation de la vulve, région autour de l'ouverture du vagin et qui contient les organes génitaux externes féminins. Elle est souvent secondaire d'une infection génitale ou liée à une allergie ou une irritation par macération ou par frottement.
Si les démangeaisons ont déjà été évoquées comme symptôme possible d'un lymphome de Hodgkin, le cas de Jade Baldwin montre toutefois qu'un patient qui souffre de démangeaisons, notamment au niveau des jambes, peut être atteint de ce cancer, et ce même si ses ganglions présentent une taille normale.
Souvent, la chirurgie intervient comme traitement principal du cancer de la vulve. Le médecin procède à une vulvectomie partielle radicale ou à une vulvectomie totale radicale, selon l'ampleur des tissus à retirer. Il faut parfois ôter les ganglions lymphatiques de l'aine, d'un côté ou des deux.
Le cancer de la vulve, généralement un cancer de la peau, se développe dans la zone entourant l'ouverture du vagin. Le cancer peut apparaître sous la forme d'un nodule, d'un prurit ou d'une ulcération qui ne guérit pas. Un échantillon du tissu anormal est retiré puis examiné (biopsié).
L' inflammation chronique de la peau, lorsqu' elle n' est pas traitée, entraîne des modifications de l' aspect de la vulve qui peuvent être à l' origine de rapports sexuels plus difficiles et douloureux et parfois de complications infectieuses locales.
Les bons réflexes en cas d'irritation de la vulve :
Evitez de trop exposer votre zone intime à l'eau calcaire du robinet : évitez les bains, rafraîchissez et apaisez plutôt la zone avec un pschitt d'eau florale.
Appliquer de l'huile de coco localement, sur un ou deux jours, pour hydrater et calmer l'inflammation. En cas de douleur liée à une brûlure légère : vaporiser un spray d'eau florale de Camomille noble (ou Romaine) sur la zone concernée, 4 à 6 fois par jour. Espacer dès amélioration.
Tout comme la mycose vaginale, la mycose vulvo-vaginale se caractérise par des démangeaisons avec parfois des brûlures au niveau de la vulve. Des rougeurs et un oedème sont alors visibles, et des pertes blanches et épaisses s'écoulent du vagin.
Certains cancers sont dits silencieux. Ils ne présentent aucun symptôme jusqu'à un stade avancé de la maladie. Le diagnostic est donc tardif, ce qui a un impact sur les chances de guérison. C'est le cas du cancer de l'ovaire et du cancer colorectal.
Changements ou manifestations physiques : modification de la forme d'un sein, perte de poids inexpliquée, nouveau grain de beauté ou modification d'un grain de beauté, apparition d'une grosseur ou d'un gonflement qui ne diminue pas, quel qu'en soit l'endroit, voix rauque ou enrouée, difficultés à avaler, importantes ...
Des douleurs pendant la miction, des difficultés à uriner, la présence de sang dans les urines, ou encore une douleur dans le bas-ventre lors des rapports sexuels sont des signes qui ne doivent pas être pris à la légère. Ces symptômes, souvent bénins, peuvent révéler dans les cas les plus graves, un cancer de l'utérus.
Dormir dans une chambre fraîche, la chaleur favorise les démangeaisons. Utiliser des vêtements amples et des draps en fibres naturelles comme le coton, qui laissent respirer la peau. Si les démangeaisons sont très violentes, mettez des gants légers avant de vous endormir pour ne pas vous gratter trop fort.
Enfin, n'hésitez pas à consulter un médecin lorsque certains petits boutons sont accompagnés d'autres plaintes comme de la fièvre, par exemple, ou lorsqu'un bouton revient trop souvent ou s'il est très douloureux. Dans le cas des piqûres d'insectes, consultez un médecin afin d'éviter toute réaction allergique.