Par exemple, les abouts de la poutre, c'est-à-dire ses extrémités scellées dans la maçonnerie, peuvent être reconstituées et consolidées grâce à une résine spécialement conçue à cet effet. La poutre est ensuite poncée puis patinée et s'inscrit à la perfection dans le prolongement de la partie en résine.
Pour augmenter l'inertie d'une poutre, et donc sa capacité portante : il est possible de solidariser par collage à l'aide de la résine RÉNOFORS BOIS, une prothèse bois en sous-face de poutre qui sera également liaisonnée à la poutre existante par des tiges composites en fibres de verre.
Le contreventement par triangulations est le système le plus simple. Une triangulation est formée en insérant un élément structurel en diagonale dans les zones rectangulaires d'une construction. Cela permet de rigidifier la structure face aux forces latérales et d'empêcher une déformation des angles droits.
Il est conseillé d'utiliser un mastic pour le bois, une pâte à bois ou un rebouche bois afin de suivre les mouvements du support sans s'effriter. Elle est facilement modelable à la main. Le mastic ou la pâte devient très dure et très dense après un séchage complet.
Comme pour les charpentes, la consolidation des planchers en bois par adjonction des profilés en acier est adaptée, aussi bien pour renforcer des structures détériorées (pourries ou vermoulues), que pour supporter les accroissements des charges.
Pour les renforcer, vous pouvez poser des lambourdes entre les solives, en les fixant avec des clous par exemple, tous les 40 cm en moyenne. Cela aura également l'intérêt de rendre votre sol plus plan.
La technique de renforcement de la charpente, dans le cas d'un dégagement pour aménagement des combles, consiste le plus souvent à renforcer les fermettes par des potelets, doubler les arbalétriers, supprimer poinçons et/ou contrefiches, avec bien souvent un renforcement des jonctions à l'aide de pièces de liaison.
Par exemple, les abouts de la poutre, c'est-à-dire ses extrémités scellées dans la maçonnerie, peuvent être reconstituées et consolidées grâce à une résine spécialement conçue à cet effet. La poutre est ensuite poncée puis patinée et s'inscrit à la perfection dans le prolongement de la partie en résine.
Enduisez les fissures et les trous avec une spatule de la pâte de bois ou du mastic pour bois. Pour les petites fissures, une seule opération est suffisante, cependant avec les trous assez importants sollicitent plusieurs couches successives.
Parmi les solutions les plus courantes, on trouve l'extension verticale. Cela étant, pour réaliser un tel projet, il est capital d'avoir fait réaliser au préalable une étude de la structure et des fondations du bâti afin de s'assurer que celui-ci est assez solide pour pouvoir supporter une charge supplémentaire.
Grattez délicatement la zone atteinte. Retirez les parties pourries à l'aide d'un ciseau à bois ou d'une fraise-râpe fixée sur une perceuse. Éliminez également 2 centimètres de bois sain autour de la zone touchée pour éliminer toutes les moisissures. Poncez légèrement les zones atteintes à l'aide de papier abrasif.
Pour combler des fissures ou des petits trous, utilisez une pâte à bois assortie à la teinte de la poutre. Vous pouvez même faire un mélange de colle à bois et de résidus de ponçage pour être au plus près de la teinte voulue. Pour les réparations plus conséquentes, utilisez un mastic de réparation spécial bois.
Appliquez l'enduit de rebouchage dans la zone détériorée. Après l'ouverture de l'enduit, appliquez-le généreusement sur la partie à reconstituer, en remplissant entièrement la cavité. Laissez l'enduit durcir pendant 1h si vous utilisez REPAR'BOIS, ou pendant 2 à 4 heures si vous avez opté pour EXTREM'WOOD.
La fissuration des poutres bois est généralement due à un changement d'atmosphère et souvent d'hygrométrie. Ainsi, en séchant, le bois tend à se fendre, tout en conservant son pouvoir résistant et en maintenant la sécurité de la construction. Dans d'autres cas, il peut également s'agir d'un défaut de conception.
Parties friables : vérifiez la présence de parties friables sur votre menuiserie. Il suffit de tester la résistance du bois avec la pointe d'un poinçon ou d'un tournevis. Si le bois est tendre et plutôt « spongieux », cela indique généralement la présence de pourriture.
Pour une poutre attaquée par des insectes, la priorité est de les faire disparaître ainsi que les larves. L'application d'un produit du type xylophène (entre 4 et 11 euros le litre) est la première étape. Si la poutre est très piquetée, de la pâte à bois fera là aussi l'affaire pour reboucher les trous.
Utilisez le mastic à bois en tube. En phase aqueuse, il s'applique facilement à l'aide d'une spatule souple, ou tout simplement au doigt si l'on travaille trou par trou. Lissez ensuite la surface avec une spatule ou un chiffon humide, puis laissez sécher.
Utilisez une scie circulaire ou sur table pour découper des encoches identiques dans les extrémités que vous voulez relier. Elles doivent mesurer la moitié de l'épaisseur d'une poutre et être de même longueur. Appliquez de la colle à bois dans les encoches et assemblez les deux poutres comme les pièces d'un puzzle.
La technique de renforcement de la charpente dans le cas d'un dégagement pour aménagement des combles consiste le plus souvent à renforcer les fermettes par des potelets, doubler les arbalétriers, supprimer poinçons et/ou contrefiches, avec bien souvent un renforcement des jonctions à l'aide de pièces de liaison ...
Pour savoir si une charpente est en bon état, surveillez la présence de traces blanchâtres ou orangées sur le bois. Vérifiez également les tuiles cassées. Jetez un œil aux points de jonction entre la couverture, la cheminée et les fenêtres de toit.
Renforcer une charpente traditionnelle
Une forte pente de toit nécessite le rehaussement des entraits (pièces de bois qui réunit les arbalétriers). La procédure avec un toit à pente moyenne consiste à remplacer les fermettes par des jambes de force.