La paralysie du sommeil a des causes variées. Elle est surtout facilitée par les insomnies et la position allongée sur le dos, mais aussi par d'autres facteurs comme le stress dans la vie personnelle ou professionnelle, le surmenage ou un changement de mode de vie.
La paralysie du sommeil est facilitée surtout par le manque de sommeil et la position allongée sur le dos, mais parfois le stress, l'anxiété, le surmenage, à une modification brutale du mode de vie (deuil, déménagement, nouveau travail), ou à des horaires de sommeil irréguliers.
Paralysie du sommeil : les symptômes
Ne pouvant pas bouger, la personne tente de crier, en vain. Certaines personnes qui vivent une paralysie du sommeil évoquent également : une sensation d'étouffement ; la présence menaçante d'une personne : ce ne sont que des hallucinations visuelles ou auditives.
La paralysie du sommeil est une parasomnie associée au sommeil paradoxal. Elle se manifeste lors des transitions entre l'éveil et le sommeil, soit au moment de l'endormissement (état hypnagogique), soit au réveil (état hypnopompique).
À l'instar de l'insomnie ou de l'apnée du sommeil, la paralysie du sommeil est considérée comme un trouble du sommeil, mais pas comme une maladie. Elle est toutefois retrouvée chez les personnes narcoleptiques (des personnes qui ne contrôlent par leur sommeil et peuvent s'endormir à n'importe quel moment).
Il est courant de comparer la paralysie du sommeil à un rêve éveillé de courte durée. La personne va reprendre conscience pendant la nuit, mais les seuls muscles capables de répondre sont les muscles respiratoires et oculaires. Cet état peut être une source d'inquiétude, mais ne présente aucun danger réel.
Pour éviter la survenue des paralysies du sommeil, il est d'abord conseillé de dormir sur le côté car elles seraient plus fréquentes en position allongée sur le dos.
La paralysie du sommeil est un phénomène encore assez mal connu bien que relativement répandu. Ceux qui en sont les victimes se réveillent en pleine nuit incapables de bouger et avec une sensation d'étouffement parfois accompagnée d'hallucinations visuelles ou auditives.
C'est un songe durant lequel la personne qui éprouve le rêve à bien conscience d'être en train de rêver, avec un sentiment de contrôle très fort sur le déroulement du rêve.
Lors de la paralysie du sommeil, le corps reste paralysé, frappé d'atonie musculaire, alors même que le cerveau se réveille et que les yeux commencent à s'ouvrir», explique Michael Breus. «Les patients sont dans un état de conscience passagère, mais ils ne peuvent pas contracter leurs muscles volontaires ou parler.
Elle est due à une insuffisance de tyrosine (son précurseur), qui peut être provoquée par des couchers trop tardifs ou un désordre alimentaire : pas assez de protéines (qui fournissent les acides aminés essentiels), ou un excès de sucre, qui fait baisser le taux de tyrosine.
Cette sensation est probablement due au relâchement musculaire qui se produit lors du passage de la veille au sommeil. Rien de grave toutefois: aucune pathologie n'a jamais été associée à cet effet que les médecins nomment la «myoclonie d'endormissement».
La paralysie peut avoir de nombreuses causes, parmi lesquelles : lésion ou section d'un nerf ou de la moelle épinière suite à un accident. lésion due à une tumeur. maladies neuromusculaires, d'origine génétique ou non.
Les hallucinations peuvent être causées par une lésion ou une tumeur au cerveau, ou encore d'autres troubles neurologiques. Ne paniquez pas! Les lésions au cerveau sont rares et, même si vous êtes en proie à des hallucinations du sommeil, il y a peu de chances pour que cela en soit la cause.
L'immobilité corporelle est une des caractéristiques comportementales du sommeil. On regroupe sous le nom de parasomnies un groupe d'affections qui se caractérisent par des comportements anormaux et des expériences indésirables se produisant à l'endormissement ou pendant le sommeil.
Pourquoi est-on comme bloqué dans notre propre corps ? Il y a une dissociation entre le cerveau, qui va être plus en éveil, et le corps resté endormi - dans la phase dite du sommeil paradoxal. La caractéristique de cette phase de sommeil, c'est l'absence de tonus musculaire (atonie musculaire).
La cataplexie est la perte soudaine du tonus musculaire sans que la personne perde connaissance. Les personnes narcoleptiques ressentent également parfois des hallucinations ou des paralysies du sommeil de quelques secondes, au réveil ou en s'endormant.
On peut estimer que le fait de parler en dormant survient lorsque l'on est confronté à un épisode de stress ou un changement important dans son quotidien. Il s'agit peut-être aussi d'un comportement lié au rêve du dormeur. Aucune hypothèse n'a pour l'heure été avérée par la science.
La scopesthésie ou effet de regard psychique est un phénomène supposé dans lequel les humains détectent par des moyens extrasensoriels qu'ils sont observés. L'idée est explorée pour la première fois en 1898 par le psychologue Edward B.
Le syndrome des jambes sans repos (SJSR) est aussi appelé la maladie de Willis-Ekbom» ou «paresthésie agitante nocturne des membres inférieurs». Le SJSR est un trouble sensimoteur caractérisé par une envie irrésistible de bouger les jambes, et, dans certains cas, d'autres parties du corps, par exemple les bras.
Il est, en outre, conseillé de ne pas se rendormir, même 10 minutes. « On se prive alors du cortisol que l'organisme a sécrété naturellement pour le premier éveil, et le second sera plus pénible », avertit la Dre Royant-Parola.
Le matin, pour être de bonne humeur dans la journée, il est déconseillé de commencer sa journée dans la précipitation. Ainsi, mieux vaut ajouter 15 ou 30 minutes de plus à votre planning pour prendre du temps le matin, en vous levant à 7h30.
Ne pas confondre la clinophilie avec d'autres types de troubles tels que la dysanie qui désigne la difficulté à sortir du lit le matin et l'hypersomnie qui correspond à un besoin excessif de sommeil.