Si vous voulez soutenir votre partenaire évitant, respectez son besoin d'espace, plutôt que d'insister sur votre propre désir extrême de proximité. Ayez conscience que plus vous le respecterez, moins il se sentira étouffer et moins ils se sentira obligé de s'appuyer sur leurs stratégies de distanciation.
Il déteste l'idée de dépendre de quelqu'un, émotionnellement ou financièrement. Il redoute la proximité, il vit mal la relation intime et le lien de dépendance. La personne évitante se plaint souvent du fait que son partenaire désire une relation plus intime que celle à laquelle il est prêt.
Comment créer un manque chez un évitant ? Donnez-lui de l'espace lorsqu'il s'éloigne. Les hésitants ont besoin de beaucoup d'espace pour se sentir à l'aise dans une relation. Comme ils craignent de s'engager, passer trop de temps avec eux leur donnera l'impression d'étouffer.
– Un partenaire évitant donne peu et demande peu, fuit l'intimité et adopte des stratégies défensives. – L'évitant recherche la solitude, même si pourtant paradoxalement il la vit mal. – L'intimité affective, les effusions, le contact physique le mettent mal à l'aise.
Ils évitent de prendre des décisions : Une personne ayant une personnalité évitante peut éprouver des difficultés à prendre des décisions, même si celles-ci n'ont pas un grand impact sur sa vie décisions, même si celles-ci n'ont pas beaucoup d'impact sur leur vie quotidienne.
Alors si notre attitude devient invasive ou exagérément dépendante, l'autre risque de prendre ses distances comme par autodéfense. Cela ne reflète pas forcément un manque d'amour, mais un besoin viscéral d'espace pour respirer et se recentrer sur soi. Et plus on le harcèle, plus ce besoin s'intensifie.
Le trouble de la personnalité évitante (ou trouble de la personnalité anxieuse) est un trouble de la personnalité caractérisé par un sentiment de mauvaise adaptation, d'une très forte sensibilité aux situations négatives et à l'évitement d'activités ou relations humaines.
Dans le cas où la question serait jugée trop intime ou intrusive, il est probable que l'évitant vous oppose un silence. Ce silence peut-être mal interprété comme un manque de respect, de l'indifférence, alors que ce sera simplement un « bug », l'évitant ne sait pas répondre.
Faites attention au ton de votre voix.
Par exemple, au lieu de lui dire : « je me sens vraiment blessé et je n'arrive plus à dormir parce que je ferais n'importe quoi pour sauver notre amitié », dites-lui : « je me sens blessé et triste que tu ne veuilles plus m'adresser la parole.
Cela vous renvoie l'idée que vous n'êtes pas capable de faire quelque chose de bien, ou à un doute sur vos capacités à réaliser une action. Votre inconscient vous ramène à l'idée que de toutes façons, ça ne sert à rien de faire puisque ça ne servira à rien ou ce sera mal fait.
Dans bien des cas cependant, la personne évitante aura besoin de thérapie afin de sortir de son isolement et pouvoir s'épanouir. L'objectif thérapeutique sera de modifier modifier l'image et l'estime de soi négative du client.
« L'infidélité pourrait être une stratégie de régulation émotionnelle chez les personnes dont l'attachement est évitant, estime l'étudiante. Ce comportement permet d'éviter la peur de l'engagement, de s'éloigner de l'autre, de préserver son espace de liberté et de quitter l'autre avant d'être laissé. »
Attachement dissuasif (évitant)
L'attachement évitant se caractérise par l'évitement de sentiments, de souvenirs ou de désirs qui pourraient faire fuir la figure d'attachement (Slade, 2004). Selon Bowlby (1988), il s'agit d'un évitement au service de la proximité.
Nombre de séducteurs font partie des personnalités évitantes, mais aussi les romantiques qui idéalisent l'amour et associent l'intimité à la banalité, voire à la trivialité.
L'avantage des évitants (si l'on peut dire) est qu'en cas de rupture, ils semblent moins souffrir. En effet, le détachement émotionnel dont ils font preuve leur permet de se préserver à minima de la douleur de la rupture.
La solution : Accueillez le silence de l'autre comme une forme d'expression sans chercher à l'interpréter. Et puis laissez faire ! Ne vous braquez-pas de l'attitude de l'autre ! Enfin prenez ce silence imposé pour vous, c'est vrai, comme une occasion de prendre du recul dans une discussion.
Le refus d'entendre la parole de l'autre peut avoir plusieurs raisons. Cela peut être dû à une forme d'orgueil, de mépris ou de peur. Certaines personnes peuvent considérer que leur point de vue est le seul valable et refuser de prendre en compte celui des autres.
Contrairement aux idées reçues, le silence est bien une forme de communication ! Mais comme son sens est très profond et variable, on ne l'interprète pas toujours comme il faut.
De base, la durée du SR tourne autour de 3 à 4 semaines. Il peut être prolongé, mais ne doit pas dépasser les 3 mois. Un laps de temps assez long (mais pas trop) durant lequel votre ex se posera des questions et se demandera ce qui se passe. C'est l'effet psychologique du silence radio.
Le silence d'une personne peut créer un vide ambigu dans une relation entre individus, du fait qu'il permet aux autres soit d'émettre des jugements définitifs, soit de remettre en question leurs anciennes relations et, par là, d'aboutir à une nouvelle relation.
Le silence nous libère du stress et de la tension
Les bruits forts augmentent notre tension artérielle, le risque de crise cardiaque est alors accru et ils affectent notre santé dans son ensemble. Ils activent l'amygdale dans le cerveau, qui libère alors l'hormone du stress, le cortisol.
Patience et Respect du Rythme de l'Autre. La patience est une vertu clé dans la communication avec quelqu'un qui ne veut pas parler. Il est important de respecter le rythme de l'autre et de ne pas forcer la conversation. Parfois, donner du temps et de l'espace à l'autre est la meilleure façon de l'encourager à s'ouvrir ...